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#Accrostiche

« A boat beneath a sunny sky,
Lingering onward dreamily
In an evening of July–

Children three that nestle near,
Eager eye and willing ear,
Pleased a simple tale to hear–

Long has paled that sunny sky:
Echoes fade and memories die.
Autumn frosts have slain July.

Still she haunts me, phantomwise,
Alice moving under skies
Never seen by waking eyes.

Children yet, the tale to hear,
Eager eye and willing ear,
Lovingly shall nestle near.

In a Wonderland they lie,
Dreaming as the days go by,
Dreaming as the summers die:

Ever drifting down the stream–
Lingering in the golden gleam–
Life, what is it but a dream? »

 

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Alice Liddell (6 ans), photographiée en 1858 par Charles Dogson

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#Animaux fantastiques

Six ans après le dernier Harry Potter, le réalisateur David Gates – à qui on doit déjà l’ordre du phénix, le prince de sang-mêlé et les reliques de la mort – revient avec un nouvel élément de l’univers étendu d’HP (oui… Une espèce de préquelle spin-off… En quelques sortes) : Les animaux fantastiques.

 

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Dans le charme désuet des années 20, Gellert Grindelwald, un puissant mage noir bulgare, a disparu depuis deux ans. En tous cas, c’est ce qu’on apprend dans une intro fichtrement bien fichue faites de coupures de journaux magiques… Pourtant, la menace est toujours aussi pesante. Certains sorciers extrémistes pensent qu’il serait nécessaire de révéler l’existence des sorciers au monde moldu (ou Non-Maj’, chez nos amis US), afin d’affirmer leur domination « pour le plus grand bien ». De l’autre côté, une secte autoproclamée des « Fidèles de Salem » sévit à New York, traquant (plutôt mollement, je dois dire) les sorciers et sorcières pour les exterminer tous.

À New York, des événements étranges se produisent, provoquant la stupéfaction tant des fameux Non-Maj’ (que je vais continuer d’appeler moldus pour conserver ma santé mentale) que des sorciers. Le directeur du département de la Justice magique du MACUSA (Magical Congress of the USA – Congrès magique des États-Unis d’Amérique), Percival Graves, enquête personnellement sur ces événements décrits comme « une ombre avec des yeux qui ravage tout sur son passage ».

C’est dans ce contexte FORT PEU PROPICE que débarque Norbert Dragonneau ( VO : Newt Scamander), magizoologiste britannique, et ses créatures magiques planquées dans une valise qu’il a du emprunter à Mary Poppins.

 

Image associée

Alors… Si je dois vous le résumer en un seul mot… MAGIQUE !
Mais comme c’est un peu court, je vous dirai également que ça sonne comme Harry Potter (la musique est fantastique), ça sent comme Harry Potter (l’univers est si bien respecté), ça émerveille comme Harry Potter (des effets spéciaux top qualité) et ça fait mouche comme Harry Potter (le casting est incroyable).

Et si je dois revenir sur le casting les amis…
Eddie Redmayne quoi ! L’acteur oscarisé (pour un biopic que je n’ai pas vu mais que je compte voir) qui m’a tant fait pleurer dans Danish girl… Pleurer dans Les Misérables… Pleurer dans My week with Marilyn… Et qui me fait baver d’envie devant ce maladroit Englishman in New York plus vrai que vrai.
Dan Fogler – inconnu au bataillon si ce n’est que j’ai entendu sa voix dans Kung-Fu panda -qui est juste excellent en sidekick rigolo sans jamais en faire des tonnes.
Colin Farrell que j’ai vraiment plaisir à revoir dans un film de qualité (pour une fois).
Ezra Miller dans un rôle weirdo qui me bouscule un petit peu parce que – du coup – je l’imagine assez mal dans la peau de Flash dans la future Justice league…
Par contre… Le casting féminin… Hé bien… Ne me transporte pas. Je trouve l’actrice principale (Katherine Waterston) « bien mais sans plus ». Pas vraiment mauvaise mais pas vraiment bonne non plus. De plus, son personnage est largement éclipsé par la présence de sa soeur Alison Sudo, pour le coup bien plus… Pétillant !

