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#Coursco’

Les 10 raisons qui prouvent que vous êtes accro aux cours co’

1🏅 Vous n’avez pas de semaines conventionnelles (lundi, mardi, mercredi,…) mais vous avez « un jour du grit », « un jour de hoop », « une soirée pole dance »,…

2🏅Vous prenez plus souvent votre douche à l’extérieur que chez vous.
Le calcul du « bon jour » pour se laver les cheveux sans devoir le faire trop souvent devient une préoccupation de stratège militaire.

3🏅Vous avez « votre place ».
Il n’y a peut-être pas votre nom dessus mais c’est la vôtre. Votre espace. Votre sanctuaire.
Vous seriez prêt à mordre ou à fesser pour la conserver.

4🏅Vous ne connaissez pas tout le monde mais tout le monde vous connaît.
Vous avez même votre petit surnom.

5 🏅Vous appelez le coach par son prénom et reconnaissez sa voiture dans le parking.

6🏅Vous vous souvenez mieux de leur charge aux squats que du prénom des nouveaux.

7🏅Vous avez vos petites habitudes et vous êtes prêt à râler si on vous chamboule votre tas de poids/vos horaires/vos coachs (« comment ça, c’est pas machin qui donne cours, ce matin ? C’est quoi ça ? L’heure des imposteurs? »)

8🏅Vous connaissez vos copines de training mieux que leur propre mère : du grain de beauté sur le haut de la cuisse à la charge qu’elle peut épauler-jeter, de la couleur de ses sous-vêtements à sa marque de déo…

9🏅Selon le sport que vous pratiquez, vous êtes parfois taxé de dingue, de strip teaseuse, de grand enfant ou de « participant consentant à un pédalage en réunion »…
En tous cas, vous êtes souvent incompris.

10🏅Vous ne connaissez plus l’effet que ça fait de vivre sans courbatures mais …
Vous n’aviez jamais été plus heureux, épanouis et souriants pour autant ❤

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#Echelon

Attention…
C’est le moment groupie !

21.03.2018 – Concert de 30 seconds to mars au Lotto Arena (Anvers)

Il y a 1001 raisons pour lesquelles j’aime ce groupe : son style très alternatif, ce savoureux mélange rock-électro mais pas trop, sa différence assumée, le soin apporté à leurs textes et à leurs clips, la voix de Jared Leto… mais je reste toujours conquise par leur proximité avec leur public et le côté « grosse teuf entre potes » que prend chacun de leur concert.

La communauté de fans (l’Echelon) est à la fois super vivante, bienveillante et engagée, ce qui donne TOUJOURS un côté particulièrement chaleureux à leur représentation.
J’irai même plus loin en disant que certaines chansons semblent vraiment écrites et composées dans le seul et unique but d’être reprise en chœur sur scène (this is war, city of angel,…) comme si l’Echelon faisait partie intégrante de ces morceaux…
Une communion des cœurs (oh que c’est beau ce que j’écris) où Jared Leto tient le rôle principal : celui de gourou voire… de messie. Une voix indescriptible…
La force des anges et la beauté du diable… Mais là, je m’égare !

Leader charismatique et sautillant, il tient d’ailleurs de plus en plus à ses performances 2.0 puisqu’une chanson du set est systématiquement partagée en direct live sur Instagram, une manière de plus de vivre ces moments avec toute la communauté.

BREF, c’était encore une fois l’occasion de passer un moment magique avec l’Echelon, de chanter à tue-tête, de jumper, de rigoler (les tentatives de néérlandais de Jared étaient impayables ) et de profiter d’un moment définitivement hors du temps…

 

30 – Sens inverse des aiguilles d’une montre – 2 (two ou plutôt to) – Mars (avec ses deux petits satellites)

Matt dira :  » L’Echelon est pour nous, la famille que nous souhaitons avoir en grandissant. C’est cette communauté « .
Jared reprendra :  » Chacun apporte sa pierre à l’édifice. 30 Seconds To Mars ce n’est pas seulement le groupe c’est aussi une toile de personnes reliées entre elles un peu partout dans le monde « .

