« Tu es née sauvage… Ne les laisse pas te dompter ».
– Isadora Duncan. ( Danseuse américaine qui révolutionna la pratique de la danse. Par sa grande liberté d’expression, sa spontanéité, son naturel, elle apporta les premières bases de la danse moderne européenne, à l’origine de la danse contemporaine).
Alejandro Jodorowsky, dit « Jodo », né le à Tocopilla (Chili), est un artiste franco-chilien. Surtout connu comme scénariste de bande dessinée et réalisateur, il est également acteur, mime, romancier, essayiste, poète et auteur de performances au sein du groupe actionniste « Panique », qu’il a créé avec Roland Topor et Fernando Arrabal. Au cinéma, il est l’auteur d’une poignée de films avec une forte symbolique spirituelle et syncrétique, et un aspect provocateur.
Jodorowsky est également connu dans sa pratique du tarot divinatoire, pour lequel il a une approche plus jungienne, psychologique ou « psychomagique » qu’occultiste ou ésotériste.
Il est également l’auteur des préceptes suivants :
Le Moi Essentiel, la Conscience, ce qu’en réalité nous sommes, est une unité impersonnelle, sans limite.
Le Moi artificiel, limité, créé par la famille, la société et la culture, est divisé quatre ego (symbolisés dans le Tarot par l’épée, la coupe, le bâton et le denier) :
l’ego intellectuel qui s’exprime par les idées,
l’ego émotionnel qui s’exprime par les sentiments,
l’ego sexuel qui s’exprime par les désirs,
et l’ego corporel qui s’exprime par les besoins.
Chacun de ces quatre ego, chez tous les êtres humains sans exception, souffre d’une forme de névrose : l’intellectuel se sent inférieur, l’émotionnel se sent angoissé, le sexuel se sent castré et le corporel se sent abandonné.
ÉPÉE : une personne, même réalisée, un artiste célèbre, un dictateur suprême, un multimillionnaire, se sentira inférieure au plus profond d’elle-même, elle se comparera, ne sera jamais satisfaite, essayera d’obtenir toujours plus. Cette névrose est le produit de la sentence mortelle qui pèse sur tout être vivant : la mort physique est inévitable, tout comme le vieillissement et ses attributs. Cette névrose nous conduit à critiquer négativement les autres.
COUPE : une personne, même très aimée, verra son ego envahi par l’angoisse. Cette peur de l’inconnu est le produit de l’ignorance : personne ne sait ce qu’est la vie, ni le pourquoi de son existence, personne ne connaît la totalité de l’univers. Cette névrose nous conduit à nous laisser fanatiser par des doctrines ou des religions sectaires.
BÂTON : une personne (femme ou homme), même très puissante, forte, efficace, se sentira castrée, incomplète, il lui manquera toujours quelque chose, elle sentira toujours qu’on lui a enlevé quelque chose. C’est produit par le fait que tous nous vivons dans une cage mentale, dans un ego limité, séparés des valeurs incommensurables de notre inconscient. Cette névrose nous conduit à l’envie, à l’agressivité et à la haine.
DENIER : une personne, même très protégée, se sentira abandonnée dans un monde incompréhensible et agressif, au système économique incertain. Elle s’attachera à ses parents et aux gens de sa famille jusqu’à un âge avancé, cherchera des ami/es en qui elle pourra « avoir confiance ». Ceci est dû au fait que tous nous vivons sur une planète qui, pouvant être paradisiaque, peut nous attaquer par tout type de catastrophes, de séismes, d’ouragans, de sécheresses, d’inondations, d’incendies, d’astéroïdes mortels. Cette névrose nous conduit, en essayant de nous protéger, à l’égoïsme, à la manie de collectionner des possessions.
Pour supporter l’infériorité, nous apprenons à nous identifier, c’est-à-dire incorporer les valeurs des autres. Nous admirons des artistes, des sportifs, de fortes personnalités. Et cette admiration nous fait sentir que nous possédons leurs qualités. Nous combattons pour obtenir des récompenses.