Ajoutez à ça quelques petites pépites disséminées ici et là pour les fans de la saga HP et vous obtiendrez un fabuleux film de fin d’année !

http://vignette4.wikia.nocookie.net/harrypotter/images/1/15/Norbert_Dragonneau_-_Chocogrenouille_HP1.jpg/revision/latest?cb=20110928100528&path-prefix=fr

A lire et à voir :

La critique du fossoyeur de film, https://youtu.be/RhettlwggQQ
Wikipédia, https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Animaux_fantastiques_(film)
Madmoizelle, http://www.madmoizelle.com/animaux-fantastiques-critique-666067
Journal du geek, http://www.journaldugeek.com/2016/11/14/ce-quils-en-ont-pense-le-nouveau-film-les-animaux-fantastiques-enchante-les-critiques/

 

 

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#Bowie

Mon premier souvenir de lui, ce sont des souvenirs d’enfants.
Avant qu’il ne devienne Ziggy, Aladdin ou encore Bowie, c’était avant tout Jareth, le roi des Kobolds.
Un look improbable. De eye-liner bleu électrique. Un regard étrange. Un côté un peu effrayant.
Jareth allait peupler mes nuits de vilaines fées, de boules de verre, de masques vénitiens.
Magic dance
Mes parents s’en souviennent…
Ça serait la première fois que j’userais une VHS à force de rebobinage.

FTF-20150320-01Je prends quelques années et je découvre que l’élu de mon cœur est… Un chanteur anglais.
Why not ?
Je troque mes poupées et mes poèmes contre les CD’s de mon paternel.
Il se trouve que j’ai du retard dans sa discographie.
J’ai de vagues souvenirs (vagues parce qu’ils sont dans mes premiers) d’un clip qui me terrifie et me fascine à la fois.
C’est encore lui.
Jump they say
Si je fais le calcul, je devais avoir 6 ans.
6 ans et je suis déjà fan de David Bowie.

Je suis une ado révoltée.
Ma place est encore à trouver.
Je me sens à l’étroit partout.
Je ne sais pas encore dans quelles bottes me glisser.
Heroes

Il y aura cette chanson mais il y aura aussi ce film… Velvet Goldmine.
L’histoire de Brian Slade, ce chanteur dépassé par son propre personnage qui suicidera lui-même sa création pour changer de masque à nouveau…
Le glam’ rock.
Les paillettes.
La musique.
MAIS SURTOUT
La liberté que l’on prend d’être soi-même.
Je quitte mes habits noirs et mauves. Les pantalons trop grands. Les pulls trop amples.
J’achète mes premières robes de pin-up à volants et je sors.
J’embrasse une fille. J’embrasse un garçon.
Plus je me maquille, plus la tenue est extravagante… Moins j’ai l’impression de porter un masque.

Je suis comme je suis
Je suis faite comme ça
Quand j’ai envie de rire
Oui je ris aux éclats
J’aime celui qui m’aime
Est-ce ma faute à moi
Si ce n’est pas le même
Que j’aime à chaque fois
Je suis comme je suis
Je suis faite comme ça
Que voulez-vous de plus
Que voulez-vous de moi

Je suis faite pour plaire
Et n’y puis rien changer
Mes talons sont trop hauts
Ma taille trop cambrée
Mes seins beaucoup trop durs
Et mes yeux trop cernés
Et puis après
Qu’est-ce que ça peut vous faire
Je suis comme je suis
Je plais à qui je plais
Qu’est-ce que ça peut vous faire
Ce qui m’est arrivé
Oui j’ai aimé quelqu’un
Oui quelqu’un m’a aimée
Comme les enfants qui s’aiment
Simplement savent aimer
Aimer aimer…
Pourquoi me questionner
Je suis là pour vous plaire
Et n’y puis rien changer.
(Prévert)

Le 18 décembre 2010, c’est As the world falls down qui ouvre le bal.
Pas celui de Jareth et Sarah.
Mais le mien.
Je suis restée cette petite fille qui fait semblant d’être une grande personne.

DSC_0039Depuis quelques jours, c’est Space oddity qui résonne dans mes murs…
Ça n’a jamais été ma chanson préférée pourtant.
Trop triste par bien des aspects.
Mais l’hommage du Gorafi me l’a remise en mémoire et elle ne sort plus de ma tête.

« Le major Tom a suivi toute la procédure, il a pris ses pilules de protéines, et mis son casque. » raconte un responsable de la mission. L’astronaute chevronné n’a montré aucun signe de nervosités. Selon les techniciens, la mission se déroulait très bien jusqu’à sa sortie dans l’espace. « Il a tout au plus fait une remarque sur les étoiles, il les trouvait différentes aujourd’hui ».