 

WE ARE ECHELON

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#Baby-Abdos

Les baby-abdos sont de sortie !
Pas la tablette impeccable qu’on imprime sur papier glacé.
Pas le grain de peau lisse qu’on attend.
Mais juste les miens ^^
Travaillés et bichonnés avec amour… Regardés avec bienveillance par leur propriétaire 😉

N’oubliez jamais – amis et addicts des réseaux sociaux – ce n’est pas parce que vos résultats sont « soi-disant non-publiables pour certains » qu’ils ne sont pas là !
Vous POUVEZ être fiers de vos résultats!
Vous le MÉRITEZ !
Donnez-vous avec cet unique objectif en tête : « être fier de vous ».

“Laissez les femmes être ce qu’elles veulent…”
Voici le message que dénonce Jess Fielder, une photographe originaire de New Jersey qui a réalisé une campagne photographique pour dénoncer les contraintes sociales concernant la beauté des femme.

« Vous n’avez pas à être belles. Vous ne « devez » la beauté à personne.
Pas à votre petit ami/époux/partenaire, pas à vos collègues, et surtout à des hommes aléatoires dans la rue.
Vous ne le devez pas à votre mère.
Vous ne le devez pas à vos enfants.
Vous ne le devez pas à la civilisation en général. »

Chaque femme devrait se sentir bien dans sa peau comme elle le souhaite, sans qu’elle n’ait à répondre aux remarques d’autrui ni à se justifier sur son physique.
Un point c’est tout !

 

Les baby-abdos sont de sortie 🙂 … Pas la tablette impeccable qu’on imprime sur papier glacé. Pas le grain de peau lisse qu’on attend. Mais juste les miens ^^ Travaillés et bichonnés avec amour… Regardés avec bienveillance par leur propriétaire 😉 … N’oubliez jamais – amis et addicts des réseaux sociaux – ce n’est pas parce que vos résultats sont « soi-disant non-publiables pour certains » qu’ils ne sont pas là ! Vous POUVEZ être fiers de vos resultats! Vous le MÉRITEZ ! Donnez-vous avec cet unique objectif en tête : « être fier de vous ». … “Laissez les femmes être ce qu’elles veulent…” Voici le message que dénonce Jess Fielder, une photographe originaire de New Jersey qui a réalisé une campagne photographique pour dénoncer les contraintes sociales concernant la beauté des femme. … « Vous n’avez pas à être belles. Vous ne « devez » la beauté à personne. Pas à votre petit ami/époux/partenaire, pas à vos collègues, et surtout à des hommes aléatoires dans la rue. Vous ne le devez pas à votre mère. Vous ne le devez pas à vos enfants. Vous ne le devez pas à la civilisation en général. » … Chaque femme devrait se sentir bien dans sa peau comme elle le souhaite, sans qu’elle n’ait à répondre aux remarques d’autrui ni à se justifier sur son physique. Un point c’est tout ! … #fit #fitness #fitfam #fitgirl #fitmom #healthy #instagood #fitnessaddict #weightloss #lifestyle #trainhard #acceptance #getfit #momlife #bodypositive #bodypo #noexcuses #core #eatcleantraindirty #thoughts #musculation #bodytransformation #blonde #abs #picoftheday #confidence #inspirationalquotes #motivation #determination #nopainnogain

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#Book

Je suis tombée sur un vieux vieux viiiiiiiiiiiiiieux statut Facebook façon »chain mail » de qui consistait à « lister 10 livres qui vous avait marqué, d’une façon ou d’une autre, dans votre vie. Ça ne devait pas forcément être de « bons livres » ou de grandes œuvres, juste des livres qui nous avaient touché ».

A l’époque, j’avais listé :

  1. Les 4 filles du Dr March de Louisa May Alcott
  2. Croc Blanc de Jack London
  3. La nuit des temps de Barjavel
  4. American Psycho de Bret Easton Ellis
  5. Un été pour mourir de Lois Lowry
  6. Le seigneur des anneaux/silmarillon/contes et légendes inachevées/etc.BREF l’œuvre de Tolkien
  7. La saga Harry Potter
  8. La saga Twilight
  9. Le portrait de Dorian Gray d’Oscar Wilde
  10. L’évangile selon Pilate d’Eric-Emmanuel Schmitt

 

Alors, pour les deux premiers, c’est assez facile, ce sont les deux tous premiers vrais livres  » de grands » que j’ai lu.
Cela dit, avec le temps, je pense que j’ai gardé de meilleurs souvenirs des 4 filles du Dr March.
Un peu plus chaleureux sûrement… et puis j’avais beaucoup aimé les adaptations en film et dessin animé !

