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#Running

Petit récapitulatif des dernières courses de la saison printemps-été :

  • 28 mai : Break out Run – édition nocturne
    Course « à thème » avec figurants. Évasion de prison. Appartient à la « Spartacus series de la KBC ».
    8 km et 25 obstacles environ incluant un circuit aquatique, du trail, des obstacles en hauteur, des infrastructures complexes,…
    8000 participants sur 2 jours.
    Location de lampe frontale et médaille offerte.
    Super système de consigne. Rapide et efficace.
    DJ, petite restauration, possibilité de camping, nombreux ravitaillements, service photo et vidéo.
    Excellente gestion du monde, de la chaleur, de la difficulté des obstacles et de l’ambiance !
    Superbe souvenir sportif et moment entre copines
    49€Un système bien rôdé et une organisation top niveau.
    Rien à redire…
    Une chaleur tropicale et de délicieux moments à barboter dans l’eau.
    Un moment exceptionnel !

 

  • 18 juin : Sand race
    Course dans une sablière. Organisée par « Denali outdoor event ».
    12km et une vingtaine d’obstacles environ incluant une (trop) petite dans l’eau, du trail, de la presque escalade, descente en luge, mousse, saut sur des coussinets,…  Pas vraiment d’infrastructures complexes mais bonne utilisation du terrain.
    6000 personnes sur une journée.
    T shirt, classement (temps) et médaille offerte.
    On attend toujours les photos mais on désespère pas !
    Petite restauration, ravitaillements (MAIS TROP RARES par 30°), ambiance musicale, grands vestiaires.
    C’était dur, mais duuuuuuuuuuuur. Un dénivelé de ouf’ et les difficultés du terrain couplée à la réverbération du soleil… Tu avais vraiment l’impression de mériter ta médaille ! Ce qui était pas désagréable du coup 🙂
    40€ parce qu’on a pas trop traîné à acheter nos dossards.Un parcours génial avec des descentes super jouissives mais une organisation à revoir !!!
    Le commentaire qui revient le plus souvent est « victime de leur succès ».
    Une queue de 30min. aux consignes, DEVANT LES OBSTACLES (!?), aux ravitaillements,… BREF une impression générale de sable dans les rouages (Mouahahahahahahahaha) même si, honnêtement, j’ai vraiment adoré et que ce fut des défauts largement « oubliables ».

 


  • 24 juin : Muddy Angel Run Bruxelles
    Course de nanas dans la boue. Organisée par … Ben, je ne sais pas… Mais largement diffusée par « Eventbrite ».
    5 km (enfin c’est ce qui était annoncé… On tournerait plus autours de 3,47 km, en fait) et une dizaine d’obstacles… (surtout pas un de plus ! ) incluant un petit peu d’eau, des obstacles pas trop haut et de la boue mais pas trop. Je sais bien que la course se voulait accessible à toutes… Mais quand-même…
    6000 participantes sur une journée.
    Ce qui a été offert… Voyons voir… Le ravitaillement de fin était sympa (même si je trouve ça pas sérieux de proposer des bonbons et du chocolat) et sinon… Rien. Pas de t-shirt. Pas de médaille. Même les photos sont payantes. AH SI ! Un petit bandeau rose en peau de couille pour les cheveux… Simple épaisseur. Qui a eu du mal à résister à son lavage.
    Sur place… Ben… C’est un peu la misère. Un système de consigne pas très rassurant, un « vestiaire » minuscule (on a d’ailleurs préféré se changer sur un parking), des « douches » rudimentaires, un échauffement qui avait été annoncé comme « fun et professionel (sic) » sur le site web et qui était… Carrément risible, un parcours vécu comme « trop court » pour la majorité des participantes et une inscription RIDICULEMENT compliquée pour un évènement pareil (certificat médical exigé, etc.).
    50€ pour une journée… Et rien qu’en l’écrivant j’ai mal aux pouces…Alors… Oui… Je me suis bien amusée. Mais je me suis bien amusée grâce à mes copines, pour le reste… Il y a de gros problèmes à tous les niveaux :
    – On a l’impression que ça a été balisé par un ado qui était attendu pour une instance sur WOW (oui, mes références datent mais je suis old school),
    – Les obstacles sont… Trop peu nombreux et trop peu variés. Pour une course dans la boue… Tu t’attends à de la boue, nan ?
    – Le parcours est bien trop court.
    – Les obstacles sont bien trop rares.
    – La gestion des flux est juste mauvaise.
    – Le site est mal choisi.
    – La système de consigne est entièrement à revoir… C’est absolument pas rassurant.
    – Et puis, il y a eu cette polémique qui est venue entacher l’event :

