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#Echelon

Attention…
C’est le moment groupie !

21.03.2018 – Concert de 30 seconds to mars au Lotto Arena (Anvers)

Il y a 1001 raisons pour lesquelles j’aime ce groupe : son style très alternatif, ce savoureux mélange rock-électro mais pas trop, sa différence assumée, le soin apporté à leurs textes et à leurs clips, la voix de Jared Leto… mais je reste toujours conquise par leur proximité avec leur public et le côté « grosse teuf entre potes » que prend chacun de leur concert.

La communauté de fans (l’Echelon) est à la fois super vivante, bienveillante et engagée, ce qui donne TOUJOURS un côté particulièrement chaleureux à leur représentation.
J’irai même plus loin en disant que certaines chansons semblent vraiment écrites et composées dans le seul et unique but d’être reprise en chœur sur scène (this is war, city of angel,…) comme si l’Echelon faisait partie intégrante de ces morceaux…
Une communion des cœurs (oh que c’est beau ce que j’écris) où Jared Leto tient le rôle principal : celui de gourou voire… de messie. Une voix indescriptible…
La force des anges et la beauté du diable… Mais là, je m’égare !

Leader charismatique et sautillant, il tient d’ailleurs de plus en plus à ses performances 2.0 puisqu’une chanson du set est systématiquement partagée en direct live sur Instagram, une manière de plus de vivre ces moments avec toute la communauté.

BREF, c’était encore une fois l’occasion de passer un moment magique avec l’Echelon, de chanter à tue-tête, de jumper, de rigoler (les tentatives de néérlandais de Jared étaient impayables ) et de profiter d’un moment définitivement hors du temps…

 

30 – Sens inverse des aiguilles d’une montre – 2 (two ou plutôt to) – Mars (avec ses deux petits satellites)

Matt dira :  » L’Echelon est pour nous, la famille que nous souhaitons avoir en grandissant. C’est cette communauté « .
Jared reprendra :  » Chacun apporte sa pierre à l’édifice. 30 Seconds To Mars ce n’est pas seulement le groupe c’est aussi une toile de personnes reliées entre elles un peu partout dans le monde « .

 

WE ARE ECHELON

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#Woman

 « 8 mars… Journée de la femme »
Ma boite mail est littéralement SATURÉE de messages promotionnels : 50% pour des petites robes chez Zalando, le nouveau rouge à lèvres L’oréal à moitié prix, des fleurs à te faire offrir chez machin par ton mari, des bonbons chez trucs, hellofresh, des bavettes pour petits bouts, …
HELLO ?
Quelle est la femme que tu célèbres aujourd’hui ?
LA NANA (unique et intemporelle) blanche, hétérosexuelle, mince, fit et maman ?
 

BREAKING NEWS !
Le 8 mars est la journée internationale des droits des femmes…
TOUTES les femmes.
Toi; moi; la petite métisse qui se fait chahuter dans le bus; ta grosse voisine que les gamins arrêtent pas d’insulter, ta mère qui se tue à la cuisine/ménage/boulot quand ton paternel reste le cul figé dans le canapé; les gamines de 13 ans – mais déjà femmes – qu’on marient à Pierre, Paul ou Jacques; les trophées de guerre; les lesbiennes qu’on viole pour les rééduquer; celles qui se vendent pour survivre; les working girls qui auront jamais cette fameuse promotion parce qu’elles portent mal la moustache,…

BREF… Reprends tes fleurs et tes petits compliments préparés spécialement pour l’occasion (parce qu’on avait vraiment besoin d’une occasion ?) et offre moi – offre nous – une tribune pour faire valoir cette idée simple :  » les femmes (et non pas « la femme ») sont des êtres humains comme les autres ».
La vraie victoire, elle se célébrera quand il ne faudra plus une journée dédiée pour se le rappeler…

« 8 mars… Journée de la femme »… Ma boite mail est littéralement SATURÉE de messages promotionnels : 50% pour des petites robes chez Zalando, le nouveau rouge à lèvres L’oréal à moitié prix, des fleurs à te faire offrir chez machin par ton mari, des bonbons chez trucs, hellofresh, des bavettes pour petits bouts, … … HELLO ? Quelle est la femme que tu célèbres aujourd’hui ? LA NANA (unique et intemporelle) blanche, hétérosexuelle, mince, fit et maman ? … … BREAKING NEWS ! Le 8 mars est la journée internationale des droits des femmes… TOUTES les femmes. Toi; moi; la petite métisse qui se fait chahuter dans le bus; ta grosse voisine que les gamins arrêtent pas d’insulter, ta mère qui se tue à la cuisine/ménage/boulot quand ton paternel reste le cul figé dans le canapé; les gamines de 13 ans – mais déjà femmes – qu’on marient à Pierre, Paul ou Jacques; les trophées de guerre; les lesbiennes qu’on viole pour les rééduquer; celles qui se vendent pour survivre; les working girls qui auront jamais cette fameuse promotion parce qu’elles portent mal la moustache,… … BREF… Reprends tes fleurs et tes petits compliments préparés spécialement pour l’occasion (parce qu’on avait vraiment besoin d’une occasion ?) et offre moi – offre nous – une tribune pour faire valoir cette idée simple :  » les femmes (et non pas « la femme ») est un être humain comme les autres. … La vraie victoire, elle se célébrera quand il ne faudra plus une journee dédiée pour se le rappeler… … #fit #fitness #fitfam #fitgirl #fitmom #healthy #instagood #beyou #weightloss #lifestyle #fitfrenchies #gains #getfit #momlife #inked #instadaily #noexcuses #teamshape #eatcleantraindirty #inspiration #bodypositive #bodytransformation #happylife #quotes #picoftheday #internationalwomenday #woman #motivation #determination #nopainnogain