La nuit des temps est probablement un de mes livres préférés et que j’ai le plus conseillé à autrui. Une belle histoire d’amour bien tragique sur fond de SF… Sortez les mouchoirs !

American Psycho est l’un des rares films que j’ai vu AVANT de lire le livre.
J’ai donc le même amour inconditionnel pour ces deux œuvres.
Décalé, original voire franchement trash… Ce n’est pas un roman d’épouvante mais certaines scènes m’ont marquée au fer rouge !

Un été pour mourir a été mon premier livre imposé à l’école.
Une HORRIBLE histoire de cancer d’enfant que j’ai lue bien trop jeune et qui me laisse un arrière-gout bien amer en bouche.

J’ai toujours une pensée émue pour les sagas de Tolkien et pour Harry Potter pour avoir forcé les portes de mon imaginaire… Et j’aime toujours autant les relire !

BON OK… Twilight… J’avais 18 ans et j’étais une incorrigible NEUNEU.
Pour la petite histoire, j’étais Team Edward.
Avec le recul… Je crois que seul le premier tome trouve un semblant de grâce à mes yeux.

Le portrait de Dorian Gray m’a toujours fasciné.
Comme quoi… Les questions d’image, d’être et de paraître ont toujours titillé ma curiosité et mon intérêt.
Par ailleurs, je regarde toujours les nouvelles séries TV et films qui sortent sur ce sujet.
Je vous conseille d’ailleurs la délicieuse série « Penny dreadfull ».

L’évangile selon Pilate devait être mon livre de chevet du moment (:p). Pour avoir étoffé, par après, ma connaissance de l’auteur, je dirais que je lui préfère la part de l’autre. Une sorte d’excursion dystopique dans un monde où Hitler aurait été reçu aux beaux-arts

 

Si je devais en refaire une, à l’heure actuelle, je garderais :

  1. Les 4 filles du Dr March de Louisa May Alcott
  2. La nuit des temps de Barjavel
  3. American Psycho de Bret Easton Ellis
  4. Le seigneur des anneaux de Tolkien
  5. La saga Harry Potter de J.K. Rowling (surtout le prisonnier d’Azkaban)
  6. Le portrait de Dorian Gray d’Oscar Wilde

 

Et je rajouterais :

 

7. Les Aventures d’Alice au pays des merveilles et De l’autre côté du miroir de Lewis Carroll… Qui n’était pas un oubli de ma part, à l’époque, mais un choix encore assez peu assumé.
Il y a celles qui veulent être des princesses, il y a celle qui veut rester une Alice. Attachante, lunaire, imaginative, curieuse, enjouée… Passer de la petite fille à la reine blanche le temps de traverser le labyrinthe…
Et revenir au point de départ lors du réveil. Se perdre dans une trépidante course au caucus. Changer si souvent qu’on en oublie jusqu’à sa taille et se créer un monde où il n’y aurait que des divagations… Alice. Tout simplement.

 

8. La horde du contrevent de Damasio pour la CLAQUE littéraire que ça a été.
Je n’en dis pas trop pour ne trop rien dévoiler mais… Je le décrirais comme une symphonie polyphonique en colonnes d’air… Un souffle nouveau (uh uh uh ceux qui l’ont lu comprendront) dans la SF qui propose de suivre le périple de 23 personnages (et narrateurs, oui oui oui)  dans leur recherche de la source des vents. Bienvenus dans les terres désolées !

 

9. L’anneau de Moebius de Franck Thilliez. C’est vraiment le dernier roman qui m’a tenu en haleine et qui m’a donné envie de sauter des repas et de manquer des heures de sommeil pour le terminer. Dur. Éprouvant. Un poil compliqué parfois. Comme la horde du contrevent, c’est un livre qui se mérite !

