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#Blasée

💣Top 5 des relous sur Instagram💣
Attention chérie… Ça va bitcher…

 

N°1 : Celui qui ne te lit pas. Il te trouve « jolie », « ravissante » ou « belle o quotidien » à chacun de tes posts mais, au fond, ce que tu racontes, il s’en cogne. Ce qu’il veut c’est du nichon ou du fessard (à défaut la couleur de tes sous-vêtements). Depuis quand les nanas ont le droit de parler d’ailleurs ? T’es pas sur Insta pour te mettre à pwal ? T’es pas là pour mon plaisir ?

 

N°2 : Celui qui veut te vendre un truc. Il te connait pas, il t’a follow sans regarder ton compte mais FORCÉMENT tu veux perdre du poids ou avoir le cheveu qui pousse plus vite (véridique). Autant dire qu’avec moi qui aime ni le thé, ni les shakers, ni les wraps en couenne de jambon… c’est mal barré.

 

N°3 : Celui qui t’attaque direct au petit doigt. Lui, tu as jamais vu sa tronche mais tu sais ce qu’il cache dans son slibard. Et… Au final… tu comprends pas pourquoi, tu comprends pas comment ça pourrait marcher. Tu soupires et tu bloques. Sans intérêt. Comme le matos proposé souvent d’ailleurs 😁

 

N°4 : Celui qui veut te conseiller. Alors bien souvent, il est pas coach, il va pas forcément à la salle MAIS il a vu des vidéos youtube… Il a eu son diplôme de diététique en épluchant une banane et ÉTRANGEMENT lui non plus tu as jamais vu sa tronche (il ne poste que des photos de son chien Titou) mais « put* ma fille tu devrais remplacer tes frites par du riz blanc ». Euh… ah quoi ? Pardon ? J’ai demander ton avis ?

 

N°5 : Celui qui a un avis sur toi. Tu as jamais gardé les chèvres avec lui mais la vision de ce que tu postes sur IG lui a donné une profonde connaissance de ton âme et de tes aspirations. « Tu te déshabilles trop », « tu vends ton âme », « tes leggings sont trop sexy », … Pauvre petite brebis égarée que je suis. Je m’en voudrais tellement de ternir ton âme immortelle. Je te propose donc de te libérer des chaînes qui te lient à mon compte pour aller te lancer une vidéos de petits chatons. C’est pas grave. Je ne t’en veux pas 😘❤

 

 

💣Top 5 des relous sur Instagram💣 Attention chérie… Ça va bitcher… … N°1 : Celui qui ne te lit pas. Il te trouve « jolie », « ravissante » ou « belle o quotidien » à chacun de tes posts mais, au fond, ce que tu racontes, il s’en cogne. Ce qu’il veut c’est du nichon ou du fessard (à défaut la couleur de tes sous-vêtements). Depuis quand les nanas ont le droit de parler d’ailleurs ? T’es pas sur Insta pour te mettre à pwal ? T’es pas là pour mon plaisir ? … N°2 : Celui qui veut te vendre un truc. Il te connait pas, il t’a follow sans regarder ton compte mais FORCÉMENT tu veux perdre du poids ou avoir le cheveu qui pousse plus vite (véridique). Autant dire qu’avec moi qui aime ni le thé, ni les shakers, ni les wraps en couenne de jambon… c’est mal barré. … N°3 : Celui qui t’attaque direct au petit doigt. Lui, tu as jamais vu sa tronche mais tu sais ce qu’il cache dans son slibard. Et… Au final… tu comprends pas pourquoi, tu comprends pas comment ça pourrait marcher. Tu soupires et tu bloques. Sans intérêt. Comme le matos proposé souvent d’ailleurs 😁 … N°4 : Celui qui veut te conseiller. Alors bien souvent, il est pas coach, il va pas forcément à la salle MAIS il a vu des vidéos youtube… Il a eu son diplôme de diététique en épluchant une banane et ÉTRANGEMENT lui non plus tu as jamais vu sa tronche (il ne poste que des photos de son chien Titou) mais « put* ma fille tu devrais remplacer tes frites par du riz blanc ». Euh… ah quoi ? Pardon ? J’ai demander ton avis ? … N°5 : Celui qui a un avis sur toi. Tu as jamais gardé les chèvres avec lui mais la vision de ce que tu postes sur IG lui a donné une profonde connaissance de ton âme et de tes aspirations. « Tu te déshabilles trop », « tu vends ton âme », « tes leggings sont trop sexy », … Pauvre petite brebis égarée que je suis. Je m’en voudrais tellement de ternir ton âme immortelle. Je te propose donc de te libérer des chaînes qui te lient à mon compte pour aller te lancer une vidéos de petits chatons. C’est pas grave. Je ne t’en veux pas 😘❤