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#War

#bodytransformation
Vous perdrez du poids,
Vous perdrez du gras,
Vous perdrez de l’eau,
(Que ce soit vos larmes ou votre sueur)
Vous perdrez votre sourire parfois,
Vous perdrez peut-être quelques « amis » au passage,

Assurez-vous de ne pas perdre votre TEMPS et de rester GAGNANTS dans tous vos combats…
Quels qu’ils soient…
Ne sacrifiez pas TOUT.
Continuez à ponctuer votre vie de petits plaisirs, savourez le chemin parcouru.
Si cela doit être une bataille, ne vous faites pas la guerre.
Que le jeu en vaille la peine et que la victoire soit belle 💞

 

 

Invictus Dans les ténèbres qui m’enserrent Noires comme un puits où l’on se noie Je rends grâce aux dieux, quels qu’ils soient Pour mon âme invincible et fière. Dans de cruelles circonstances Je n’ai ni gémi ni pleuré Meurtri par cette existence Je suis debout, bien que blessé. En ce lieu de colère et de pleurs Se profile l’ombre de la Mort Je ne sais ce que me réserve le sort Mais je suis, et je resterai sans peur. Aussi étroit soit le chemin Nombreux, les châtiments infâmes Je suis le maître de mon destin Je suis le capitaine de mon âme. William Ernest Henley (1843-1903) … (C’était ça que je voulais vous partager hier 😜) … #fit #fitness #fitfam #fitgirl #fitmom #healthy #instagood #fitnessaddict #weightloss #lifestyle #trainhard #gains #getfit #momlife #mom #workout #noexcuses #teamshape #eatcleantraindirty #inked #run #bodytransformation #blonde #workhard #picoftheday #training #physique #motivation #determination #nopainnogain

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#ChallengeBWRun

Bon…
Je sais pas si c’était la performance du siècle (🤣) mais après cette looooooongue hésitation « j’y vais-j’y vais pas »…
Je suis terriblement fière et heureuse d’avoir distancé cette ancienne version (la plus défaitiste peut-être) de moi-même.
Ça, c’est dit.
Après, je dois bien l’avouer, pour quelqu’un qui ne court pas, je ne comprends pas comment je fais pour me retrouver dans ce genre de défi sportif DEUX ANS de suite…

Piqure de rappel « Semi-marathon » et « Spartacus Series » ici et ici.

Cette année, ça sera le défi STRONG VIKING (et cette fameuse course de 19km dans la boue), le semi-marathon Disney (avec grand chelem 10km samedi et 21km dimanche) et donc … Ce fichu BW challenge.
Une série de courses. Toutes simples. Toutes les deux semaines. Toute l’année. Dans tout le Brabant Wallon.

 

Pourquoi ?
Hé oui… Je te la pose et je ME la pose aussi cette question. POURQUOI ?
Parce que mes potes n’ont, apparemment, aucun respect pour le CONSENTEMENT.
Et encore moins pour MON CONSENTEMENT PERSONNEL.
Les mauvaises langues diront qu’il en faut peu pour me tenter (et elles auront peut-être raison), les bons prendront simplement le contrepied en me posant « l’autre question », à savoir, pourquoi pas ? Et ils auront raison aussi.

 

Primo, je dirais que courir sans le moindre entrainement est une idée stupide. Vraiment stupide.
Ou masochiste. Je vous laisse le soin de me ranger dans l’un ou l’autre tiroir.
Cela dit, l’expérience « Semi marathon de Nivelles » m’a suffisamment traumatisée pour être un peu plus assidue dans mes entraînements.
Le meilleur moyen de courir mieux, c’est de courir plus souvent.
CQFD.

 

Deuzio, j’ai vraiment envie de développer cette compétence.
Sans vraiment de talent pour le moment, il faut bien se l’avouer.
Malgré tout, je compense ce manque cruel d’aptitude par un enthousiasme à peine entamé et une persévérance qui frise l’acharnement thérapeutique.
Ce n’est pas tant courir qui me plaît (voire… Pas du tout…) mais les sensations de l’arrivée.
D’avoir galéré comme un saumon remontant le cours d’eau, d’avoir exsudé la moindre goutte d’eau, d’avoir les mollets on fire, l’estomac on the road et le regard hagard MAIS d’y avoir survécu.
Et mieux encore que la survie, la récompense suprême d’une douche bien chaude et d’un masque capillaire à la noix de coco pendant que le café coule dans la cuisine.
* Orgasme *

 

Tertio, j’aime le grand air.
Et les trucs nouveaux.
Et ma team.
Comme quoi, au final, le seul truc qui me pose vraiment problème dans la course, c’est de courir.
Logique.

 

 

Petit récit de course du BW challenge Lillois
(La première s’est déroulée à Nivelles, « à domicile », et pour la deuxième… J’étais complètement imbibée dans le vin blanc)

C’était une magnifique journée ensoleillée… Une magnifique journée d’hiver. Une journée magniiifiiique balayée par les vents polaires de Sibérie.
Bref, une journée que t’aimerais passer chez toi, sous un plaid avec une grosse tasse de chocolat chaud. MAIS NAN !
Après les abdos et l’attack du samedi, on a donc multiplié les couches de gilets et doublé nos leggings pour affronter les crêtes brainoises. Et au final, habillés comme des esquimaux, c’est pas tant le froid qui a été compliqué à gérer mais un vent… UN VENT… A décorner les bœufs. Glacial et féroce.