 

10. Non ! de Jeanne Ashbé . Petit poisson rouge a faim. Enfin… Faim d’un bonbon.
Mais grand poisson rouge a dit non. Un petit non, tout rond…
Je connais ce livre par cœur, et pour cause, je dois l’avoir lu des CENTAINES de fois aux garçons…
Ce n’est pas encore un « livre de grands » mais je suis déjà curieuse de savoir vers quels ouvrages ils se tourneront 😉

 

 

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#Change

« Le changement se produit en vous non pas quand vous essayez de vous obliger à changer, mais quand vous devenez conscient de ce qui ne fonctionne pas en vous… »

Ma tête voulait courir après mes petits garçons mais mes jambes étaient trop lourdes.
Mon cœur voulait danser toute la nuit avec les copines mais mon souffle était trop court.
Mon corps voulait se parer de telle ou telle robe d’été mais un petit bourrelet mal placé finissait toujours me bloquer.
Mes lèvres voulaient sourire encore et encore mais mon petit cœur était plein de larmes.
Je voulais marcher la tête haute mais les mots – parfois assassins – me faisaient courber l’échine.

Et puis un jour…

Il y a eu un déclic !

Quel est-il ? Ce fameux secret ? Cette étincelle ?

« La porte du changement ne peut s’ouvrir que de l’intérieur, chacun en détient la clé ».
Je pourrais vous donner 1000 conseils, vous tirer du lit, vous proposer 1000 exemples à suivre, vous caresser dans le sens du poil, vous bousculer…
La force, l’impulsion pour le changement est EN VOUS !

Trouvez votre propre méthode.
Puisez en la force dans votre volonté.
Écoutez-VOUS.
AIMEZ-VOUS et soyez fiers de VOS efforts.
Rappelez-vous les « pourquoi » et mettez toujours en balance les efforts à payer d’un côté (qu’ils ne deviennent pas des « sacrifices ») et votre objectif de l’autre côté.

C’est un combat mais n’en faites pas une guerre.
Devenez la meilleure version de vous-même… mais restez VOUS ❤

 

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#Woman

 « 8 mars… Journée de la femme »
Ma boite mail est littéralement SATURÉE de messages promotionnels : 50% pour des petites robes chez Zalando, le nouveau rouge à lèvres L’oréal à moitié prix, des fleurs à te faire offrir chez machin par ton mari, des bonbons chez trucs, hellofresh, des bavettes pour petits bouts, …
HELLO ?
Quelle est la femme que tu célèbres aujourd’hui ?
LA NANA (unique et intemporelle) blanche, hétérosexuelle, mince, fit et maman ?
 

BREAKING NEWS !
Le 8 mars est la journée internationale des droits des femmes…
TOUTES les femmes.
Toi; moi; la petite métisse qui se fait chahuter dans le bus; ta grosse voisine que les gamins arrêtent pas d’insulter, ta mère qui se tue à la cuisine/ménage/boulot quand ton paternel reste le cul figé dans le canapé; les gamines de 13 ans – mais déjà femmes – qu’on marient à Pierre, Paul ou Jacques; les trophées de guerre; les lesbiennes qu’on viole pour les rééduquer; celles qui se vendent pour survivre; les working girls qui auront jamais cette fameuse promotion parce qu’elles portent mal la moustache,…

BREF… Reprends tes fleurs et tes petits compliments préparés spécialement pour l’occasion (parce qu’on avait vraiment besoin d’une occasion ?) et offre moi – offre nous – une tribune pour faire valoir cette idée simple :  » les femmes (et non pas « la femme ») sont des êtres humains comme les autres ».
La vraie victoire, elle se célébrera quand il ne faudra plus une journée dédiée pour se le rappeler…

« 8 mars… Journée de la femme »… Ma boite mail est littéralement SATURÉE de messages promotionnels : 50% pour des petites robes chez Zalando, le nouveau rouge à lèvres L’oréal à moitié prix, des fleurs à te faire offrir chez machin par ton mari, des bonbons chez trucs, hellofresh, des bavettes pour petits bouts, … … HELLO ? Quelle est la femme que tu célèbres aujourd’hui ? LA NANA (unique et intemporelle) blanche, hétérosexuelle, mince, fit et maman ? … … BREAKING NEWS ! Le 8 mars est la journée internationale des droits des femmes… TOUTES les femmes. Toi; moi; la petite métisse qui se fait chahuter dans le bus; ta grosse voisine que les gamins arrêtent pas d’insulter, ta mère qui se tue à la cuisine/ménage/boulot quand ton paternel reste le cul figé dans le canapé; les gamines de 13 ans – mais déjà femmes – qu’on marient à Pierre, Paul ou Jacques; les trophées de guerre; les lesbiennes qu’on viole pour les rééduquer; celles qui se vendent pour survivre; les working girls qui auront jamais cette fameuse promotion parce qu’elles portent mal la moustache,… … BREF… Reprends tes fleurs et tes petits compliments préparés spécialement pour l’occasion (parce qu’on avait vraiment besoin d’une occasion ?) et offre moi – offre nous – une tribune pour faire valoir cette idée simple :  » les femmes (et non pas « la femme ») est un être humain comme les autres. … La vraie victoire, elle se célébrera quand il ne faudra plus une journee dédiée pour se le rappeler… … #fit #fitness #fitfam #fitgirl #fitmom #healthy #instagood #beyou #weightloss #lifestyle #fitfrenchies #gains #getfit #momlife #inked #instadaily #noexcuses #teamshape #eatcleantraindirty #inspiration #bodypositive #bodytransformation #happylife #quotes #picoftheday #internationalwomenday #woman #motivation #determination #nopainnogain