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#Inertia (épilogue)

Jolie petite claque hier soir après mon dernier post.
Intense réflexion cette nuit.
Ça a mis mon subconscient au supplice apparemment !

Je ne me suis pas rendue compte de la portée de ce que je disais en parlant de mon rapport à la maladie et à l’inactivité.
Je ne me défends pas de ce que j’ai écrit, ça reste un ressenti personnel : quand je suis malade, je fais à chaque fois le deuil de cette toute-puissance dont je me crois dotée. Je déteste le sentiment de vulnérabilité que je ressens.
Je déteste le sentiment de vulnérabilité que ça renvoie.

Je pense que ça vient de mon éducation/de mon environnement.
Chez nous, on est tout simplement pas malade.
On résiste.
On est des durs.
Rien ne nous atteint (je caricature à peine).
On ne se donne pas le droit d’être autre chose qu’infaillible. Et quand bien même ça arrive (oui… on aime le penser mais on est pas des dieux)… On est dans le déni.
On ira pas chez le médecin sans être mourant (hum hum), on résistera jusqu’à ce qu’il soit limite trop tard.

BREF après le petit bout de discussion hier soir avec ma délicieuse quelques uns d’entre vous…
J’entrevois la vacuité de cette éducation de spartiates.
La maladie, ce n’est pas une faiblesse, c’est déjà un combat en soi.
Comment peut on être faible quand on se bat ?
Et, au final… depuis quand l’aveu de vulnérabilité est-il devenu une faiblesse ?
Être vulnérable, c’est admettre pouvoir être blessé ou exposé.
Et si…
Et si c’était une manière de protéger son cœur vulnérable dans une armure de fer ?
Comme si l’un pouvait protéger l’autre ?

 

 

❄Instagram polaire❄ Température : -6° – Ressenti : -13° … Jolie petite claque hier soir après mon dernier post. Intense réflexion cette nuit. Ça a mis mon subconscient au supplice apparemment 🤣 … Je ne me suis pas rendue compte de la portée de ce que je disais en parlant de mon rapport à la maladie et à l’inactivité. Je ne me défends pas de ce que j’ai écrit, ça reste un ressenti personnel : quand je suis malade, je fais à chaque fois le deuil de cette toute-puissance dont je me crois dotée. Je déteste le sentiment de vulnérabilité que je ressens. Je déteste le sentiment de vulnérabilité que ça renvoie. … Je pense que ça vient de mon éducation/de mon environnement. Chez nous, on est tout simplement pas malade. On résiste. On est des durs. Rien ne nous atteint (je caricature à peine). On ne se donne pas le droit d’être autre chose qu’infaillible. Et quand bien même ça arrive (oui… on aime le penser mais on est pas des dieux 😁)… On est dans le déni. On ira pas chez le médecin sans être mourant (hum hum), on resistera jusqu’à ce qu’il soit limite trop tard… … BREF après le petit bout de discussion hier soir avec ma délicieuse @maliceaupaysdescervelles, mon éternel @julienrofidal et mes deux petites decouvertes du soir, @mariemeneghel et @carene_renauxdelloue … … J’entrevois la vacuité de cette éducation de spartiates… La maladie, ce n’est pas une faiblesse, c’est déjà un combat en soi. Comment peut on être faible quand on se bat ? Et, au final… depuis quand l’aveu de vulnérabilité est-il devenu une faiblesse ? … Être vulnérable, c’est admettre pouvoir être blessé ou exposé. Et si… Et si c’était une manière de protéger son coeur vulnérable dans une armure de fer ? Comme si l’un pouvait protéger l’autre ?