 

C’est parti pour 13 km de course contre le blizzard !
Les 5-6 premiers kilomètres se font plutôt tranquillement. Je sens que ma régularité a quand-même porté quelques bons fruits et, même si le moindre écart de dénivelé se fait ressentir (je ne m’entraîne que sur du plat, faute de mieux), je garde mon allure moyenne. J’arrive à rester dans ma fourchette habituelle [6:10 – 5:40] malgré les aléas climatiques et cette impression persistante que, b*** de m ***, on ne fait que monter dans cette course.
Même les descentes ne sont pas ces moments de libération habituels…, et pour cause, la première vraie pente se fait avec le vent en pleine tronche. Je dois littéralement LUTTER contre le vent pour descendre.
Moment tristesse.
Si j’avais pas aussi peur qu’elles me gèlent sur les joues, je verserais bien une petite larme.

 

Je garde tout de même un bon moral passé le 7ème kilomètre qui est toujours le kilomètre charnière pour moi.
Mon entraînement « d’entretien » est, pour le moment, cantonné à un petit run de 5 à 7 km toutes les semaines (tout du moins, j’essaie). C’est la partie confort. La partie dans laquelle je m’inquiète pas trop.
Passé ce cap, je pense que mon cerveau reptilien prend peur et se met automatiquement en mode panique.
* Bruit d’alarme *
Attention mon chou, terrain inconnu, tu as dépassé la zone safe.
C’est le moment quasi-systématique où je vais commencer à avoir mal aux mollets, aux hanches et à devoir repenser à ma respiration.
Mais je gère. Je saute un peu dans ma playlist pour me passer un bon vieux Rihan, un bon vieux Linkin Park (Somewhere I belong) et ça m’apaise pour un temps.
Je pourrais profiter un peu plus du paysage si je n’étais pas déportée violemment sur le côté à chaque fois que le terrain est découvert mais ça pourrait être pire.
Et d’ailleurs le pire arrive.

10ème kilomètre. La débandade.
Je suis déjà en train de négocier avec moi-même pour savoir lequel du chocolat noisettes ou du praliné aura mes faveurs à la maison… quand se présente une côte. Mais une côté. Un truc. Interminable. Plein de pavés.
Je m’arme de patience. Je regarde devant. Je zappe sur du System of a down.
Et, tout à coup, voulant éviter une nana qui passe avec son chien, je glisse sur un pavé particulièrement malfaisant et tombe directement sur les genoux. En adoration devant les fesses du mec devant.
Mis à part quelques bleus à l’égo et une honte éternelle, les genoux vont bien. Les gens sont absolument adorables autours de moi mais… Mais… Mais… Impossible de me remettre à courir.
J’ai mal nulle part. Mais mes jambes n’en veulent plus.
Chute catastrophique de ma cadence. Et plus j’y pense, moins j’avance.
J’ai 60 pensées à la minute qui me passent en tête : m’asseoir et pleurer, faire du stop comme une lâche, appeler quelqu’un, voler un poney (véridique, on passait d’ailleurs devant une ferme).
MAIS
Heureusement, je ne sais pas plus conduire les poneys que les voitures alors… Je me remets à courir.
Dents serrées. Poings serrés. Mine renfrognée.
Je tranche pour un bout de chaque chocolat.

 

Je pense le supplice terminé quand 500m avant la ligne d’arrivée, je vois la dernière côte du parcours.
Un vrai petit muret.
J’en ai… COMPLÉTEMENT… MA CLAQUE.
Je jure.
Je jure si fort que ma voisine me fait d’ailleurs les gros yeux. Je m’en fous. Il faut que ça se finisse.
Le froid commence à traverser mes gants et j’espère secrètement que si je dois perdre un doigt, ça soit le petit.
Je grimpe.
Les quelques derniers mètres sont épouvantables. Je sais plus ce que je fais. Je ne sais plus où je suis. Je donne mon étiquette. Je présente mon dossard. Mais j’ai le cœur gros.

J’ai le cœur gros jusqu’à ce que j’entende mon prénom.
Je lève la tête pour voir deux de mes potes m’encourager comme si j’étais finisher d’un marathon.
Je souris. J’oublie le froid. J’oublie que j’ai mal. Je lève les bras comme une winneuse et, si je m’en souviens bien, je ris.
Je leur tape dans la main et on pense déjà au petit verre de récompense qui va clôturer la journée.
Je retrouve peu à peu ma team et chaque nouveau sourire est un nouveau sparadrap sur mon petit cœur de beurre.
Bon… Je fuis un petit peu… Le temps d’aller chercher le pire gobelet de thé de la création pour relâcher la pression.
C’est encore une fois ni une franche victoire, ni un cuisant échec.
Mais j’ai encore du mal à me positionner vis-à-vis de cela.
Je prends une grande inspiration. Je redessine mon plus beau sourire.
C’est un pas de plus. Un pas encore.
😉

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#Invictus

Invictus

Dans les ténèbres qui m’enserrent
Noires comme un puits où l’on se noie
Je rends grâce aux dieux, quels qu’ils soient
Pour mon âme invincible et fière.

Dans de cruelles circonstances
Je n’ai ni gémi ni pleuré
Meurtri par cette existence
Je suis debout, bien que blessé.

En ce lieu de colère et de pleurs
Se profile l’ombre de la Mort
Je ne sais ce que me réserve le sort
Mais je suis, et je resterai sans peur.

Aussi étroit soit le chemin
Nombreux, les châtiments infâmes
Je suis le maître de mon destin
Je suis le capitaine de mon âme.