Quelques secondes plus tard, une autre communication a intrigué le contrôle au sol. « Il affirmait que son vaisseau semblait savoir où aller, et a demandé à ce qu’on dise à sa femme qu’il l’aimait ». Selon plusieurs sources, c’est à ce moment que les circuits de la capsule auraient connu une avarie, coupant brutalement toutes communications avec le sol.

 

C’est un peu bizarre de « pleurer » un artiste qui s’en va, d’autant que sa vie aura été bien remplie, mais… Il va manquer cruellement de couleurs à cette année 2016…
Et il manquera des chansons dans mon cœur…

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#BowlCake – Le test !

Je vous rappelle la recette :

  • 40 g de flocons d’avoine
  • 1 oeuf
  • 3 cuillères à soupe de lait d’amande
  • 1 cuillère à café de levure chimique

Et pof ! 3 minutes plein pot au micro-onde.

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On touille…

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On cuit

2016-11-03-09-42-54 Alors… Comment dire… C’est pas horrible.
Je veux dire, j’ai déjà mangé du jambon poilu, du pain plus-que-rassis et même une plâtrée de boue, une fois.
Une triste histoire.
Mais je peux pas vraiment dire que ce soit bon non plus.
Déjà, ça ressemble à une vieille éponge, je me suis brûlée le pouce en le démoulant et ça sent le jaune d’oeuf dans ma cuisine depuis ce matin.

La FitFam m’a conseillé la banane, le chocolat et les framboises (voire tout en même temps), alors il devrait y avoir une suite à ce malheureux épisode…
:p
SOON…

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#BowlCake

Kesako ?
La tendance healthy du moment

La base?
40g de flocons d’avoine
1 œuf
3 cuillères à soupe de lait
1cuillère à café de levure chimique

Comment?
Mélangez le tout dans un mug et mettez au micro-onde pendant 3min (Easy… Really…).
Vous pouvez ensuite démoulez votre bowl cake dans une assiette et y ajouter du miel, du chocolat, des fruits secs…
Et…
C’est tout !

Pourquoi ?
Parce que c’est sain, rapide à faire et customisable à souhait !
Essayez avec une banane et des pépites de chocolat… Mmmmmmh
Ou avec des morceaux de pommes et de la cannelle… Triple Mmmmmmh

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#Cheesecake Avocat

Je vous propose aujourd’hui une recette de simili cheesecake sucré à l’avocat !
Oui. Ça ressemble à un cheesecake, ça texturise comme un cheesecake MAIS ce n’est pas un cheesecake.
(Et puis.. De l’avocat, quoi!)
Il s’agirait plutôt d’un entremet à la mousse d’avocat sur un lit de noix de pécan créé par les sœurs londoniennes Hemsley pour leur dernier opus : The Art of Eating Well fait un carton.

Ingrédients
(Pour 12 personnes mais tu as le droit de couper les quantités en deux si tu n’as pas une équipe de foot de potes prêts à manger de l’avocat en dessert…)

La base

125 g noix de pécan croustillantes (croustillance à tester!) ou de mélange de noix

45 g de poudre de noix de coco

70 g de fève de cacao (on en a pas trouvé, on en a pas mis, on est des rebelles)

185 g de dates dénoyautées

3 cuillers à café d’huile de noix de coco à température ambiante

La mousse d’avocat

560 g de chair d’avocat (environ 5 avocats de taille moyenne)

200 ml de jus de citron vert (environ 8-10 citrons verts)

1 cuiller à café de zeste de citron vert

190 g de miel pur

175 ml d’huile de noix de coco à température ambiante

Éventuellement, un peu de stévia pour sucrer mais on en a pas eu besoin

 

Préparation

1. Appelez vos petits commis… Tous vos petits commis !

2. Préchauffez le four à 150°C et recouvrez un moule à manqué d’une vingtaine de centimètres de papier de cuisson.

3. Faites cuire les noix de pécan et la poudre de noix de coco au four pendant 7-8 minutes jusqu’à ce qu’elles soient dorées.

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4. Mettez les noix et la poudre de noix de coco dans un mixeur et ajoutez le reste des ingrédients de la base, mixez jusqu’à l’obtention d’une texture friable mais consistante.