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#StayPositive

Ce matin, comme tous les matins, je passe sur le compte de @fit_positive_et_happy
pour avoir ma petite dose de motivation quotidienne…
Et je tombe sur un post qui fait complètement écho à mon humeur du moment.

 » Vous êtes ce que vous vous répétez constamment  »

En fait, j’ai repensé à quelque chose qui me semble révélateur : quand tu as des enfants (enfin si tu as accouché dans les années 2000 en tous cas 🤣), on t’encourage à être bienveillante.
À leur parler de manière positive.
À ne pas les stigmatiser.
À les tirer vers le haut tout simplement… mais PERSONNE ne conseille jamais d’appliquer ces conseils à soi-même.

Ton conjoint, tes petits bouts, tes collègues, tes amis… Mais toi… Toi… Tu as l’obligation d’être parfaite.
La maman qui cuisine, l’épouse toujours partante pour le 5-7 caliente, la sportive accomplie, la working girl toujours à l’heure…
Pourquoi est ce que la bienveillance, ça serait si important pour traiter les autres et, au final, oubliable quand on pense à soi ?

J’ai grandi avec l’idée que j’étais différente.
Pas le « différente » hors du commun mais le « différente » bizarre, « que je ne ressemblais à personne », que je ne ferai jamais rien de « normal » de ma vie et qu’au final, ça me retirait toute valeur
Ça m’a mis des années pour être ok avec ça.
Pour trouver du positif là-dedans.
Pour reprendre le rennes de ma propre perception en mains.
De me détacher du regard des autres et écouter un peu mieux mon ressenti.

 » Tu es jolie. Tu es intelligente. Tu es importante.  »
C’est un mantra qui doit résonner dans nos têtes.
Une faveur que l’on se doit à nous-mêmes.
Ça semble si évident de faire l’effort pour les autres…
Pourquoi, alors, est ce si difficile de s’accorder cette même bienveillance à soi-même ?

 

 

Ce matin, comme tous les matins, je passe sur le compte de @fit_positive_et_happy pour avoir ma petite dose de motivation quotidienne… Et je tombe sur un post qui fait complètement écho à mon humeur du moment. …  » Vous êtes ce que vous vous répétez constamment  » … En fait, j’ai repensé à quelque chose qui me semble révélateur : quand tu as des enfants (enfin si tu as accouché dans les années 2000 en tous cas 🤣), on t’encourage à être bienveillante. À leur parler de manière positive. À ne pas les stigmatiser. À les tirer vers le haut tout simplement… mais PERSONNE ne conseille jamais d’appliquer ces conseils à soi-même. … Ton conjoint, tes petits bouts, tes collègues, tes amis… Mais toi… Toi… Tu as l’obligation d’être parfaite. La maman qui cuisine, l’épouse toujours partante pour le 5-7 caliente, la sportive accomplie, la working girl toujours à l’heure… Pourquoi est ce que la bienveillance, ça serait si important pour traiter les autres et, au final, oubliable quand on pense à soi ? … J’ai grandi avec l’idée que j’étais différente. Pas le « différente » hors du commun mais le « différente » bizarre, « que je ne ressemblais à personne », que je ne ferai jamais rien de « normal » de ma vie et qu’au final, ça me retirait toute valeur… Ça m’a mis des années pour être ok avec ça. Pour trouver du positif là-dedans. Pour reprendre le rennes de ma propre perception en mains. De me détacher du regard des autres et écouter un peu mieux mon ressenti. …  » Tu es jolie. Tu es intelligente. Tu es importante.  » C’est un mantra qui doit résonner dans nos têtes. Une faveur que l’on se doit à nous mêmes. Ça semble si évident de faire l’effort pour les autres… Pourquoi, alors, est ce si difficile de s’accorder cette même bienveillance à soi-même ? … #fit #fitness #fitfam #fitgirl #fitmom #healthy #instagood #beyou #weightloss #lifestyle #fitfrenchies #gains #getfit #momlife #positivevibes #instadaily #noexcuses #teamshape #eatcleantraindirty #inked #bodypositive #bodytransformation #happylife #blonde #picoftheday #colorful #physique #motivation #determination #nopainnogain