William Ernest Henley (1843-1903)

 

 

 

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#BodyTransformation

 » … Oui mais c’est pas pareil. Les choses sont faciles pour toi… Tu sais pas ce que c’est que galérer, c’est naturel pour toi  »

C’est une conversation banale.
Je ne crois pas qu’elle pense à mal quand elle me dit ça…
En soufflant, les yeux au ciel.
Comme toujours…
Moi, j’aimerais bien te dire que tu te cherches des excuses et que ça te plaît de penser que j’ai choppé le chromosome sportif à la grande loterie génétique …
Ça t’évite probablement de penser que tu es la seule responsable de ton bien-être et de ton petit corps.
Mais je ne te dis rien. Je n’aime pas faire de la peine aux gens que j’aime, et ce, même quand ils me brisent le cœur.
Je reprends une gorgée de café pour te cacher mes sourcils qui se froncent et mon regard qui s’assombrit.

Non… je suis pas une « sportive » comme tu dis.
Tu as juste oublié. Tu as oublié les pots de Nutella qui effacent la tristesse et les petits biscuits qui comblent les vides.
Tu as oublié la fatigue et l’ennui. Tu as oublié qui j’étais. Ta copine d’avant. …
Je ne t’en veux pas.
Il y a des jours où, moi aussi, j’ai oublié. Où je me suis crue meilleure, supérieure. Où j’ai voulu effacer plutôt qu’améliorer. Mais je n’étais pas armée pour ce combat. Pas plus que toi.
Je n’avais que cette incroyable envie de changer et la volonté que tu m’as toujours connu. Je ne suis pas la plus rapide, la plus endurante, la plus puissante mais je suis la plus tenace.
C’est pas devenu « facile » mais, oui, je suis devenue plus forte.

Tu n’as pas besoin d’avoir une condition, d’avoir des mollets, d’avoir des 4 ou 5kg en moins… il te faut uniquement cette volonté. Cette envie. Cette motivation. Ça ne dépend que de toi ❤

 

 » … Oui mais c’est pas pareil. Les choses sont faciles pour toi… Tu sais pas ce que c’est que galérer, c’est naturel pour toi  » … C’est une conversation banale. Je ne crois pas qu’elle pense à mal quand elle me dit ça… En soufflant, les yeux au ciel. Comme toujours… Moi, j’aimerais bien te dire que tu te cherches des excuses et que ça te plaît de penser que j’ai choppé le chromosome sportif à la grande loterie génétique … ça t’évite probablement de penser que tu es la seule responsable de ton bien-être et de ton petit corps. Mais je ne te dis rien. Je n’aime pas faire de la peine aux gens que j’aime, et ce, même quand ils me brisent le coeur. Je reprends une gorgée de café pour te cacher mes sourcils qui se froncent et mon regard qui s’assombrit. … Non… je suis pas une « sportive » comme tu dis. Tu as juste oublié. Tu as oublié les pots de Nutella qui effacent la tristesse et les petits biscuits qui comblent les vides. Tu as oublié la fatigue et l’ennui. Tu as oublié qui j’étais. Ta copine d’avant. … Je ne t’en veux pas. Il y a des jours où, moi aussi, j’ai oublié. Où je me suis crue meilleure, supérieure. Où j’ai voulu effacer plutôt qu’améliorer. Mais je n’étais pas armée pour ce combat. Pas plus que toi. Je n’avais que cette incroyable envie de changer et la volonté que tu m’as toujours connu. Je ne suis pas la plus rapide, la plus endurante, la plus puissante mais je suis la plus tenace. C’est pas devenu « facile » mais, oui, je suis devenue plus forte. … Tu n’as pas besoin d’avoir une condition, d’avoir des mollets, d’avoir des 4 ou 5kg en moins… il te faut uniquement cette volonté. Cette envie. Cette motivation. Ça ne dépend que de toi ❤ … #fit #fitness #fitfam #fitgirl #fitmom #healthy #instagood #fitnessaddict #weightloss #lifestyle #trainhard #gains #getfit #momlife #mom #workout #noexcuses #teamshape #eatcleantraindirty #inked #musculation #bodytransformation #blonde #bodypositive #picoftheday #training #physique #motivation #determination #nopainnogain

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#Positive

J’étais devant mon miroir habituel, à prendre la petite photo que j’aime bien avant le cours et puis… au moment de commencer « l’inspection » (les abdos du haut poussent, pas ceux du bas ; le cuissot trop rond,…)
je me suis dit…
STOP !
Pourquoi tu te fais du mal ?
Tu viens pour rire avec tes potes, te dépenser, suer, écouter de la bonne musique…
BREF pour passer un bon moment…
Alors pourquoi tu te fais de la peine ?
Sérieux…
Petit focus sur le positif :
🌷 J’ai de chouettes mollet, une silhouette féminine, une taille marquée …
🌷Ma team se contrefout de la taille de mes bibis pour autant que je continue à rigoler et … euh … faire ce que je fais de mieux
🌷J’adore ma nouvelle brassière
🌷Je suis heureuse d’être là. En pleine possession de mes moyens et en bonne santé …

Et devinez quoi ? Ça a été une TUERIE ❤

 

Petit coup de coeur pour un des derniers posts de @fit_positive_et_happy (Ben oui, encore). J’étais devant mon miroir habituel, à prendre la petite photo que j’aime bien avant le cours et puis… au moment de commencer « l’inspection » (les abdos du haut poussent, pas ceux du bas ; le cuissot trop rond,…) je me suis dit… STOP ! Pourquoi tu te fais du mal ? Tu viens pour rire avec tes potes, te dépenser, suer, écouter de la bonne musique… BREF pour passer un bon moment… Alors pourquoi tu te fais de la peine ? Sérieux… Petit focus sur le positif (Et C’est là que je pense très fort à Kenza) : 🌷 J’ai de chouettes mollet, une silhouette féminine, une taille marquée … 🌷Ma team se contrefout de la taille de mes bibis pour autant que je continue à rigoler et … euh … faire ce que je fais de mieux 🤣 🌷J’adore ma nouvelle brassière 🌷Je suis heureuse d’être là. En pleine possession de mes moyens et en bonne santé … … Et devinez quoi ? Ça a été une TUERIE ❤ … #fit #fitness #fitfam #fitgirl #fitmom #healthy #instagood #fitnessaddict #weightloss #lifestyle #trainhard #gains #getfit #momlife #mom #workout #noexcuses #teamshape #eatcleantraindirty #inked #team #bodytransformation #blonde #workhard #picoftheday #training #physique #motivation #determination #nopainnogain