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#Inertia

Après avoir mis un peu d’ordre dans mes idées (et vous avez pas idée du foutoir que c’est là-dedans),
je reviens sur mon mini-psychodrame de ce début d’année : cette foutue attaque de mucus.
Bon… Vous pourriez dire que je dramatise et que personne aime être malade.
Et vous auriez raison.
Personne aime être malade et j’ai une propension naturelle au drama.
Mais là où je m’interpelle, c’est que… Même les deux bronches trempant de le mucus le plus épais,
le nez bouché (et dieu sait que je ne SUPPORTE pas ça),
la gorge en feu,
la vaillance d’un bébé loutre,
et l’énergie d’un marmotton narcoleptique.
La seule et unique chose qui me préoccupait, c’était… La reprise du sport.

Pour toi, ça ne veut rien dire (ou c’est, au contraire, vachement préoccupant) mais pour moi, c’est juste incompréhensible. Il y a encore 5 ans de cela, je n’en calais absolument pas une.
Rien.
Je courais même pas après le bus.
Je m’étais résignée à une vie malheureuse et dodue en évitant soigneusement les gens qui me bassinaient avec leurs salle de sport, cours co’, step et autre aquagym.
Le sport, c’était clairement pas pour moi.
(Et à l’heure où j’écris ça… J’en ris encore !)

 

 

SO WHAT ?

 

Tout d’abord, je pense qu’une partie de moi aura toujours cette peur panique de reprendre du poids.
J’ai beau essayer de relativiser. De rationaliser. De me convaincre. Et, au final, me dire que c’est pas grave…
Ça a été une telle bataille, une telle croix à porter, une telle souffrance que la perspective de « tout devoir recommencer » me serre le cœur à chaque fois que j’y pense.
Le spectre de la « rechute » n’est jamais loin.
C’est totalement irrationnel de penser reprendre 30kg en une semaine quand, de toute façon, t’es malade façon moyenâgeuse au temps de la grande peste mais, c’est un fait, l’idée me hante.
Et pourtant, ce n’est pas ce que je prône. Ce n’est pas ce que je souhaite à autrui. Ce n’est même pas ce que je me souhaite à moi-même.
Simplement, au-delà du physique qui, objectivement, ne me déplaisait pas vraiment, même à l’époque; c’est plutôt un état d’esprit que je ne veux pas retrouver.
Un mal-être. Un état plus passif. Une dévalorisation totale. Une dépression, en somme.

 

Ensuite, au fil de ces 5 ans, est venue s’insinuer cette idée insidieuse que si jamais je m’arrêtais, je pourrais tomber.
Ce qu’on ne vous dit pas quand vous perdez beaucoup de poids et que vous décidez de changer vos habitudes, c’est que vous serez en rémission à vie.
C’est une idée complètement farfelue de croire qu’un jour on faisait n’importe quoi de sa vie et de son corps et que le lendemain on se réveille plein de bonne volonté avec un tout nouveau programme sportif et alimentaire.
Non.
C’est une prise de conscience quotidienne.
Est ce que ma santé/ma vie/mon être a assez de valeur pour être soigné et entretenu ?
Est ce que je m’aime assez pour m’accorder ce temps de « bien-être » ?
Atteindre son objectif de poids, c’est pas trouver le saint Graal.
Non seulement, il faut savoir s’arrêter à un moment raisonnable mais il faut également composer avec la nouvelle nana que vous croisez le matin dans le miroir de la salle de bain.
Bah… Oui… C’est un fait. Votre corps change mais votre visage change aussi !
J’avais une bonne bouille de bébé hamster et, d’un coup ou presque, je prends conscience que j’ai des pommettes plutôt hautes et découpées, des fossettes quand je souris et… disons le… Un air bien plus coquin qu’avant.
Ton regard change.
Mais le regard des autres changent aussi !
Sans même y faire attention, de la bonne copine, tu passes à la fille facile.
30 kg de moins… ça t’offre une toute autre dimension.
30 kg de moins et tu n’es plus vraiment toi-même.
30kg de moins et je t’assure que, même toi, tu aurais du mal à te reconnaître.