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#DigressionLivresque

« Les gens sont comme les livres… Les un trompent par leur couverture, les autres surprennent par leur contenu. »

Assurez-vous donc que sous vos belles dorures, malgré vos attrayantes images, vous puissiez garder l’attention des personnes que vous voulez captiver…
Qu’ils restent impatients de froisser vos pages pour en découvrir davantage…
Que leurs regards s’étonnent d’une tournure de phrase ou se languissent d’un nouveau chapitre.
Abandonnez quelques pages blanches, ici et là, pour titiller leur imagination.
Attisez la curiosité de quelques points de suspension…
Et faites en sorte qu’on ne vous quitte qu’à regret…
Pour mieux vous revenir !

 

#inspiration #inspirationalquotes « Les gens sont comme les livres… Les un trompent par leur couverture, les autres surprennent par leur contenu. » … Assurez-vous donc que sous vos belles dorures, malgré vos attrayantes images, vous puissiez garder l’attention des personnes que vous voulez captiver… Qu’ils restent impatients de froisser vos pages pour en découvrir davantage… Que leurs regards s’étonnent d’une tournure de phrase ou se languissent d’un nouveau chapitre. Abandonnez quelques pages blanches, ici et là, pour titiller leur imagination. Attisez la curiosité de quelques points de suspension… Et faites en sorte qu’on ne vous quitte qu’à regret… Pour mieux vous revenir ! … Oui… je suis une passionnée… De lecture 😊 Qui a des ouvrages à conseiller ? … #fit #fitness #fitfam #fitgirl #fitmom #healthy #instagood #beyou #weightloss #lifestyle #fitfrenchies #gains #getfit #momlife #mom #instadaily #noexcuses #teamshape #eatcleantraindirty #bodypositive #bodytransformation #happylife #blonde #picoftheday #physique #motivation #determination #nopainnogain

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#War

#bodytransformation
Vous perdrez du poids,
Vous perdrez du gras,
Vous perdrez de l’eau,
(Que ce soit vos larmes ou votre sueur)
Vous perdrez votre sourire parfois,
Vous perdrez peut-être quelques « amis » au passage,

Assurez-vous de ne pas perdre votre TEMPS et de rester GAGNANTS dans tous vos combats…
Quels qu’ils soient…
Ne sacrifiez pas TOUT.
Continuez à ponctuer votre vie de petits plaisirs, savourez le chemin parcouru.
Si cela doit être une bataille, ne vous faites pas la guerre.
Que le jeu en vaille la peine et que la victoire soit belle 💞

 

 

Invictus Dans les ténèbres qui m’enserrent Noires comme un puits où l’on se noie Je rends grâce aux dieux, quels qu’ils soient Pour mon âme invincible et fière. Dans de cruelles circonstances Je n’ai ni gémi ni pleuré Meurtri par cette existence Je suis debout, bien que blessé. En ce lieu de colère et de pleurs Se profile l’ombre de la Mort Je ne sais ce que me réserve le sort Mais je suis, et je resterai sans peur. Aussi étroit soit le chemin Nombreux, les châtiments infâmes Je suis le maître de mon destin Je suis le capitaine de mon âme. William Ernest Henley (1843-1903) … (C’était ça que je voulais vous partager hier 😜) … #fit #fitness #fitfam #fitgirl #fitmom #healthy #instagood #fitnessaddict #weightloss #lifestyle #trainhard #gains #getfit #momlife #mom #workout #noexcuses #teamshape #eatcleantraindirty #inked #run #bodytransformation #blonde #workhard #picoftheday #training #physique #motivation #determination #nopainnogain

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#ChallengeBWRun

Bon…
Je sais pas si c’était la performance du siècle (🤣) mais après cette looooooongue hésitation « j’y vais-j’y vais pas »…
Je suis terriblement fière et heureuse d’avoir distancé cette ancienne version (la plus défaitiste peut-être) de moi-même.
Ça, c’est dit.
Après, je dois bien l’avouer, pour quelqu’un qui ne court pas, je ne comprends pas comment je fais pour me retrouver dans ce genre de défi sportif DEUX ANS de suite…

Piqure de rappel « Semi-marathon » et « Spartacus Series » ici et ici.