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#Labyrinth

LABYRINTH, Oui… LABYRINTH !
Aujourd’hui, je vous parle de mon film culte.
Du film qui a bercé mon enfance. De celui qui a alimenté tous mes rêves de petite fille…
Labyrinth…

Synopsis : Sarah est une adolescente passionnée de contes de fées. Un soir, elle se trouve contrainte de garder son jeune demi-frère Toby. Tentant de calmer ses pleurs en lui racontant l’histoire de Jareth, roi des Kobolds, tombé amoureux d’une jeune fille humaine. Elle prononce alors une phrase fatidique qui emporte le bébé dans un monde imaginaire gouverné par … Jareth, le roi des Kobolds !
Elle devra donc le suivre dans cet univers fantastique peuplé de kobolds, fées et autres créatures fantastiques, pour empêcher que l’enfant devienne lui-même un kobold et surmonter – en moins de 13 heures – les épreuves du labyrinthe qui mène à Koboldville…
Entre confrontation et fascination, le jeu entre Jareth et Sarah commence !

 


Sarah… Une « Alice » moderne ?

Personnage terriblement attachant que Sarah, une jeune adolescente, qui s’est créée un monde féerique dont elle est la princesse. Passionnée de théâtre, elle ne cesse de répéter un monologue tiré de son livre rouge intitulé « Labyrinthe ».
Mais la réalité a bien moins d’attrait pour elle,  souvent obligée à garder son petit frère, Toby, pendant que son père sort avec sa belle-mère quand vient le soir.

Délaissée et seule face au bébé, mélangeant imaginaire et réalité, elle récite une incantation pour le faire disparaître de sa vie : « Si seulement les Kobolds pouvaient venir et t’emporter immédiatement »…
Commence alors la grande aventure de Sarah dans un univers imaginaire fantastique constitué d’un immense labyrinthe, au cœur duquel se trouve le château de Jareth. Elle a treize heures pour retrouver le bébé sinon il sera transformé en Kobold. Il s’agit en fait d’un univers décalé où bon nombre de créatures et de lieux connus sont présents, mais traités d’un genre nouveau : les fées mordent les gens, les gros monstres poilus et cornus sont peureux et l’Enfer est remplacé par les Bourbiers de l’Éternelle Puanteur !

Ce  « Labyrinthe » se veut différent, voire opposé aux contes de fées classiques : tout est sale, moche et vieux (Hoggle, guide de Sarah, est un parfait exemple)… MAIS pas vraiment négatif. Le ver avec l’écharpe rouge m’a longtemps servi d’ami imaginaire même si il est passablement repoussant, sir didymus ou Ludo deviennent les gentils compagnons de Sarah malgré leur aspect… Disons… Pas facile… Si je voulais faire le parallèle avec le pays des merveilles, je dirais que dans « le monde de Sarah, il n’y aurait que des divagations… »

Je suis petit, crasseux, j’ai trois touffes de cheveux bleus, des yeux jaunes-oranges, pas de dents mais je suis trop adorable <3


La trame manichéenne du conte de fées, auquel nous sommes habitués, est gardée : d’un côté, on a les Bons (Sarah et ses amis) et de l’autre, les Méchants (Jareth et ses serviteurs), même si … Il est difficile de dire que Jareth est réellement mauvais. Il est également difficile de situer quelques personnages comme le sage ou les gardiens de porte… Tout comme il est difficile d’attribuer un caractère précis à chacun, en comparaison aux contes de fées classiques : la belle princesse ne recherche pas vraiment son prince, il s’agirait même de l’inverse puisque Jareth cherche à s’attirer les faveurs de Sarah…

Je ne peux pas parler du film sans évoquer un peu plus la musique puisqu’elle a une place très importante sans être envahissante pour autant. On y reconnaît la patte de David Bowie (il en chante six, les autres ne constituant qu’un « fond musical »). Elles ont été écrites spécialement pour ce film par David Bowie lui-même et Trevor Jones (compositeur des BO : Le dernier des Mohicans, Excalibur, Cliffhanger, Dark City,…). Ma préférée est sans conteste celle de la scène du bal… Qui a d’ailleurs ouvert le bal le plus important de ma vie : c’était la chanson d’ouverture de mon mariage 🙂
Quand on aime…

 

Rêve ou réalité ?
Bien sûr, on évolue dans un univers féerique, mais… S’il y avait plus que ça ?
Assez subtilement, au tout de l’histoire, quand Sarah est « obligée » de garder Toby, c’est la RÉALITÉ qui a des allures de fantaisie ! La belle-mère de Sarah ne se plait-elle pas d’être « traitée comme ces horribles marâtres de contes de fées » ?
Rêve éveillé ou crise adolescente. Sarah va traverser toutes les sinueuses épreuves du labyrinthe et passer du stade de jeune fille accrochée à ses peluches et autres poupées pour – treize heures plus tard (le tout appuyé par maintes et maintes horloges évoquant le temps qui passe) – se retrouver dans la peau d’une jeune femme capable d’assumer des responsabilités (même si elle n’abandonne pas tout à fait sa part de « fantaisie » à la fin du film).