Sur le site de Tour & Taxi aujourd’hui , des milliers de femmes ont  bravé la boue sur un parcours de cinq kilomètres à l’occasion du Muddy Angel Run. Toutes, ou presque croyaient participer à une action de charité. En effet, l’organisation a basé sa campagne de communication sur la couleur rose, et le slogan « pour la bonne cause », qui font penser à la lutte contre le cancer du sein. Or, rien ne sera reversé à cette cause. Déception donc et pour beaucoup l’impression d’avoir été trompées, malgré une ambiance ludique et festive aujourd’hui. Les organisateurs stipulent qu’il n’a jamais été question de dons reversés directement à partir du prix des billets d’entrée mais invite les participantes à faire elles-même un don.
(http://bx1.be/bruxelles-ville/erreur-de-communication-pour-le-muddy-angel-run-rien-ne-sera-reverse-a-la-lutte-contre-le-cancer-du-sein/)

Vu le prix complètement DÉLIRANT du ticket, je comprend pas que RIEN ne soit reversé aux bonnes œuvres. Honnêtement.
Effectivement, on ne peut pas leur reprocher de ne pas l’avoir mentionné sur leur site web : https://www.eventbrite.com/e/billets-muddy-angel-run-bruxelles-2017

POURQUOI: La plupart des Muddy Angels ne courent pas pour elles-même mais pour une amie ou une connaissance, qui se bat ou s’est battu contre le cancer du sein, afin d’apporter un soutien moral à l’autre et ouvrir la voie.

COMBIEN: Les tickets coûtent entre 29 et 59 EUR par personne. Pour chaque événement il y a un nombre de 300 tickets à un prix de 29€. En général, le prix du ticket augmente à la fin du mois. Il est donc préférable de réserver à l’avance pour profiter des meilleurs tarifs !
/!\ Il s’agit d’abord d’un événement sportif. Le prix du ticket permet l’organisation de la course dans les meilleures conditions. Il ne comprend PAS de donation. Cependant, tu peux choisir de faire un don entre 5 et 100 euros lors de ton inscription, en plus du prix du ticket. Nous allons transférer le montant du don directement à notre partenaire: « L’Association Le Cancer du sein, Parlons-en ! ».

MAIS WOUAW… Je trouve qu’ils ont vachement bien joué la carte de l’ambiguïté quand-même !!! D’autant que ce « détail » n’est pas rappelé sur les pages Facebook liées à l’évènement…

Sur cette question, sur la page de l’évènement, les community managers restent muets. Tous les commentaires négatifs sont systématiquement ignorés alors que pour la Sand Race (que certains avaient critiqué pour une mauvaise gestion des malaises dûs à la chaleur), les organisateurs ont pris soin de répondre au cas par cas.
Ça ne participe pas vraiment à calmer les tensions… Je trouve…

Et pour rajouter une cerise sur ce gâteau d’écœurement… 5,99€/pièce pour obtenir les photos de l’évènement ? Est ce qu’on est bien sérieux, là ?

Je me suis bien amusée parce que notre groupe était soudé, fun et solide mais honnêtement… J’ai du mal à retirer les points de qualité dans cette course…

En bref : Si votre groupe est bon, votre course sera à 90% réussie :p
Les 10% qui me restent… C’est cette désagréable impression que quelqu’un se fait de la thune sur le dos « d’une bonne cause »…
Je pense que certains devraient soit réviser leur COMM’, soit revoir leur éthique…

A lire également : http://marieclaire.be/fr/muddy-angel-run-courir-bonne-cause-vraiment/

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#OneWeek

Une semaine sans sport…
Le couperet est tombé lundi dernier.
Terrassée par une toux qui, au Moyen-âge, m’aurait certainement valu une crécelle ou un chapeau rouge, je me suis traînée chez le médecin pour y recevoir le verdict tant redouté : Bronchite allergique aigüe et retour d’asthme.
C’était pas joli joli.
Pour ajouter du malheur à mon désespoir, mes quintes incessantes avaient déplacé un bout de nerf ou de muscle directement dans ma côtelette.
En plus de tousser comme un vieux chien, je me trainais comme un zombie.
Et, à l’heure où je vous parle, j’ai pas dormi depuis 3 jours.
Bref. C’est le panard intégral.