5. Placez cette mixture uniformément dans le fond du moule à manqué, en pressant bien éventuellement à l’aide du dos d’une cuiller. Mettez cette préparation au frigo.

2015-07-11 17.33.276. Pesez soigneusement vos avocats…

7. Hachez le zeste menu menu !
Et pressez pressez tous vos petits citrons verts extrêmement glissants et contrariants

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* Facultatif : Admirez votre plan de travail

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8. Mettez tous les ingrédients de la mousse à l’avocat dans votre plus beau blender et BRRR BRRR !

2015-07-11 17.47.259. Versez cette préparation à l’avocat sur la base préalablement réalisée et sortie du frigo.

2015-07-11 17.53.2110. Recouvrez le tout et laissez lui quelques heures (de préférence une nuit) pour se reposer.

2015-07-11 17.58.3511. Servez immédiatement, bien frais.

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2015-07-11 21.04.1812. Savourez et approuvez !

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Notre avis : 8/10
Ne nous voilons pas la face : la mousse est bizarre, étrange, interpellante MAIS pas mauvaise !
Elle a même séduit un non-amateur d’avocat.
Le point fort reste ce délicieux « biscuit » noixdecocoté à la texture très sympa.
Par contre, je vous le dis de suite, c’est un gâteau qui tient au corps
Oo
Le petit plus facultatif :
Faites germer les noyaux dans vos plus belles tasses !

 

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Publié dans Quelques mots

#Placebo

Ce samedi 19 novembre, des amies fantastiques m’ont offert des places pour le concert 20 ans de Placebo, groupe phare de ma jeunesse, mon adolescence et de ma mélancolie de presque adulte.
Amis de la poésie…

A place For Us To Dream est plus qu’un simple greatest hits, puisqu’en plus de proposer des nouveautés plutôt sympas, il reprend l’essentiel de la discographie qu’on aime et innove même avec quelques grands tubes version 2.0.
Bref. Un album qui vaut le détour !
Même si je suis assez peu impartiale… J’avoue…
Je ne résiste ni au charme androgyne, ni à l’œil charbonneux de Brian Molko (surtout depuis que j’ai vu Velvet Goldmine et que je suis tombée amoureuse de sa B.O.).
PS : Si vous aimez la période GlamRock, le bon son et l’éternel David Bowie… Je vous conseille le film !

 

BREF

Direction le SportPaleis d’Anvers pour 2h de concert… Magiques !
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Je passe vite fait sur la première partie que je n’ai pas du tout aimée… Un rythme insipide, une chanteuse sans voix et une balance de sons qui laissait présager le pire (on a vite été rassurés, cependant).

Le groupe nous chauffe en douceur avec des images cuts de « Every you and every me » – quel excellent choix – avant d’enchainer CASH ET SEC sur Nancy Boy. Dès le début, tu sens que le concert va faire la part belle aux « vrais » fans de Placebo.

 

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S’en suit un mélange bien dosé de vieux tubes « fan service » avec un point culminant sur « Bitter End » ou « Infra red », par exemple, et de reprises bien balancées de chansons qu’on adore, « English Summer Rain » notamment.
La première partie fait la part belle à l’interprétation de Brian Molko, possédé par sa musique et ses paroles, ainsi qu’à l’énergie de dingue de Stefan Olsdal, le bassiste.

Et puis, il y a ce moment, super touchant, hommage à David Bowie pour qui vous connaissez ma passion et mon amour impérissable. Without You I’m Nothing. Qui va purement et simplement provoquer une ovation de presque 2 minutes. Un moment magnifique.

Mon moment de la soirée (rien qu’à moi) est probablement survenu quand les cordes se sont pincées sur « Special needs ». Doux et intense à la fois. Il fallait voir son sourire quand la musique montait vers d’autres cieux.

Ma seule mini frustration arrive quand Brian Molko entame « Protect me from that I want »… Dont je préfère la version française. Mais bon. Je prends sur moi !