 » Donne-moi l’enfant !
Triomphant de dangers inouïs, ainsi que d’épreuves sans nombre,
De haute lutte j’ai frayé mon chemin jusqu’au château par delà Koboldville
Pour reprendre l’enfant que tu as volé
Car ma volonté a la force de la tienne et mon royaume est aussi grand.
Tu n’as nul pouvoir sur moi ! »

De plus, si on est bien attentif, TOUS les personnages du monde du labyrinthe se retrouve dans le monde réel : une peluche de didymus est posée sur l’étagère de Sarah, la robe et la musique du bal sont évoqué par la boîte à musique que Sarah garde sur sa commode, Ambrosius est un modèle réduit de Merlin (le chien de Sarah), la tirade de fin est la même que celle de son monologue, … 1001 petits détails savoureux à retrouver dans l’œuvre <3

 

Bref… Il y a deux ans… le 11 janvier 2016…
On apprenait le décès, la veille, d’une légende du Glam’ rock et de la musique en général…
David Bowie.
L’extra-terrestre, l’OVNI, ce mystère ambulant tirait sa révérence.
Le monde paraissait soudain moins extravagant, ses couleurs beaucoup moins vives…

 

A voir :

Labyrinth ! Évidemment… MAIS (il y a un « mais »)… Si vous n’arrivez pas à dégotter la version française de 1986, passez votre chemin et préférez la version originale ! La re-masterisation en français de 2000 est tout bonnement scandaleuse…

Dark Crystal… Un autre film de mon enfance (et on s’étonne que j’ai fini légèrement perturbée)

Velvet Goldmine : Véritable ode au glam’ rock, début des années 1970, ce filme retrace l’histoire de Brian Slade, pop star largement inspirée de David Bowie et son personnage de Ziggy Stardust. Le titre du film est d’ailleurs tiré d’une chanson éponyme de Bowie. Le film retrace le parcours d’une star du glam-rock, incarnée par Jonathan Rhys-Meyers, et de la révolution aussi bien musicale que sexuelle qu’il a voulu déclencher dans l’univers musical des années 1970. Dix ans après la disparition de Brian Slade à la suite d’un attentat, un journaliste ancien fan du chanteur (Christian Bale) est chargé de découvrir ce qu’il en reste. Son enquête est prétexte à de nombreux flashbacks, peuplés de figures réelles ou de fiction (Brian Molko, Bryan Ferry, Curt Wild, Iggy Pop).

 

A écouter :

La BO de Labyrinth. Avec un énorme coup de cœur nostalgique pour « As the world falls down » et « Within you » même si j’ai bercé mes petits avec « Magic dance » pendant qu’ils étaient poupons !

La BO de Velvet Goldmine ! Avec des coups de cœur particuliers pour : Placebo: « 20th Century Boy » (T. Rex cover), Shudder to Think: « Ballad of Maxwell Demon » (Based on David Bowie’s « All the Young Dudes » and Brian Eno’s band Maxwell Demon) ou The Venus in Furs (vocals by Jonathan Rhys Meyers): « Baby’s on Fire ».

 

A lire :

Wikia, http://labyrinth.wikia.com/wiki/Labyrinth_(film)?file=U.S_Main.jpg

Ciao, http://www.ciao.fr/Loisirs_et_Media/Science_Fiction_Fantastique_et_Horreur/Labyrinthe__Avis_520602

Le figaro, http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/01/11/97001-20160111FILWWW00040-david-bowie-est-mort.php

Le Gorafi, http://www.legorafi.fr/2016/01/11/espace-inquietudes-apres-la-perte-de-contact-avec-le-major-tom/

Pssssst… C’est l’occasion de relire celui-là aussi : https://encollowen.blog/2016/11/23/bowie/

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#Empty

Il se passe des choses dans les coins secrets d’Instagram mes petits chats :p
Des petits groupes d’échanges qui se créent, des gens qui se confient, des liens qui se tissent,…

On parlait bouffe. Grosses bouffes. Et rapport à la bouffe (un sujet bien de fin d’années, quoi ^^).
Bien des profils de fitgirls cachent (ou pas) des difficultés alimentaires…
Anorexie, boulimie et tous leurs avatars…
Souvent signes visibles de maux invisibles.
Angoisse. Peur de l’abandon. Sentiment de vide. Dépression. Sentiment d’impuissance.

Je n’ai jamais eu l’impression de « basculer » des les troubles du comportement alimentaire.
Enfin, pas comme on saute dans une piscine.
Je me suis juste laissé enliser. Insidieusement. Lentement.
Terrain glissant que celui qui mène au frigo…

Ça a commencé par des petites lubies.
C’était trois fois rien.
Je n’arrivais plus à manger des aliments « mouillés » ou des aliments qui se touchaient.
Les textures baveuses ou gélatineuses me dégoutaient.
Les salades composées me faisaient l’effet d’un véritable bordel dans l’assiette.
Manger a commencé à me mettre mal à l’aise.
A mon propre drame personnel, s’est ajouté le regard des autres.
J’avais trouvé ma petite parade : je triais consciencieusement ce que je mangeais.
Toujours dans le même ordre et toujours les mêmes quantités.
Les aliments que j’aimais le moins d’abord, ceux que je préférais en dernier.
Mes parents ont commencé à criser. Je n’ai pas su leur expliquer. Ils n’ont pas su comprendre. Torts partagés.
Le résultat ? J’ai commencé à angoisser quand les gens me regardaient manger.
J’ai mangé en cachette… Puis plus du tout… Jusqu’à craquer et manger tout ce qui traînait dans les armoires.
(Même si c’était de la chapelure ou des bocaux d’olives).
Je crois qu’au début, j’avais vraiment faim mais… Même cette sensation de faim est vite passée.
J’ai fini par manger uniquement par obligation ou compulsion.