Cette année, ça sera le défi STRONG VIKING (et cette fameuse course de 19km dans la boue), le semi-marathon Disney (avec grand chelem 10km samedi et 21km dimanche) et donc … Ce fichu BW challenge.
Une série de courses. Toutes simples. Toutes les deux semaines. Toute l’année. Dans tout le Brabant Wallon.

 

Pourquoi ?
Hé oui… Je te la pose et je ME la pose aussi cette question. POURQUOI ?
Parce que mes potes n’ont, apparemment, aucun respect pour le CONSENTEMENT.
Et encore moins pour MON CONSENTEMENT PERSONNEL.
Les mauvaises langues diront qu’il en faut peu pour me tenter (et elles auront peut-être raison), les bons prendront simplement le contrepied en me posant « l’autre question », à savoir, pourquoi pas ? Et ils auront raison aussi.

 

Primo, je dirais que courir sans le moindre entrainement est une idée stupide. Vraiment stupide.
Ou masochiste. Je vous laisse le soin de me ranger dans l’un ou l’autre tiroir.
Cela dit, l’expérience « Semi marathon de Nivelles » m’a suffisamment traumatisée pour être un peu plus assidue dans mes entraînements.
Le meilleur moyen de courir mieux, c’est de courir plus souvent.
CQFD.

 

Deuzio, j’ai vraiment envie de développer cette compétence.
Sans vraiment de talent pour le moment, il faut bien se l’avouer.
Malgré tout, je compense ce manque cruel d’aptitude par un enthousiasme à peine entamé et une persévérance qui frise l’acharnement thérapeutique.
Ce n’est pas tant courir qui me plaît (voire… Pas du tout…) mais les sensations de l’arrivée.
D’avoir galéré comme un saumon remontant le cours d’eau, d’avoir exsudé la moindre goutte d’eau, d’avoir les mollets on fire, l’estomac on the road et le regard hagard MAIS d’y avoir survécu.
Et mieux encore que la survie, la récompense suprême d’une douche bien chaude et d’un masque capillaire à la noix de coco pendant que le café coule dans la cuisine.
* Orgasme *

 

Tertio, j’aime le grand air.
Et les trucs nouveaux.
Et ma team.
Comme quoi, au final, le seul truc qui me pose vraiment problème dans la course, c’est de courir.
Logique.

 

 

Petit récit de course du BW challenge Lillois
(La première s’est déroulée à Nivelles, « à domicile », et pour la deuxième… J’étais complètement imbibée dans le vin blanc)

C’était une magnifique journée ensoleillée… Une magnifique journée d’hiver. Une journée magniiifiiique balayée par les vents polaires de Sibérie.
Bref, une journée que t’aimerais passer chez toi, sous un plaid avec une grosse tasse de chocolat chaud. MAIS NAN !
Après les abdos et l’attack du samedi, on a donc multiplié les couches de gilets et doublé nos leggings pour affronter les crêtes brainoises. Et au final, habillés comme des esquimaux, c’est pas tant le froid qui a été compliqué à gérer mais un vent… UN VENT… A décorner les bœufs. Glacial et féroce.

 

C’est parti pour 13 km de course contre le blizzard !
Les 5-6 premiers kilomètres se font plutôt tranquillement. Je sens que ma régularité a quand-même porté quelques bons fruits et, même si le moindre écart de dénivelé se fait ressentir (je ne m’entraîne que sur du plat, faute de mieux), je garde mon allure moyenne. J’arrive à rester dans ma fourchette habituelle [6:10 – 5:40] malgré les aléas climatiques et cette impression persistante que, b*** de m ***, on ne fait que monter dans cette course.
Même les descentes ne sont pas ces moments de libération habituels…, et pour cause, la première vraie pente se fait avec le vent en pleine tronche. Je dois littéralement LUTTER contre le vent pour descendre.
Moment tristesse.
Si j’avais pas aussi peur qu’elles me gèlent sur les joues, je verserais bien une petite larme.