Mais, c’est typiquement quelque chose à laquelle tu ne VEUX PAS penser :
Où tu te situes toi entre la petite boule et cette blonde élancée ?
Qu’est ce que tu as sacrifié de toi pour devenir celle que tu voulais ?
Quel est le pourcentage de « vrai » en toi ?
Est ce que tu évolues en bien ?
Est ce que tu te rapproches VRAIMENT de cette meilleure version de toi-même ?

Alors, tu cours, tu soulèves lourd, tu danses, tu circuites, tu écris, tu dis oui à plein de nouveaux projets, …
Pas le temps de réfléchir, pas le temps de t’ennuyer et c’est tant mieux parce que, honnêtement, l’ennui me tue.
« Si je m’arrête, je tombe », l’hyperactivité semble être une saine solution.
Je ne veux pas m’arrêter, pas me poser, je veux m’évader.

N.B. : Je dois bien avouer, a posteriori, que ce repos forcé m’a fait incroyablement du bien, ne serait-ce que pour apprécier le travail accompli et d’avoir eu l’agréable occasion de manquer un peu à certains. C’est parfois dans le manque que l’on se rend compte de ce que l’on possède réellement.

 

Enfin, et c’est peut-être le plus difficile à admettre; ne rien faire, c’est aussi faire le deuil d’un certain sentiment de toute puissance.
Je suis quelqu’un qui maitrise, qui gère, qui assure. Dans tous les domaines. Tout le temps.
(Oh yeah)
Ce n’est même pas vraiment une joie pour moi-même, c’est quelque chose qui m’a toujours été imposé (ou en tous cas, j’en ai toujours eu l’impression).
Être parfaite. En tous points. En toutes circonstances.
Je ne me fais aucune concession. Je ne transige pas avec moi-même et (malheureusement) rarement avec les autres.
MAIS JE ME SOIGNE ! C’est promis …
Du coup, pour moi, cet aveu publique, de vulnérabilité, c’est insupportable.
Insupportable et à la limite de la honte.
Les gens parfaits ne sont pas malades. Ils ne sont pas vulnérables. lls ne sont pas faibles.
Je ne veux pas être faible.
Je ne veux plus être une victime.
De personne.

BON… OK… !
Ça ne m’excuse pas de vous avoir saoulé à mort avec ma reprise du sport.
Mais si ça peut vous permettre de réaliser que ce n’était pas « gratuit » et que tout n’est pas toujours aussi simple qu’on veut bien le faire croire…
C’est déjà ça 😉

La route est encore longue mais… On va rester sur le bodypositive !
C’est promis !

 

 

 

 

 

 

 

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#Invictus

Invictus

Dans les ténèbres qui m’enserrent
Noires comme un puits où l’on se noie
Je rends grâce aux dieux, quels qu’ils soient
Pour mon âme invincible et fière.

Dans de cruelles circonstances
Je n’ai ni gémi ni pleuré
Meurtri par cette existence
Je suis debout, bien que blessé.

En ce lieu de colère et de pleurs
Se profile l’ombre de la Mort
Je ne sais ce que me réserve le sort
Mais je suis, et je resterai sans peur.

Aussi étroit soit le chemin
Nombreux, les châtiments infâmes
Je suis le maître de mon destin
Je suis le capitaine de mon âme.

William Ernest Henley (1843-1903)

 

 

 

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#Back

Seul est vaincu celui qui renonce.
Tous les autres sont victorieux.

Et le jour viendra où les moments difficiles ne seront plus que des histoires qu’ils seront fiers de raconter, à ceux qui voudront écouter.