Dans ma tête, c’était pas très clair.
J’alternais les moments de dégoût et les moments de vide intense…
Comme si la nourriture pouvait remplir le trou béant dans lequel semblait sombrer ma vie, comme si ça pouvait me détourner de ce sentiment d’abandon…
J’ai rempli par peur de manquer. Encore.


Un jour, il y a eu un déclic.
Contrairement à ce qu’on peut penser, c’est pas une remarque qui m’a réveillée.
Cela faisait des mois, des années,… que ma famille croyait bon de me répéter en boucle de me « mettre au sport » et « de me bouger ».
Ceux qui sont passés par là savent qu’au bout d’un certain temps, ce n’est plus qu’un bruit de fond.
Que les petites piques insidieuses font de moins en moins mal.
Même si elles nous laissent de plus en plus vide.
Non.
C’est la plus belle demande qui m’a fait changer. Une demande en mariage.
Je voulais être jolie dans ma robe blanche.
A posteriori cela m’a conforté dans une chose : le négatif n’attire que le négatif. Il faut du positif pour faire changer les choses en bien !

Alors voilà. J’ai enfin un objectif concret à atteindre.
J’entame une thérapie, la nourriture devient un problème moins important et je me mets au sport.
C’est gentil au début. Je m’achète une WII FIT pour gagner en confiance.
10 kg de moins et j’entre dans une salle.
10 kg encore et je commence le spinning.

Ça pourrait s’arrêter là et faire une merveilleuse histoire.
« Comment l’amour est plus fort que tout et guérit tous les maux »…
Bla Bla Bla…
Mais la vie est pas un conte de fées.
Et ce moment où tout le monde m’a cru « guérie » a probablement été le pire de tous.
Finies les fringales.
Mise au sport « intensif ».
10… 12… 15… 18h par semaine.
J’ai perdu presque 30kg.
C’était parfait… PARFAIT !
Parfait jusqu’au moment où il s’est avéré que j’étais incapable de m’arrêter.

J’ai reculé de plus en plus « mon poids idéal », j’ai rogné dans les calories, j’ai dépensé sans compter à la salle.
J’étais mince.
J’étais comblée d’attention.
J’étais pleine d’une toute nouvelle confiance en moi.
J’étais toute puissante…


J’étais aussi constamment fatiguée, nauséeuse, endolorie,…
Les tâches du quotidien sont devenues compliquées. Puis impossibles.
Ma sensation de faim a disparu peu à peu.
Mon sourire s’en est allé, remplacé par des obsessions et des névroses qui me laissaient littéralement sans repos.
J’ai refusé de voir des potes pour ne pas avoir à manger devant eux, je me suis endormie au taff, je me suis violemment disputée avec un nombre conséquent de gens, mon Amour y compris…
J’ai vu de moins en moins mes petits bouts. Seul comptait le sport. Seul comptait l’oubli.
Les moments où je me dépensais étaient devenus les seuls où je ne pensais plus à rien.
J’étais grisée du regard des autres. J’étais noyée de compliments.
J’étais en représentation permanente.
Mais j’y croyais à ces mensonges…
J’en faisais des caisses pour être à la hauteur de cette nana qu’ils croyaient voir en moi.
J’ai passé tellement de temps à être quelqu’un d’autre que j’ai complètement occulté la douleur et la faim.

Jusqu’au jour où tout m’a rattrapé d’un seul coup.
C’était la fin.
Même le chemin de la salle de sport est devenu trop difficile.
Je suis tombée malade. J’avais un régime constitué essentiellement de pommes et de thé glacé.
J’ai perdu des poignées de cheveux, je ne gardais plus mes ongles, je n’avais plus aucune énergie.
J’avais tellement mal.
Et malgré tous ces efforts… Le vide est revenu.
J’ai passé une batterie d’examens mais il n’y avait rien à faire pour moi…
J’ÉTAIS ma propre maladie.
J’ai toujours été mon propre poison.

Il y a un moment qui me poursuivra à vie, je pense, et qui, j’espère me servira à jamais d’électrochoc…
J’étais allongée sur le canapé, la tête sur les genoux de ma mère.
Je regardais jouer les petits.
Et je lui ai dit, comme si ça ne venait même pas de moi : « Je me sens mourir, maman ».
Il y avait tellement de choses que je voulais faire… Avec Lui, avec Eux.
Et j’allais tout foutre par terre.
Moi qui « avais tout ».
C’est peut-être ça le problème ? Personne ne pardonne aux « gens qui ont tout » d’aller mal.

On ne se souvient que des « mauvaises choses ». Et c’est vrai.
Je me souviens de la chute avec précision mais pas de la remontée.
Je me souviens seulement être retournée en thérapie pour parler de bouffe, oui, mais plus seulement.
J’ai parlé de choses qui dérangent, de vide, de manque, d’abandon.
Et, petit à petit, la faim est revenue.
J’ai recommencé le sport avec un peu plus de mesure.
Ailleurs.