 

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Vers 22h00, ensuite, Molko annonce la partie « fun » du concert. C’est samedi soir et il est temps de commencer la « party » ! C’est deuxième partie sera un pur moment de plaisir, de musique et de montages psychédéliques ! La salle est conquise, la salle est en transe, la salle DANSE ! Mention spéciale à « Special K » justement, qui est pourtant pas ma préférée sur papier…

On finit sur un double rappel super généreux et un bain de foule pour clôturer une magnifique soirée placée sous le signe de la bonne humeur et de la communion avec les fans.
Et quelle clôture ! « Running Up That Hill », repris de Kate Bush. Magique vous dis-je…

Protège-moi, protège-moi…

 

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#Réparer un ongle cassé

J’ai testé pour vous… Réparer un ongle cassé !
Je romps déjà le suspens : NON, ça ne vaut pas une petite coupe en règle.
NON
Mais,
si vous avez une soirée de prévue,
que votre nail art est prêt,
que l’idée de le couper serait équivalente à l’idée de se rouler dans les orties,
qu’il est impensable de se présenter en société les ongles ras,

Ma foi, ça peut tenir la route.
C’est moins pire que l’idée en a l’air.
Vraiment.

Kesako ?
Parce que, mesdemoiselles, monsieur, l’idée est pas glamour.
Ça revient un peu à cacher les misères avec un bout de PQ (ou d’essuie-tout si le vôtre est rose).

Il vous faut :
une feuille de papier essuie-tout, donc
un vernis durcisseur transparent
une lime à ongles
le vernis à ongles de votre choix (mais je vous conseille un bien mat)
un top coat transparent

Comment on procède ?
On passe son ongle au durcisseur et on « colle » un petit bout de papier – de la longueur de la cassure – sur le bout qui a décidé de partir vivre en Laponie AVANT que le vernis soit totalement sec.
On repasse une couche de durcisseur sur l’ongle pour que le « pansement ongulaire  » (Ah ah) tienne bien en place.
On lime le tout pour éviter une épaisseur de 2cm sur le coin du pouce.
Et on pose son vernis préféré sur l’ongle préféré.

Mon avis
Alors oui, ça cache la misère mais de là à dire que la technique est invisible… Il faut quand-même pas déconner.
A n’utiliser qu’en cas d’extrême urgence donc !
Cela dit, c’est toujours mieux que d’utiliser de la super glu, comme lu dans le cosmopolitan, je suis la première à aimer mes ongles longs mais, comment dire, j’ai mes limites.
😀

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Source :
Elle, http://www.elle.be/fr/11319-comment-reparer-ongle-casse.html/

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#Pineapple

17.11.1987
C’est le jour de mon anniversaire…
Et je suis vraiment flattée/ravie/émue/heureuse de ce « cadeau » inattendu :

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Le compte Instagram a dépassé – cette semaine – les 1.000 followers !
Merci à tous !

 

capture-decran-2016-11-18-a-16-32-57Et j’ai trouvé mon nouveau mantra…

BE A PINEAPPLE !
Stand tall, wear a crown and be sweet on the inside.
(Ou  » Sois un ananas ! Tiens toi droit, porte une couronne et reste tout doux à l’intérieur »)

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#Get Fit or Die Tryin’

Ça fait un petit moment maintenant que j’ai ce post au bout des doigts…
Si vous me suivez depuis un bon moment, déjà, vous savez que la cuisine est importante pour moi.
Je cuisine en solo, avec mes enfants, pour mes amis, pour ma famille, pour vous faire baver, pour tester, pour revisiter les classiques, pour innover,…
ET DONC OUI, de temps en temps… , je FOOD PORN !

Food porn : le « food porn » est un phénomène croissant qui désigne le fait, pour un « foodie » (amateur de bonne cuisine) de photographier sa nourriture puis de partager ses photos avec ses amis, fans et followers sur les réseaux sociaux.
A lire : http://www.restoconnection.fr/definition-food-porn-decryptage/

Et depuis quelques temps…
La colère monte…
« Ah ah ah… 5min. dans la bouche, 15 ans dans les fesses »
« Je veux pas connaître le nombre de calorie »
« Il va en falloir des séances de sport pour éponger tout ça »

WAIT WAIT WAIT
On a gardé les chèvres ensemble que tu te permets ce genre de remarque sur mes habitudes alimentaires ?

Il y a trois bonnes raisons de NE PAS se laisser aller à ce genre de remarque :

  • Scientifique : A moins de vérifier les portions que je mange et le sport que je fais pour dépenser les calories ingurgitées, cette remarque est complètement plate. Et oui, la colère me fait parler québécois, hostie de calice.
  • Culturelle : Ah ah ah… Non, je fais semblant de rire parce que c’est pas drôle. Et devine quoi ? C’est même pas la première fois que j’entends ce genre de remarque.
  • Pragmatique : Je m’en fous. Ce genre d’avis n’apporte rien, n’apprend rien, ne sert à rien, n’invite pas à une réflexion productive.
    Tu peux aller manger tes pâtes à l’eau sans pâtes et sans eau, mais ça rendra moins bien en photo…
    ET JE NE VIENDRAI MÊME PAS T’EN FAIRE LA REMARQUE !