Et tous les entendront avec respect et apprendront trois choses importantes :
1) La patience d’attendre le bon moment pour agir.
2) La sagesse de ne pas laisser échapper l’occasion suivante.
3) Et la fierté de leurs cicatrices.

Les cicatrices sont des médailles gravées au fer et au feu dans la chair et elles effraieront leurs ennemis, en montrant que la personne qui est devant eux a une grande expérience du combat.
Cela les conduira très souvent à rechercher le dialogue et évitera le conflit.

Les cicatrices parlent plus fort que la lame du couteau qui les a causées.

(du livre  » Le manuscrit retrouvé », p. Coelho, Ed. J’ai Lu)

Publié dans Do it for the gram, Quelques mots

#Love

 » Tu écoutes, tu regardes, mais rien ne t’intéresse.
Tu es derrière un mur.
Tu ne touches pas notre temps.
Ton passé t’a suivie dans le conscient et le subconscient de ta mémoire.
Tu ne penses qu’à t’y replonger, à le retrouver, à le revivre.
Le présent pour toi, c’est lui. « 
[…]
 » Tu me comprends, tu avais compris, peut-être pas tous les mots, mais assez de mots pour savoir combien, combien je t’aimais.
« Je t’aime », « l’amour », amour, ces mots n’ont pas de sens dans votre langue, mais tu les avais compris, tu savais ce qu’ils voulaient dire, ce que je voulais te dire, et s’ils ne t’avaient pas apporté l’oubli et la paix ils t’avaient donné, apporté, posé sur toi assez de chaleur pour te permettre de pleurer. »
Barjavel – La nuit des temps
Païkan et Elea
Pour toujours et jamais
Publié dans Quelques mots

#LiveAndLetDie

Il meurt lentement
celui qui ne voyage pas,
celui qui ne lit pas,
celui qui n’écoute pas de musique,
celui qui ne sait pas trouver
grâce à ses yeux.

Il meurt lentement
celui qui détruit son amour-propre,
celui qui ne se laisse jamais aider.
Il meurt lentement
celui qui devient esclave de l’habitude
refaisant tous les jours les mêmes chemins,
celui qui ne change jamais de repère,
Ne se risque jamais à changer la couleur
de ses vêtements
Ou qui ne parle jamais à un inconnu.

Il meurt lentement
celui qui évite la passion
et son tourbillon d’émotions
celles qui redonnent la lumière dans les yeux
et réparent les coeurs blessés

Il meurt lentement
celui qui ne change pas de cap
lorsqu’il est malheureux
au travail ou en amour,
celui qui ne prend pas de risques
pour réaliser ses rêves,
celui qui, pas une seule fois dans sa vie,
n’a fui les conseils sensés.

Vis maintenant !
Risque-toi aujourd’hui !
Agis tout de suite!
Ne te laisse pas mourir lentement !
Ne te prive pas d’être heureux !

 

Publié dans Do it for the gram, Quelques mots

#Toxic

« Ne laissez pas les personnes négatives et toxiques louer de l’espace dans votre tête (ou dans votre coeur) !

Augmentez le loyer et foutez-les à la porte ».

Il est temps de croire assez en vous, de vous aimez assez, pour prendre soin de vous…
Peu importe qui vous êtes, peu importe à quel point vous aimez votre entourage, peu importe le temps que vous avez passé avec eux,…
On est les seuls artisans de son bonheur.
C’est un poids pour l’autre que de lui donner cette responsabilité et c’est avoir bien peu de foi en soi que de s’y soustraire

Aimez-vous vous-même.
Il n’y a que vous pour savoir comment vous aimeriez être aimé 😉

 

Publié dans Do it for the gram

#PoleDance

Le pole dance, kesako ?

C’est une discipline qui mêle danse et acrobaties autour d’une barre (Wiki est ton ami).
Pratiquée à l’origine dans les cirques où des danseuses dansaient autour des poteaux entre les numéros pour distraire les spectateurs, cette danse a été reprise par les strip-teaseuses à partir des années 1950, et a été sortie de son environnement érotique dans le courant des années 1990.