 

Je garde tout de même un bon moral passé le 7ème kilomètre qui est toujours le kilomètre charnière pour moi.
Mon entraînement « d’entretien » est, pour le moment, cantonné à un petit run de 5 à 7 km toutes les semaines (tout du moins, j’essaie). C’est la partie confort. La partie dans laquelle je m’inquiète pas trop.
Passé ce cap, je pense que mon cerveau reptilien prend peur et se met automatiquement en mode panique.
* Bruit d’alarme *
Attention mon chou, terrain inconnu, tu as dépassé la zone safe.
C’est le moment quasi-systématique où je vais commencer à avoir mal aux mollets, aux hanches et à devoir repenser à ma respiration.
Mais je gère. Je saute un peu dans ma playlist pour me passer un bon vieux Rihan, un bon vieux Linkin Park (Somewhere I belong) et ça m’apaise pour un temps.
Je pourrais profiter un peu plus du paysage si je n’étais pas déportée violemment sur le côté à chaque fois que le terrain est découvert mais ça pourrait être pire.
Et d’ailleurs le pire arrive.

10ème kilomètre. La débandade.
Je suis déjà en train de négocier avec moi-même pour savoir lequel du chocolat noisettes ou du praliné aura mes faveurs à la maison… quand se présente une côte. Mais une côté. Un truc. Interminable. Plein de pavés.
Je m’arme de patience. Je regarde devant. Je zappe sur du System of a down.
Et, tout à coup, voulant éviter une nana qui passe avec son chien, je glisse sur un pavé particulièrement malfaisant et tombe directement sur les genoux. En adoration devant les fesses du mec devant.
Mis à part quelques bleus à l’égo et une honte éternelle, les genoux vont bien. Les gens sont absolument adorables autours de moi mais… Mais… Mais… Impossible de me remettre à courir.
J’ai mal nulle part. Mais mes jambes n’en veulent plus.
Chute catastrophique de ma cadence. Et plus j’y pense, moins j’avance.
J’ai 60 pensées à la minute qui me passent en tête : m’asseoir et pleurer, faire du stop comme une lâche, appeler quelqu’un, voler un poney (véridique, on passait d’ailleurs devant une ferme).
MAIS
Heureusement, je ne sais pas plus conduire les poneys que les voitures alors… Je me remets à courir.
Dents serrées. Poings serrés. Mine renfrognée.
Je tranche pour un bout de chaque chocolat.

 

Je pense le supplice terminé quand 500m avant la ligne d’arrivée, je vois la dernière côte du parcours.
Un vrai petit muret.
J’en ai… COMPLÉTEMENT… MA CLAQUE.
Je jure.
Je jure si fort que ma voisine me fait d’ailleurs les gros yeux. Je m’en fous. Il faut que ça se finisse.
Le froid commence à traverser mes gants et j’espère secrètement que si je dois perdre un doigt, ça soit le petit.
Je grimpe.
Les quelques derniers mètres sont épouvantables. Je sais plus ce que je fais. Je ne sais plus où je suis. Je donne mon étiquette. Je présente mon dossard. Mais j’ai le cœur gros.

J’ai le cœur gros jusqu’à ce que j’entende mon prénom.
Je lève la tête pour voir deux de mes potes m’encourager comme si j’étais finisher d’un marathon.
Je souris. J’oublie le froid. J’oublie que j’ai mal. Je lève les bras comme une winneuse et, si je m’en souviens bien, je ris.
Je leur tape dans la main et on pense déjà au petit verre de récompense qui va clôturer la journée.
Je retrouve peu à peu ma team et chaque nouveau sourire est un nouveau sparadrap sur mon petit cœur de beurre.
Bon… Je fuis un petit peu… Le temps d’aller chercher le pire gobelet de thé de la création pour relâcher la pression.
C’est encore une fois ni une franche victoire, ni un cuisant échec.
Mais j’ai encore du mal à me positionner vis-à-vis de cela.
Je prends une grande inspiration. Je redessine mon plus beau sourire.
C’est un pas de plus. Un pas encore.
😉