 

La raison bonus (celle où je raconte ma vie)
Ben, tu sais, cher inconnu, cher anonyme, moi, j’ai pas toujours pu glisser mes fesses dans un jeans skinny.
J’ai pas toujours pu m’offrir les corsets que j’aime tant.
Je me contentais de baver devant, en me disant qu’elles avaient bien de la chance, ces nanas, d’être jolies, fines et bien dans leur peau.
A force de baver, je me suis vue dans mon miroir de salive et ça m’a fait un choc.
Alors un matin, comme ça, je me suis mis un coup de pied aux fesses et j’ai pris un abonnement à la salle de sport.
J’ai diminué les quantités de mes repas.
J’ai fait une croix sur les chips et le gras.

310470_10150422503829848_1321404_nC’était bien. Très bien.
Je perdais tranquillement mais sûrement.
Mais ça ne devait pas suffire. C’était peut-être même encore pire.
Quand les gens savent que tu fais de l’exercice, il s’attendent à ce que tu deviennes athlétique en deux semaines.
Ben non.
Le corps humain est ainsi fait.
Tu transformes pas un lamantin en sirène en deux semaines.
Malgré tout, tous ces gens bien pensant et tellement plus minces que moi devaient avoir raison.
Soit.

J’ai fait plus d’exercices.
J’ai mangé de la salade et de la soupe.
Je me suis traînée à la salle malgré les courbatures, la fatigue et la faim.
MAIS
Les résultats étaient là.
Les inconnus se retournaient sur mon passage, les mieux connus se répandaient en félicitations.
C’était super !
Mais pas encore assez…

J’ai fait ENCORE PLUS d’exercices.
Je n’ai pratiquement plus rien mangé.
Les repas sont devenus un calvaire. De savants calculs. Des pesées quotidiennes.
Trois fois, six fois, onze fois par jour.
Je me suis trainée à la salle. Je me suis traînée à la maison.
Je me suis endormie partout où je trouvais du calme.
J’ai pleuré de douleur quand mes articulations ont commencé à craquer.
J’ai pleuré de désespoir pour 100g de perdu « seulement ».
J’ai arrêté de voir des amis pour « manger un bout ».

11079665_10153865279354848_2037731440294053951_nAprès la naissance de mes petits, je suis passée de 82kg à 53,800Kg.
Et là…
Ça a commencé à jaser.
Trop maigre, trop fatiguée, trop lasse…
Jusqu’à ce jour où j’ai été trop fatiguée pour jouer avec mes bébés, où tout mon temps libre passait dans le sport et où mon mari était une ombre que je voyais le matin et le soir entre deux séances de torture.
Tout ça pour quoi?
Pour continuer à me trouver « obèse » et « grasse » sic même quand je voyais mes vêtements pendre sur ma peau.
Il y avait des jours où je ne reconnaissais pas mes traits dans le miroir, où je ne reconnaissais plus mes traits de caractère. Toujours épuisée. Toujours irritée.
Arrive le moment où il faut que cela s’arrête…

Alors, oui, j’ai levé le pied.
J’ai recommencé à manger.
Timidement, au début…
« Normalement », maintenant.
J’ai écarté de ma route les gens trop bien pensants ou trop inquiets de ma « santé ».
Je mange pour moi.
Comme je le veux et comme je le sens.
(Et comme tout le monde devrait avoir le droit de manger)

chatonMAIS
Sachez une chose…
Honnêtement, chaque remarque sur ce que je mange ou ne mange pas, c’est un coup de fourchette que vous me plantez dans le dos.
Parce que, quand manger est devenu un effort pour toi, le coup du « attention, tu vas grossir », c’est trois pas en arrière.
C’est une assiette vide.
C’est la nausée.
C’est la faim…
Il ne faut pas être dodue pour avoir des problèmes de nourriture.
Il ne faut pas être filiforme pour avoir des problèmes de nourriture.
TOUT LE MONDE peut être concerné.

Mange ce que tu veux, quand tu le veux…
Et si quelqu’un critique ton poids, mange-le aussi…

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