Pour supporter l’angoisse, nous apprenons à appartenir à des sectes, des religions, des partis politiques. Nous nous livrons à des ego délirants qui disent tout savoir, et avoir une solution à tous les problèmes.
Pour supporter la castration, nous apprenons à nous créer des membres imaginaires en dominant les autres, en donnant des ordres et des interdictions, en accumulant de l’argent.
Pour supporter l’abandon, nous nous amarrons aux autres en formant des couples sans amour, des sociétés qui nous vampirisent, en prenant part à des festivités qui nous abrutissent, et à des activités de groupe qui sont seulement des jeux superficiels.
Il semblerait que l’objectif suprême de l’ego intellectuel soit d’être un GÉNIE, aspirant à ouvrir de nouveaux chemins pour le développement de l’humanité.
Il semblerait que l’objectif suprême de l’ego émotionnel soit d’être un SAINT, acceptant l’ignorance sacrée pour se fondre dans la volonté divine.
Il semblerait que l’objectif suprême de l’ego sexuel soit d’être un HÉROS, décidant de sacrifier sa vie pour une cause sociale qui lui paraît juste.
Il semblerait que l’objectif suprême de l’ego corporel soit d’être un CHAMPION, employant toutes ses énergies à vaincre les autres pour devenir à chaque fois meilleur.
Le chemin pour vaincre ces quatre névroses est celui d’apprivoiser ses ego limités pour qu’ils apprennent à se fondre dans le Moi Essentiel, qui est impersonnel, qui est tout, qui sait tout et qui peut tout.
Chaque fois que j’entends un homme dire :
“Elle est trop,
trop sauvage,
trop difficile à comprendre,
trop compliquée,
trop difficile à maîtriser,
trop émotionnelle,
trop dogmatique, ou folle”, …
J’entends en fait :
“J’aurais brûlé son cul sur les bûchers de Salem.
Elle est trop connectée à la Déesse.
Je ne pourrai pas la dompter.
Je ne la comprendrai pas.
Je ne pourrai pas la garder.
Elle n’aura pas besoin de moi.
Elle est trop puissante et n’aimera pas les parties blessées de mon être”
Au contraire, elle verra les parties de toi qui t’effraient et les aimera malgré tout.
Une femme libérée t’aimera sans avoir jamais besoin de te changer.
Elle se connectera à toi à un niveau primaire, aura besoin de ton corps quand elle se laissera consumer par son propre feu intérieur.
Sa passion te fera capituler alors même que tu la verras bouleverser tout ton monde.
En tant qu’amante, elle ne fera pas seulement l’amour à ton corps et à ton cœur, mais aussi à ton âme.
Tu te demanderas comment c’était de vivre avant de la rencontrer.
Elle t’irritera, et si tu réponds, ça sera encore pire.
Quand vous vous réconcilierez, tu réaliseras à quel point tu te sentais mourir en imaginant la vie sans elle, mais elle t’a enseigné ta force et comment ta vulnérabilité te rend courageux.
Elle t’a fait comprendre que tu peux survivre à tout, même à la perdre, car elle t’a appris à croire en toi-même.
Elle exigera encore plus de toi, et tu seras heureux qu’elle ait su que tu avais cela en toi depuis toujours.
Elle t’aimera violemment et t’enseignera de la même façon.
De même, elle te nourrira et t’atteindra à un point qui te rendra inconfortable.
Elle aimera le petit garçon craintif en toi, celui dont tu redoutes l’existence, et en le reconnaissant elle te fera sentir que ton vieux toi est mort, celui qui vivait dans le mensonge.
La partie de toi qui ne se trouve pas assez bien émergera pour guérir, et elle verra à travers ta façade.
Elle appuiera sur les boutons et te fera rentrer encore plus en toi-même.
Elle te fera te poser des questions, te fera grandir et apprendre bien plus que tu ne le pensais possible.