C’est donc avec un mélange d’incrédulité et de sarcasme qu’elle a répondu à ma question : « Non. Quand on ne peut pas respirer correctement, c’est contre-indiqué de faire du sport, madame. Profitez-en pour vous reposer ».

Je n’ai jamais eu autant d’insultes à la seconde dans ma petite tête en une minute…

 

JOUR 1 – Je relativise
C’est comme mon restday finalement.
Profite et pense à la Belgique

 

JOUR 2 – aaAAAAAAAAH
C’est horrible, c’est horrible, c’est horrible.
Je sais plus quoi faire.
aaaaAAAAAAAA
(Et le fait de crier me fait tousser)

 

JOUR 3 – Saines occupations
S’occuper l’esprit. C’est le maître mot.
Je m’avance dans mon taff, je brique la maison, je jardine…
Et comme je m’essouffle au moindre effort, ça me dure une journée.
C’est presque une petite victoire.

 

JOUR 4 – Des hauts et des bas
La maison brille, j’ai du taff en avance pour un mois et je suis mise à jour de série.
J’ai officiellement plus rien à faire.
Je sens que la dépression me guette.

 

JOUR 5 – La fausse joie
Si vous vous sentez mieux, vous pourrez recommencer en douceur samedi.
Sauf qu’on est samedi et que j’ai toujours les capacités physiques d’une tortue de mer.
Mamy, sors de ce corps !

 

Céline Muller-Gazoni

 

Blague à part.
Cela fait presque 3 ans que je n’avais plus « plus fait de sport » pendant 3 jours d’affilée.
Rien. Nada. Néant.
Autant vous dire que ça fait bizarre mais, en même temps, je suis aussi en plein questionnement.
Est ce que ça n’a pas pris trop de place ?
Est ce que c’est finalement devenu tellement partie intégrante de mon mode de vie pour que ça manque à ce point ?
Ou est la limite entre le bien et le trop ?

J’ai encore le week-end pour pouvoir y réfléchir…

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#NeverGiveUp

« Il n’y a que deux types de personnes qui vous diront que vous ne pouvez pas faire une différence dans ce monde : ceux qui ont peur d’essayer et ceux qui ont peur que vous réussissiez »

Ça a mis du temps, de la patience, du travail,…

Mais ce soir, je me suis surprise à terminer plus vite mes challenges de GRIT
Réussir là où tu es pas trop mauvaise, C’est bien.
Mais réussir quand tu es hors des clous,… C’est encore mieux

La ligne d’arrivée se rapproche de jour en jour. A petits pas. Mais j’y arriverai
On peut TOUS y arriver…

😘

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#TakeABreathe

Why so serious ?

Les amis… quand je vous lis , des fois, vous me faites tellement mal au cœur…

Auto-flagellation, culpabilité au moindre écart, mésestime de soi, paroles si dures,…
Hey ! Si on y prend pas un minimum de plaisir, comment voulez-vous tenir ?

Quelle est l’urgence ?
Quelle est cette épée de Damoclès au dessus de vos têtes ?

TAKE A BREATHE !

Un pied devant l’autre.
Le soleil se lève et il se couche tout pareil.
Vous y arriverez.

Peut être pas demain. Mais gardez vos forces pour après-demain, pour la semaine prochaine, pour le mois d’après,…
C’est un travail sur le long terme. Un travail de tous les jours.
Alors détendez-vous
Un peu de douceur et de bienveillance.
Elle n’est pas réservée qu’aux autre.

<3

 

 

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#AlaSalle VS #AlaMaison

En bref… Pourquoi ça vaut carrément la peine de se bouger jusqu’à la salle.