Mais la « pole » (comme on dit entre initiées :D), c’est surtout un sport méconnu qui a une certaine parenté avec le yoga ou le pilate d’un point de vue technique. C’est une manière originale de travailler sa force (les bras,oui, les épaules, oui, les pecs, oui oui oui) et le gainage dans toute sa complexité. C’est également une manière de la travailler avec un peu plus de souplesse et de grâce que dans le coin poids libres de ta salle de sport.

La pole est donc une barre en métal qui peut éventuellement tourner sur elle-même (même si, personnellement, mon estomac n’y est pas encore tout à fait habitué). Sur cette barre, on peut exécuter toute une série de figures :

  • Les spins, figures réalisées en mouvement, où l’on tourne autour de la barre,
  • Les tricks, qui sont des figures posées et fixes, sur la barre,
  • Le floorwork, « travail au sol », qui consiste en des passages dansés, proche de la gymnastique,
  • Les inversions, qui sont réalisées sur la barre mais la tête à l’envers !,
  • Les drops, qui nécessitent de se laisser glisser très rapidement sur la barre sans toucher le sol,
  • Et les transitions, qui sont tous les passages dansés permettant de passer d’une figure à une autre.

 

 

Pourquoi se lancer dans la pole ?

Parce que c’est très stimulant et ludique : on a tout de suite envie d’en faire de plus en plus et tout le temps ! De tester de nouvelles poses !
La réussite d’une figure est une joie intense et incomparable <3
On a l’impression de repousser les limites du possible chaque semaine ! Virée hors de ta zone de confort assurée !

C’est l’occasion de « faire des trucs de filles » et entre filles. Je ne suis pas spécialement douce et gracieuse (voire… Franchement bourrine parfois), du coup, c’est l’occasion d’explorer une facette de ma personnalité que je ne mets pas vraiment en avant. Plus posée. Plus calme. Qui prend le temps. Qui essaie de faire les trucs bien et joliment…
Entendons-nous bien. C’est pas ambiance camion et posters de pin-up au fond de la cabine à la casa MAIS je dois bien avouer que je suis souvent bondissante, bruyante, passablement grisée par les endorphines, en sueur, à faire des concours de bibi ou de blagues salaces avec la team.
C’est pas la même ambiance à la pole… Définitivement.

ET – point bonus pour moi – c’est une véritable thérapie pour mon vertige… Vraiment.
J’ai vraiment vécu une espèce d’angoisse à monter au cocotier la première fois mais je sens que c’est en train de passer… Tout doucement…
Je suis pas très grande alors, un pied sur le tabouret, c’est déjà un peu la tête dans les nuages pour moi…
:p

 

 

Mais si c’est un sport si complet et si merveilleux… D’où vient sa mauvaise réputation ?
Entre autres, du fait que les personnes qui pratiquent portent peu de vêtements.
Oui. C’est un fait, on adhère moins bien à la barre avec un collant et un col roulé.

Une autre chose à prendre en compte si vous décidez de vous lancer là dedans : la pole FAIT MAL.
Et ça fait même TRÈS MAL.
Bleus, hématomes, brûlures en tous genres et à des endroits… Incongrus… C’est un sport qui va questionner votre rapport à la douleur.
Vous ne pourrez pas l’éviter. Vous allez devoir la supporter. Vous devrez être endurante.
Et je ne parle pas de serrer les dents pour finir votre dernière série de squats au PUMP…
Nan…
Je te parle de serrer cette barre entre tes cuisses jusqu’à ce que toutes tes jointures blanchissent, de tenir la pause pendant quelques loooongues minutes alors que tu sens ta peau se décoller peu à peu, le tout avec ton plus beau sourire et toute ta grâce.
50% dans tes muscles – 50% dans ta force mentale (et ce n’est pas un ratio qui me semble exagéré)

 

 

FAQ express spécial pole dance ( à lire sur Instagram )

🐢 Oui, C’est super physique !
On est toujours en appui sur les plats de pieds, l’intérieur des jambes ou suspendue par ses bras…
Et ce, gainée en permanence… un vrai défi sportif !