Elle te mettra au défi et ne sera jamais ennuyeuse.
Elle t’excitera et t’exaspérera avec son audace qui la fait être complètement elle-même, et pas seulement des bouts d’elle-même.
Elle aura beaucoup de sentiments et tu ne sauras pas quoi faire, mais pas une seule fois tu n’oseras penser à la quitter car tu es étranger à la tragédie.
Ses larmes t’effraieront et tu voudras la réparer, réparer ses problèmes, réparer le monde pour elle.
Elle te rassurera en t’expliquant que c’est un moyen de s’exprimer et que cela n’est pas un signe de faiblesse, que tu peux pleurer quand tu es en colère, content, triste, ou sans raison du tout.
Que les larmes sont comme un élixir pour l’âme, un catalyseur du lâcher prise, un signe de changement d’énergie.
Ce sera une chevauchée sauvage, une aventure qui te mènera au bord de toi-même.
Avec cette relation, tu voudras assurer ton amour pour toujours, mais tu sauras que tu ne peux pas posséder une femme libérée, tu ne peux que l’aimer.
Aime une sauvage.
Laisse la t’ensorceler, t’enivrer, te stupéfier, te séduire, t’hypnotiser, t’enchanter et laisse la te libérer.
Alejandro Jodorowsky, dit « Jodo », né le à Tocopilla (Chili), est un artiste franco-chilien. Surtout connu comme scénariste de bande dessinée et réalisateur, il est également acteur, mime, romancier, essayiste, poète et auteur de performances au sein du groupe actionniste « Panique », qu’il a créé avec Roland Topor et Fernando Arrabal. Au cinéma, il est l’auteur d’une poignée de films avec une forte symbolique spirituelle et syncrétique, et un aspect provocateur.
Jodorowsky est également connu dans sa pratique du tarot divinatoire, pour lequel il a une approche plus jungienne, psychologique ou « psychomagique » qu’occultiste ou ésotériste.
Il est également l’auteur des préceptes suivants :
64 règles pour apprivoiser ton ego et réaliser ton âme
1 • Ne transforme pas une douleur en souffrance : laisse-la venir, laisse-la passer, ne t’enchaîne pas à elle…
2 • Sois ce que tu es dans le présent, laisse le passé derrière, ne te charge pas de fautes.
3 • Élimine toute angoisse du futur.
4 • Travaille à ton évolution jusqu’au dernier moment de ta vie…
5 • Ne rends de comptes à personne : sois ton propre juge.
6 • Apprends à te critiquer mais aussi à te féliciter.
7 • Chaque soir, avant de dormir, remémore-toi ta journée et juge tes actions avec objectivité…
8 • Si tu veux triompher, apprends à rater.
9 • Ne te définis pas par tes possessions…
10 • Ne transforme jamais une activité ou un autre être en motif de ton existence : aies à ta vie propre, ne délègue pas ton pouvoir.
11 • Quand tu parles avec quelqu’un, ne l’interromps pas jusqu’à ce qu’il ait exprimé son idée. Tant que tu l’écoutes tu ne le contredis pas ou l’approuves mentalement : entends-le sans avoir d’avis. Quand il se tait, librement, considère ce qui a dit et réagis comme ta conscience te le dicte.
12 • Ne t’engage pas avec des idées auxquelles tu ne crois pas, ni même par nécessité d’obtenir un travail…
13 • Ne donne pas de conseils sans dire avant : « Selon ce que je crois et d’après ce que je sais, au risque de me tromper ».
14 • N’affirme jamais quelque chose sans dire à la fin « Jusqu’à un certain point, à ce moment donné et dans un tel contexte »…
15 • Ne parle jamais de toi sans te donner la possibilité de changer.
16 • Ne parle jamais de toi comme si tu étais un être limité, pourvu que tu agisses en pensant que tu n’existes pas au cas par cas, ce que tu fais est le résultat d’impulsions collectives…
17 • En acceptant seulement que rien n’est à toi tu seras propriétaire de tout.