 

  1. La séparation des espaces
    C’est une règle d’or pour les adeptes du feng shui comme pour les maniaques de l’organisation : à chaque endroit sa juste occupation. Je dors dans ma chambre, je mange dans ma salle à manger, je cocoone dans mon salon.
    Soit vous avez une salle de sport chez vous (et je vous envie presque un peu), soit vous allez devoir pousser des meubles, apprêter votre matos, faire attention à votre parquet ciré, ranger votre matos, éponger votre sol (et je vous plains un petit peu).
    En un mot comme un cent, c’est contraignant pour votre toute belle et nouvelle motivation et ça envahit votre espace de vie. Si ça peut marcher sur le court terme… Je suis pas sûre que ça tienne la distance dans le long terme…
    Deuxième obstacle : vous êtes chez vous (non, j’enfonce pas une porte ouverte) et donc susceptible de remarquer tout ce qui est en attente chez vous (ménage, piles de linge,…) qui pourrait vous faire hésiter à saisir vos haltères et attaquer votre séance, là, tout de suite, maintenant.
  2. Et maintenant, je fais quoi ?
    La tentation peut être grande d’imprimer un programme tout fait (et tout gratuit) sur le net, d’investir dans du petit équipement et de se lancer comme une grande. Sauf que, voilà, si les équipements ne semblent pas compliqués à utiliser en tant que tel, pour ce qui est du « bon mouvement », « du bon nombre de répétition », « du bon muscle au bon moment »,… C’est une toute autre paire de manche !
    De plus en plus de salles proposent des séances « starter » pour la bonne utilisation des machines et si vous tenez vraiment à vous bichonner… Pourquoi pas un personal trainer ?
    Certes, un personal trainer a son coût. On est d’accord. Cela dit, vous vous offrez plus qu’un simple programme sportif qui vous est adapté, c’est aussi quelqu’un qui va entretenir votre motivation au fil des séances, qui pourra vous corriger en direct live, qui a sacrifié ses plus belles soirées estudiantines à se former à la pratique sportive, qui pourra vous prodiguer des conseils alimentaires (oui, aussi), qui sera à l’écoute de vos demandes spécifiques ET qui épongera votre sueur, vos larmes (sûrement), votre sang (peut-être, mais j’avoue que je suis maladroite),…
  3. La diversité des activités
    Des machines, des tapis, des ballons, des kettlebels, des rouleaux, des poids, des cours collectifs,…
    L’ennui est l’ennemi numéro 1 de la motivation.
    En bref, si vous variez les plaisirs, vous êtes sûrs d’y revenir !
  4. L’aspect social
    Perso, je passe une grande partie de ma vie professionnelle en télétravail. Alors, je sais, point de vue organisation, gestion des enfants, du foyer,… C’est génial… Pendant quelques mois… 😀
    Mais au bout d’un moment, passer vos journées seule à la maison avec pour seule compagnie la chaussette qui parle que vous aurez vous-même confectionné sur votre main gauche, c’est long et pesant.
    Voyez des gens ! Faites vous des amis ! Prenez soin de votre mental (aussi) !
    Déposez vos soucis à l’entrée de la salle et allez vous entrainer.

  5. Les cours co’
    Et rien que ça, ça mériterait un chapitre entier <3
    Rien ne me motive plus qu’un cours co’ (Autant je peux, parfois, pas souvent mais parfois, sauter une séance de muscu, autant c’est difficile de dire non aux cours)

 

  • Parce qu’il y en a pour tous les goûts : GRIT pour te faire mal et souffler comme un bœuf, PUMP pour le renforcement musculaire, ATTACK pour faire monter ton cœur, BALANCE quand tu es tout rabougri, RPM parce que… Non mais j’ai pas besoin de raisons particulières pour le RPM, FREEDOM MIX quand tu as envie d’être surprise, CROSS FIT quand tu as envie de te massacrer ,…

 

  • Parce que tu as toujours un pote dans un cours où l’autre. Qui n’a jamais connu ce moment d’abattement dans le canapé jusqu’à l’instant où ta pote t’annonce qu’elle sera au PUMP du soir et que la seule perspective de la voir te donne l’énergie qui te porte jusque dans tes baskets ?

 

  • Parce que c’est juste trop cool ! Comment ça c’est pas un argument ?
    Esprit de groupe. Tapage de main. Petits sourires en coin. Petits mots gentils. Les « youhou » et les « yaaaaaah ». Et au final, un petit verre en terrasse le dimanche ? Tu transpires avec eux, tu rages avec eux, tu ris avec eux. Tu côtoies des gens très différents de toi (de tout âge, de tout sexe, de tout horizon social) mais qui ont le même objectif et le même état d’esprit. Non seulement, ça te rend humble mais en plus ça te rapproche de gens que tu n’aurais pas forcément côtoyer hors de la salle de sport.