🐢 Non, on finit pas à poil.
C’est pas du striptease.
Déso pas déso.

🐢 Pourquoi ? Parce que j’avais envie de tester un truc nouveau et « plus féminin ».
J’ai pas souvent l’occasion de me connecter à ma féminité ou de laisser s’exprimer ma grâce naturelle (Mouahahahah) lors de mes trainings habituels (grosses charges, gros poids, POWAAAA).
Alors ? Pourquoi pas ?
On s’ennuie à faire toujours la même chose 😊

🐢 Et Non, C’est beaucoup moins vulgaire que tes propres pensées ou tes commentaires (message perso 😁)

A lire :
Madmoizelle, http://www.madmoizelle.com/pole-dance-153193

Sport equipements, https://www.sport-equipements.fr/cours-pole-dance/

Toujours-curieux, http://toujours-curieux.com/pole-dance/

Body&moves  :

http://blog.bodyandmoves.fr/10-choses-aurais-aime-savoir-avant-commencer-pole-dance/

 

Publié dans DoItYourself, Du sucre, des épices et plein de bonnes choses !

#Porridge

Une semaine de #porridge !
Et vous savez quoi ? Je crois que ça fait partie de mes meilleures résolutions surprises de 2018 !

Habituellement, je déjeunais avec des céréales (…et une ☕) mais…
Ça ne me calait pas, je suis super difficile en céréales, c’est souvent trop sucré, j’aime pas les raisins secs, je ne peux en manger qu’avec du lait de vache qui a passé au moins une nuit au frigo…
BREF galère galère galère au cube pour un résultat … pas folichon.
J’ai toujours faim ET les céréales que j’aime me coûte un demi rein le paquet.

J’ai testé les bowlcakes que j’aime beaucoup mais qui – pour le coup- me calent beaucoup trop.

  • Les beans et les oeufs mais il faut bien avouer que ça retourne l’estomac de monsieur de me voir manger salé le matin.
  • Les pancakes mais… J’ai absolument pas le temps le matin.
  • Les tartines de confiture. Mais ce n’est pas la solution.
  • Bon les viennoiseries, c’est rigolo le dimanche de temps en temps mais c’est du sucre sur une belle tranche de gras.

C’est donc complètement par hasard que je me suis retrouvée à partager un porridge avec ma Brownie un jour de perdition et que… mes matinées ce sont embellies d’un coup !

✅C’est super easy à préparer
✅Ça cale super bien
✅C’est super équilibré (à doser soi-même avec une portion de fruits et une touche de chocolat ❤)
✅C’est super gourmand ! Et bien plus sexy qu’un weetabix
✅C’est carrément super pas cher
✅C’est variable à l’infini


J’ai déjà pu tester avec toutes sortes de laits (amande, soja vanille, coco, soja non sucré,…) ce qui a banni le dernier usage que j’avais du lait de vache à la casa !
J’ai une pêche d’enfer ❤
Je retrouve l’envie de prendre un petit dej ❤❤
ET j’ai l’impression d’avoir bien moins de fringales entre les repas ❤❤❤
Petit dej adopté !

Et si quelqu’ un a de chouettes recettes à proposer… je suis preneuse !!!

 

La recette de base  :

  • Une mesure de flocons d’avoine
  • Une mesure et demi de lait végétal
  • 1 minute au micro-ondes
  • Des fruits coupés
  • Des chunks de chocolat
  • ENJOY IT !

 

Lait de soja vanille, bananes et chocolat <3

 

Lait de soja à la vanille, kiwis et chocolat

 

Lait d’amandes, bananes et chocolat

 

Lait de coco, bananes et chocolat

 

Lait d’amandes non sucré, fromage de chèvre, poivrons et chorizo…

(Faites gaffe, il tient au corps celui-là)