18 • Convertis-toi en offrande totale…
19 • Cesse de mal parler des autres ou du monde : quand on te demande ton avis sur quelque chose ou sur quelqu’un énoncent seulement ses qualités. Si tu ne lui trouves pas de qualités, tais-toi… 20 • Fais le plus fréquemment possible des actes positifs pour l’autre et pour le monde de façon gratuite et anonyme…
21 • Quand tu tombes malade, au lieu de haïr ta maladie, considère-la comme ton Maître…
22 • Accepte sans envie les valeurs de l’autre…
23 • Ne parle pas en faisant résonner ta voix dans ta tête ou dans ton nez ou dans ta gorge, fais-la résonner dans ta poitrine : utilise la voix du cœur…
24 • Ne touche pas le corps de l’autre pour lui prendre quelque chose ou pour le réduire : touche-le pour l’accompagner…
25 • Ne regarde pas de travers, regarde toujours directement…
26 • Donne, mais n’oblige pas à recevoir
27 • Ne fais personne se sentir coupable et accepte que tu sois complice de tout ce qui t’arrive…
28 • N’oublie pas tes chers morts, mais donne-leur un emplacement limité qui les empêche d’envahir toute ta vie.
29 • Dans le lieu où tu habites consacre un petit emplacement au sacré…
30 • Que dans ta cuisine il n’y ait jamais de saleté ou de désordre…
31 • Quand tu rends un service ne te plains pas ni ne souligne tes efforts : si tu décides d’aider ou de travailler pour quelqu’un autre, fais-le avec plaisir et sans attendre de remerciements…
32 • Si tu promets, accomplis…
33 • Si tu hésites entre faire ou ne pas faire, risque-toi à faire, en acceptant la possibilité de rater…
34 • Ne définis quelqu’un ni par sa race, ni par son sexe, ni par sa profession, ni par ses idées, ne le définis pas, tout simplement…
35 • N’imite pas ni ne copie, absorbe et transforme…
36 • Cesse de demander et commence à remercier…
37 • N’essaye pas d’être tout pour quelqu’un : offre-lui la liberté de chercher chez l’autre ce que tu ne peux pas lui donner. Permets-toi aussi ce droit…
38 • Quand on te questionne, ne t’oblige pas à donner une réponse : tu peux te taire, faire un geste, ou remplacer la réponse par une autre question…
39 • Pour obtenir quelque chose, souhaite vraiment l’obtenir…
40 • Traite l’autre comme tu voudrais qu’il te traite…
41 • Si tu ne veux pas commettre d’erreur, tu n’atteindras jamais la perfection…
42 • Si tu n’as pas la foi et que tu veux l’obtenir, imite-la…
43 • Quand quelqu’un est triomphant devant un public, ne va pas sur son territoire pour le contredire dans le but de lui voler ce public.
44 • Crée ta propre place et ton propre public…
45 • Chez quelqu’un d’autre mange avec modération.
46 • Là où l’on t’a invité, arrive toujours avec un cadeau…
47 • Vis d’un argent gagné par toi-même avec plaisir…
48 • Ne t’orne pas avec des idées étrangères.
49 • Ne te photographies pas avec des personnages célèbres.
50 • Ne te vante pas de tes aventures amoureuses…
51 • Abandonne tes habitudes physiques, sexuelles, émotionnelles et mentales, et cherche constamment le changement…
52 • Ne te vante pas avec sympathie de tes faiblesses…
53 • Ne va jamais voir quelqu’un uniquement pour passer le temps…
54 • Dans les conversations ne parle pas de toi et ni d’événements temporaires, parle de thèmes…
55 • Au moins une fois par jour assieds-toi immobile, en arrêtant tes mots, tes émotions et tes désirs : observe ton flot intérieur comme si tu étais assis sur la rive et que tu voyais passer une rivière…
56 • N’empêche pas tes enfants d’aller plus loin que toi, accepte le chemin qu’ils choisissent.