 

  • A chaque coach sa facette. De la même manière que tu peux varier les plaisirs en variant les cours, un cours te semblera tout à fait différent selon le coach qui le donne. Plusieurs options s’offrent à toi :
    • Tu peux te la jouer « Full metal jacket » avec la bête du groupe qui trouvera jamais tes abdos assez serrés, tes fessiers assez contractés,… Qui te rajoutera 50 pompes dès que tu relâcheras ton bras de 2 cm ou parce que tu auras cru que « 50 burpees maintenant », c’était une blague. Celui qui ne sera satisfait que quand tu te seras écroulée sur ton tapis trempé de larmes et de sueurs en priant pour qu’on t’achève… MAIS QUELLE SATISFACTION de rentrer chez toi après ça.
    • Te la jouer « détendu » avec ce coach tellement cool que tu te rends même pas compte que tu fais des choses improbables en équilibre sur un ballon avec une balle de 8kg, que tu gaines depuis 3 minutes ou que tu squattes sur les lacs du Connemara. NON, le fun n’est pas mort à la salle de sport ! Ce n’est que deux jours plus tard, perdue dans tes courbatures, que tu te diras que tu bosses certainement plus que tu ne le penses…
    • Te la jouer #Fitfam. Quand ta coach est aussi ta pote. Que tu estimes autant la personnalité sportive que la maman et la warrior qui se cache derrière. Quand tu as le sentiment de te faire un cours « entre nous » même quand il y a salle comble. L’esprit PumPower, en somme ! Je ne sais pas comment elle arrive à faire passer ce sentiment mais je suis sûre que tout le monde se sent parfaitement à sa place et en confiance à son cours.
    • Te la jouer « cours de fou ». Tu sais pas si il passe ses soirées sur le net à trouver des nouveaux exercices à nous faire essayer tels des cobayes mais ce coach a 30.000 idées pour te faire du mal. Il utilise tout. Il mobilise tout. Mais il laisser RIEN passer. Simple et efficace. Tu sais que tu bosses, tu vois que tu bosses, tu sens que tu bosses.
    • Te la jouer « rien ne peut m’arrêter ». C’est une impression difficile à décrire, ce sentiment d’être allé au bout des choses, au bout de ce qu’on pouvait faire. Peu importe la difficulté des épreuves, la cadence de tes mouvements ou les charges que tu auras mises sur tes épaules, il sera là pour t’encourager. Te dire que tu peux le faire. T’amener du point A de son cours au point B. Entre saine compétition et dépassement de soi, c’est le coach qui va te bousculer gentiment. Pas forcément en t’épuisant sous les répétitions mais en changeant ton état d’esprit.

 

En résumé

Je crache pas dans la soupe. J’ai commencé le sport chez moi, en tête à tête avec ma Wii-fit ou ma Wii-active.
Je n’assumais pas de trainer mon gras jusqu’à la salle. J’étais morte de honte à l’idée de mal utiliser une machine. Je ne voulais pas m’humilier dans un cours co’ en ne suivant pas le rythme…
« Se mettre au sport » est un long processus. Plus complexe qu’on ne le pense. Il touche à l’image qu’on a de soi, à l’idée qu’on a de ses performances, être à la hauteur ou pas… Et c’est bien souvent une question que tout adhérant à la salle s’est posé avant de venir !
La motivation y joue un rôle déterminant.
Il y a eu un moment où j’ai eu besoin de nouveaux défis mais aussi de nouveaux soutiens. Qui mieux que d’autres sportifs pourraient vous épauler ? vous informer ? vous corriger ? vous comprendre dans votre démarche ?
Je sais qu’on devrait s’entrainer pour soi, ne pas chercher de valorisation extérieure, bla bla bla Mais sérieux… avoir quelqu’un de formé pour ça ou d’entendre tes compagnons de souffrance te dire « C’est bien, tu t’accroches. Tu gères », ça n’a vraiment pas de prix…
Dans cette optique, je pense que j’ai besoin d’un coach pour me dire que JE PEUX LE FAIRE et de partenaires pour me dire que JE PEUX CONTINUER
😉

 

 

(Précision d’usage. Ceci est mon opinion personnelle. Elle s’inscrit d’ailleurs dans un blog personnel. Il se pourrait que vous ayez une autre opinion – ce qui est merveilleux parce que réfléchir par soi-même EST une chose merveilleuse – et que vous voudriez la partager. AUCUN SOUCI, j’adore discuter. Par contre, si tu voulais me faire part d’un commentaire rageux ou évacuer un trop plein de stress en fin de journée voici la marche à suivre :