Je suis partie.
J’ai coupé les ponts avec toutes les relations toxiques que j’ai pu nouer.
Petites satisfactions faciles et éphémères… Jouissives sur le court terme mais dévastatrices à long terme…
J’ai quitté tout ce qui pouvait m’entraîner vers le fond (et c’est probablement ce qui a été le plus dur à faire).
J’ai demandé pardon à un paquet de gens.
J’ai abandonné l’illusion de ma toute-puissance pour accepter la vie que j’avais…
Et à vrai dire… elle est pas si mal cette vie 🙂
J’ai créé un foyer où on m’aime « jusqu’aux étoiles » ou « jusqu’au Far West ».
Un couple où je peux cocooner dans mon pilou aux oreilles de chat.
Un cercle d’amis qui se refuse à changer quoi que ce soit de moi.
Qu’est ce qui a changé? Je ne fantasme plus ma vie… Je la vis !
Si, un jour, j’ai envie de faire quelque chose… Je n’attendrai plus « d’être grande »
<3

Aimez-vous, vous-même.

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#Monday

Lundi…
Ce jour maudit…

 

 

OU PAS !
(ou pas totalement en fait…)

1 cours de GRIT…
1 cours de PUMP…
1 cours D’ATTACK…

Auxquelles j’ai rajouté 20 min. de footing bonus sous la flotte et la grêle pour arriver jusque-là.
BREF… C’était un vrai lundi

Pourquoi je m’inflige ça ?
A vrai dire…
Je savais pas trop pourquoi j’allais encore au GRIT il y a quelques mois de ça…
Ou la semaine dernière…
Mes repères temporels sont confus dans les courbatures.
Parce que, avouons-le : c’est super dur.
C’est épuisant.
C’est sans répits.
Et ça me bouffe déjà la moitié de l’énergie dont j’aurais bien besoin pour les 2h suivantes…
Pourquoi alors ?
Tout simplement parce que c’est un cours dans lequel JE GALÈRE encore.
Je dis pas que tous les pump et attack sont une partie de plaisir. Nan. Mais le GRIT c’est un peu l’équivalent de te faire arracher les ongles un par un par un bourreau qui voudrait te soutirer l’un ou l’autre secret honteux : t’es à la fois tellement content quand ça s’arrête et tellement heureux de pas avoir craqué
Ça vaut toutes les récompenses du monde !
Une petite victoire chaque semaine.
Une rep’ de plus chaque lundi.
Un petit miracle.
J’ai besoin de savoir que je peux le faire. J’ai besoin de cette satisfaction. J’ai besoin de me dire qu’il y aura TOUJOURS un défi à décrocher. J’ai besoin d’un petit miracle par semaine, en somme !
Même si le meilleur moment du cours, c’est précisément la fin du cours… Parce que tu es jamais aussi loin du moment auquel il faudra recommencer
<3

Le PUMP, ça, par contre, ça m’éclate.
La musique m’amène loin… Loiiiiin… LOOOOOIIIIIIIIN ❤
Et ça reste un des seuls cours où tu peux véritablement « mesurer » tes progrès en fonction des poids que tu mets ou pas…
C’est le baromètre de ta condition physique.
Tu fais un peu de tout, sans jamais faire du rien et tu peux pousser la chansonnette de temps en temps.

L’ATTACK (comme le RPM du dimanche), quant à lui…
C’est mon cours bonbon.
Mon privilège.
Mon petit plaisir.
Ma récompense.
Il y a peut être plus d’espace pour y être soi-même…
En tous cas, j’y ai précieusement construit tous mes meilleurs souvenirs de team.
Courir loin. Sautiller. Danser. Se lâcher.
Laisser se répandre le feu qui brûle en soi.
Flirter avec les limites une, deux… Peut-être trois fois… Et renaître de ses cendres pour le track final.
Si la vie est réellement un théâtre, l’Attack est ma comédie musicale !

 


PSSSSSSST… En un mot comme en cent…
Il y a TELLEMENT de bonnes raisons de se mettre au sport.
Tellement de choses à expérimenter.
Tellement de sensations différentes à éprouver.

Trouvez le vôtre.

Renouez avec la passion.

 

1 cours de GRIT… 1 cours de PUMP… 1 cours D’ATTACK… Auxquelles je rajoute 20 min. de footing sous la flotte et la grêle pour arriver jusque là 🤣 BREF… C’était lundi ❤ … Pourquoi je m’inflige ça ? A vrai dire… Je savais pas trop pourquoi j’allais encore au GRIT il y a quelques mois de ça… C’est super dur. C’est épuisant. Et ça me bouffe déjà la moitié de l’énergie dont j’aurais bien besoin pour les 2h suivantes… Tout simplement parce que c’est un cours dans lequel JE GALÈRE encore. Je dis pas que tous les pump et attack sont une partie de plaisir. Nan. Mais le GRIT c’est un peu l’équivalent de te faire arracher les ongles un par un par un bourreau qui voudrait te soutirer l’un ou l’autre secret honteux : T’es à la fois tellement content quand ça s’arrête et tellement heureux de pas avoir craqué ❤ Ça vaut toutes les récompenses du monde ! … Le PUMP, ça m’éclate. La musique m’amène loin… Loiiiiin… LOOOOOIIIIIIIIN ❤ Et ça reste un des seuls cours où tu peux véritablement « mesurer » tes progrès en fonction des poids que tu mets ou pas… … L’ATTACK (comme le RPM), C’est mon cours bonbon. Mon privilège. Ma récompense. Il y a peut être plus d’espace pour y être soi-même… en tous cas, j’y ai précieusement construit tous mes meilleurs souvenirs de team ❤ … PSSSSSSST : Il y a tellement de bonnes raisons de se mettre au sport… Trouvez la vôtre 😉 … #fit #fitness #fitfam #fitgirl #fitmom #healthy #instagood #beyou #weightloss #lifestyle #fitfrenchies #attack #getfit #pump #mom #workout #noexcuses #teamshape #eatcleantraindirty #lesmills #musculation #bodytransformation #happylife #workhard #picoftheday #training #grit #motivation #determination #nopainnogain

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