57 • Ne critique jamais ceux que tu aimes. Laisse-les croître comme et vers où ils veulent…
58 • Ne te déguise pas avec des fausses personnalités pour qu’on t’admire…
59 • Agis pour le plaisir d’agir et non pour ce que cette action peut te faire gagner…
60 • Obtiens pour distribuer…
61 • Si quelqu’un te dit que tu as commis une faute et a raison, ne discute pas et reconnais immédiatement cette faute…
62 • Ne donne jamais un cadeau en te préoccupant ensuite de ce que celui qui l’a reçu en fera…
63 • Si tu parles avec des personnes dont tu te méfies, ne respire pas par la bouche. Tiens-la fermée et inhale seulement par le nez.
64 • Ne répond pas « Ce n’est pas vrai », mais dis plutôt « Je crois autre chose ».
Ce samedi 19 novembre, des amies fantastiques m’ont offert des places pour le concert 20 ans de Placebo, groupe phare de ma jeunesse, mon adolescence et de ma mélancolie de presque adulte. Amis de la poésie…
A place For Us To Dream est plus qu’un simple greatest hits, puisqu’en plus de proposer des nouveautés plutôt sympas, il reprend l’essentiel de la discographie qu’on aime et innove même avec quelques grands tubes version 2.0.
Bref. Un album qui vaut le détour !
Même si je suis assez peu impartiale… J’avoue…
Je ne résiste ni au charme androgyne, ni à l’œil charbonneux de Brian Molko (surtout depuis que j’ai vu Velvet Goldmine et que je suis tombée amoureuse de sa B.O.). PS : Si vous aimez la période GlamRock, le bon son et l’éternel David Bowie… Je vous conseille le film !
BREF
Direction le SportPaleis d’Anvers pour 2h de concert… Magiques !
Je passe vite fait sur la première partie que je n’ai pas du tout aimée… Un rythme insipide, une chanteuse sans voix et une balance de sons qui laissait présager le pire (on a vite été rassurés, cependant).
Le groupe nous chauffe en douceur avec des images cuts de « Every you and every me » – quel excellent choix – avant d’enchainer CASH ET SEC sur Nancy Boy. Dès le début, tu sens que le concert va faire la part belle aux « vrais » fans de Placebo.
S’en suit un mélange bien dosé de vieux tubes « fan service » avec un point culminant sur « Bitter End » ou « Infra red », par exemple, et de reprises bien balancées de chansons qu’on adore, « English Summer Rain » notamment.
La première partie fait la part belle à l’interprétation de Brian Molko, possédé par sa musique et ses paroles, ainsi qu’à l’énergie de dingue de Stefan Olsdal, le bassiste.
Et puis, il y a ce moment, super touchant, hommage à David Bowie pour qui vous connaissez ma passion et mon amour impérissable. Without You I’m Nothing. Qui va purement et simplement provoquer une ovation de presque 2 minutes. Un moment magnifique.
Mon moment de la soirée (rien qu’à moi) est probablement survenu quand les cordes se sont pincées sur « Special needs ». Doux et intense à la fois. Il fallait voir son sourire quand la musique montait vers d’autres cieux.
Ma seule mini frustration arrive quand Brian Molko entame « Protect me from that I want »… Dont je préfère la version française. Mais bon. Je prends sur moi !
Vers 22h00, ensuite, Molko annonce la partie « fun » du concert. C’est samedi soir et il est temps de commencer la « party » ! C’est deuxième partie sera un pur moment de plaisir, de musique et de montages psychédéliques ! La salle est conquise, la salle est en transe, la salle DANSE ! Mention spéciale à « Special K » justement, qui est pourtant pas ma préférée sur papier…
On finit sur un double rappel super généreux et un bain de foule pour clôturer une magnifique soirée placée sous le signe de la bonne humeur et de la communion avec les fans.
Et quelle clôture ! « Running Up That Hill », repris de Kate Bush. Magique vous dis-je…