  1. Ouvrir un document Word et y déverser son fiel
  2. Imprimer le document
  3. Le plier en tous petits carrés ou le rouler très serré
  4. Le ranger à un endroit qui t’appartient et qui ne voit jamais le soleil

Des bisous ! )

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#SpartacusRunBoom2017

Les 7 ultimes conseils à retenir avant de se lancer dans une Spartacus Run…

  1. Des leggings longs tu prévoiras, ou 1001 échardes tu récolteras
  2. Des petits gants seront bienvenus, pour te garder des cals imprévus
  3. Point de velours ou de « peaux de pêche », il faut que tes habits sèchent
  4. De colliers ou bracelets dorés ne t’encombre pas, ta performance aura son propre éclat
  5. Des lacets bien serrés, t’empêcheront de finir ta course nu-pieds
  6. Tes amis tu aideras, ou tout seul à l’arrivée tu finiras
  7. Après la course, des vêtements chauds pour te couvrir, seront la meilleure des récompenses à venir !

 

http://www.sport.be/spartacusrun/2017/fr/

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#Spinning

 » Et… Donc… Tu fais du vélo d’appartement en salle ? Avec d’autres gens ? Sur de la musique de fête foraine  »
[…]
C’est un peu la réaction qu’auront tous les non-initiés quand vous leur annoncerez que vous vous éclatez au spinning.
Entre incompréhension et condescendance (il faut bien le dire), vous essuierez un regard interrogateur ou effrayé avant que votre interlocuteur décline poliment votre invitation à essayer et de tester la chose par lui-même.
ET C’EST BIEN DOMMAGE !

Ça va faire 3 ans, maintenant, que j’ai plongé là-dedans avec appréhension d’abord, avec passion, par la suite.
Pour moi, c’était le cours ULTIME. Le cours des guerriers. Taillé pour les bonshommes avec des cuissots d’acier et des mollets en titane…
A l’époque, je sortais la tête de l’eau.
Le rush terrible « couches – panades – promenade » semblait se tasser.
La maternité me laissait ENFIIIIN un peu de répit. J’avais à nouveau du temps pour penser. Pour bouger…
Eeeeeet il était temps de reprendre les choses en main !
Entendons-nous bien. Je n’ai jamais été mince.
Dans la famille, on est plutôt costauds, taillés pour les hivers rudes et parés aux catastrophes thermonucléaires peuplées de zombies. En bref et pour faire court, j’étais plutôt feignasse, timide, introvertie, tranquillement planquée dans mon épaisse couche d’isolant.
J’étais pas une grande sportive.
On peut même dire que j’approchais le niveau -2 de l’activité physique.

Mais là, j’avais le sentiment d’avoir atteint le point de non-retour. Le sentiment que la passivité allait envahir ma vie (à tous les niveaux) si je ne faisais pas quelque chose. Là, tout de suite, maintenant.
Ce  » quelque chose », ça a été le spinning.

 

Très honnêtement… Le premier cours a été un peu comme l’enfer sur terre.
Le souffle court, les cuisses en feu, les mollets raides, les fessiers détruits, la rage de ne pas y arriver ( quoi ? C’est qu’un vélo après tout, tout le monde sait faire du vélo), la sueur de la racine des cheveux à la pointe de mes orteils,…
J’ai eu envie de fuir dès le troisième track.
Envie de vomir au sixième.
A la fin du cours, j’étais à la fois dépitée de constater à quel point j’étais en mauvaise forme physique et simplement reconnaissante de pouvoir encore respirer.
C’était atroce.
Je m’apprêtais à ranger mes affaires et à fuir comme une voleuse quand le coach a dit quelque chose qui résonne encore dans ma tête aujourd’hui :  » Au spinning, le plus dur, c’est pas de venir… C’est de REvenir ».
Si je devais situer le déclic que j’ai eu, le moment M, l’instant T, le point précis où ma vie a commencé à changer.
C’est là.
Quelques petits mots. Une formule pas des plus inspirée qui m’a fait dire… JE REVIENDRAI !

Et je suis revenue.
Il y a pas eu d’épiphanie. On est dans la vraie vie. Il y a pas de miracle.
J’ai galéré. Galéré comme une truie.
Et petit à petit, c’est devenu un peu moins dur. Je m’essoufflais moins vite. Je pédalais un peu plus vite. J’ai commencé à charger plus. A suivre la cadence. ET, le plus important, à y prendre du plaisir !
Chaque quart de tour que j’arrivais à passer, chaque track fini, chaque intervalle maîtrisé apportait sa bouffée de fierté.
La brûlure qui parcourait mes jambes devenait la promesse des résultats que je cherchais à obtenir.
Je pouvais tenir la cadence. Je pouvais changer.
Pas être quelqu’un d’autre mais cette meilleure version de moi-même que j’aspire encore à devenir…

Une heure, deux heures, deux fois deux heures, six heures, huit heures,…
J’ai repoussé les limites de ce que je pouvais faire, j’ai ouvert de nouveaux « possibles », je me suis prouvé que je pouvais aller plus loin. Physiquement et mentalement. Je me suis épanouis dans ce sport et – finalement – dans tout le reste.
J’ai gagné en confiance et en sourire. Apaisé ma colère. Tempéré mes humeurs changeantes.
Jusqu’à ce marathon de 12h qui a été comme une « confirmation » sportive de mes nouvelles capacités physiques et sportives.
Assurée de ce petit succès (enfin… J’étais pas peu fière :p ), j’ai commencé à tester de nouvelles choses.
A mettre de l’équilibre dans ma vie.

 

Et puis… BOOM !
Une pause de 6 mois.
(Mais c’est un article trop positif que pour parler de choses tristes)

 

Donc, voila, après 6 mois, je reprends le RPM (c’est à peu près la même chose, les bras et les pompes en moins).
La machine est un peu rouillée mais le plaisir est le même.
J’en ai souvent parlé avec d’autres adeptes (donc, non, je suis pas complètement dingue) mais il y a toujours ce moment incroyable où tu perds pied.
Tu as beau être dans le contrôle strict de ta cadence, dans l’effort intense de tes cuisses, dans la gestion de ton souffle, il y a ce moment où ton esprit s’évade. Où tu es ailleurs.
Selon les gens, ça varie entre la vraie sensation de course ou un état second mais on ressent à peu près tous ce moment.  Tu entends plus que tu n’écoutes la musique. Tu es invincible. Tu ne sens plus rien si ce n’est une impression de vitesse. De toute puissance.Et ça « change » véritablement les gens ! C’est assez drôle d’observer des personnes relativement effacées, au caractère bien plus introverti que le mien encore, monter sur un vélo et devenir – à leur tour – la meilleure version d’eux-même.
Plus assurés, plus souriants, plus motivés, gagnants en superbe et en confiance en soi, prêts à se dépasser, à aller jusqu’au bout…

 

Je serais peut-être moins attachée à cette pratique si elle n’avait pas un tel impact affectif sur moi. J’ai également eu la chance de rencontrer des gens aussi passionnés que moi par ce biais (à croire que quand tu aimes, tu ne comptes pas dans cette discipline) ce qui lui rajoute encore un impact émotionnel.
MAIS pour moi, ça reste et restera le sport dans lequel je me sens le mieux. A ma place.
Mon tournant vers une vie plus saine et plus active.
Mon épiphanie.

 

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#Woman

“Laissez les femmes être ce qu’elles veulent…”
Voici le message que dénonce Jess Fielder, une photographe originaire de New Jersey qui a réalisé une campagne photographique pour dénoncer les contraintes sociales concernant la beauté des femme.

Avec pour slogan « Vous ne devez la beauté à personne », la photographe a immortalisé une quinzaine de femmes portant un message propre à chacune. Ces messages correspondent à des remarques qu’elles ont subi à propos de leur physique, et qui les ont particulièrement blessées à l’époque.

« Vous n’avez pas à être belles. Vous ne « devez » la beauté à personne. Pas à votre petit ami/époux/partenaire, pas à vos collègues, et surtout à des hommes aléatoires dans la rue. Vous ne le devez pas à votre mère. Vous ne le devez pas à vos enfants. Vous ne le devez pas à la civilisation en général. »

Chaque femme devrait se sentir bien dans sa peau comme elle le souhaite, sans qu’elle n’ait à répondre aux remarques d’autrui ni à se justifier sur son physique.
Un point c’est tout !

https://m.facebook.com/JessFielderPhotography/