Publié dans Do it for the gram, Quelques mots

#Book

Je suis tombée sur un vieux vieux viiiiiiiiiiiiiieux statut Facebook façon »chain mail » de qui consistait à « lister 10 livres qui vous avait marqué, d’une façon ou d’une autre, dans votre vie. Ça ne devait pas forcément être de « bons livres » ou de grandes œuvres, juste des livres qui nous avaient touché ».

A l’époque, j’avais listé :

  1. Les 4 filles du Dr March de Louisa May Alcott
  2. Croc Blanc de Jack London
  3. La nuit des temps de Barjavel
  4. American Psycho de Bret Easton Ellis
  5. Un été pour mourir de Lois Lowry
  6. Le seigneur des anneaux/silmarillon/contes et légendes inachevées/etc.BREF l’œuvre de Tolkien
  7. La saga Harry Potter
  8. La saga Twilight
  9. Le portrait de Dorian Gray d’Oscar Wilde
  10. L’évangile selon Pilate d’Eric-Emmanuel Schmitt

 

Alors, pour les deux premiers, c’est assez facile, ce sont les deux tous premiers vrais livres  » de grands » que j’ai lu.
Cela dit, avec le temps, je pense que j’ai gardé de meilleurs souvenirs des 4 filles du Dr March.
Un peu plus chaleureux sûrement… et puis j’avais beaucoup aimé les adaptations en film et dessin animé !

La nuit des temps est probablement un de mes livres préférés et que j’ai le plus conseillé à autrui. Une belle histoire d’amour bien tragique sur fond de SF… Sortez les mouchoirs !

American Psycho est l’un des rares films que j’ai vu AVANT de lire le livre.
J’ai donc le même amour inconditionnel pour ces deux œuvres.
Décalé, original voire franchement trash… Ce n’est pas un roman d’épouvante mais certaines scènes m’ont marquée au fer rouge !

Un été pour mourir a été mon premier livre imposé à l’école.
Une HORRIBLE histoire de cancer d’enfant que j’ai lue bien trop jeune et qui me laisse un arrière-gout bien amer en bouche.

J’ai toujours une pensée émue pour les sagas de Tolkien et pour Harry Potter pour avoir forcé les portes de mon imaginaire… Et j’aime toujours autant les relire !

BON OK… Twilight… J’avais 18 ans et j’étais une incorrigible NEUNEU.
Pour la petite histoire, j’étais Team Edward.
Avec le recul… Je crois que seul le premier tome trouve un semblant de grâce à mes yeux.

Le portrait de Dorian Gray m’a toujours fasciné.
Comme quoi… Les questions d’image, d’être et de paraître ont toujours titillé ma curiosité et mon intérêt.
Par ailleurs, je regarde toujours les nouvelles séries TV et films qui sortent sur ce sujet.
Je vous conseille d’ailleurs la délicieuse série « Penny dreadfull ».

L’évangile selon Pilate devait être mon livre de chevet du moment (:p). Pour avoir étoffé, par après, ma connaissance de l’auteur, je dirais que je lui préfère la part de l’autre. Une sorte d’excursion dystopique dans un monde où Hitler aurait été reçu aux beaux-arts

 

Si je devais en refaire une, à l’heure actuelle, je garderais :

  1. Les 4 filles du Dr March de Louisa May Alcott
  2. La nuit des temps de Barjavel
  3. American Psycho de Bret Easton Ellis
  4. Le seigneur des anneaux de Tolkien
  5. La saga Harry Potter de J.K. Rowling (surtout le prisonnier d’Azkaban)
  6. Le portrait de Dorian Gray d’Oscar Wilde

 

Et je rajouterais :

 

7. Les Aventures d’Alice au pays des merveilles et De l’autre côté du miroir de Lewis Carroll… Qui n’était pas un oubli de ma part, à l’époque, mais un choix encore assez peu assumé.
Il y a celles qui veulent être des princesses, il y a celle qui veut rester une Alice. Attachante, lunaire, imaginative, curieuse, enjouée… Passer de la petite fille à la reine blanche le temps de traverser le labyrinthe…
Et revenir au point de départ lors du réveil. Se perdre dans une trépidante course au caucus. Changer si souvent qu’on en oublie jusqu’à sa taille et se créer un monde où il n’y aurait que des divagations… Alice. Tout simplement.

 

8. La horde du contrevent de Damasio pour la CLAQUE littéraire que ça a été.
Je n’en dis pas trop pour ne trop rien dévoiler mais… Je le décrirais comme une symphonie polyphonique en colonnes d’air… Un souffle nouveau (uh uh uh ceux qui l’ont lu comprendront) dans la SF qui propose de suivre le périple de 23 personnages (et narrateurs, oui oui oui)  dans leur recherche de la source des vents. Bienvenus dans les terres désolées !

 

9. L’anneau de Moebius de Franck Thilliez. C’est vraiment le dernier roman qui m’a tenu en haleine et qui m’a donné envie de sauter des repas et de manquer des heures de sommeil pour le terminer. Dur. Éprouvant. Un poil compliqué parfois. Comme la horde du contrevent, c’est un livre qui se mérite !

 

10. Non ! de Jeanne Ashbé . Petit poisson rouge a faim. Enfin… Faim d’un bonbon.
Mais grand poisson rouge a dit non. Un petit non, tout rond…
Je connais ce livre par cœur, et pour cause, je dois l’avoir lu des CENTAINES de fois aux garçons…
Ce n’est pas encore un « livre de grands » mais je suis déjà curieuse de savoir vers quels ouvrages ils se tourneront 😉

 

 

Publié dans Do it for the gram

#Change

« Le changement se produit en vous non pas quand vous essayez de vous obliger à changer, mais quand vous devenez conscient de ce qui ne fonctionne pas en vous… »

Ma tête voulait courir après mes petits garçons mais mes jambes étaient trop lourdes.
Mon cœur voulait danser toute la nuit avec les copines mais mon souffle était trop court.
Mon corps voulait se parer de telle ou telle robe d’été mais un petit bourrelet mal placé finissait toujours me bloquer.
Mes lèvres voulaient sourire encore et encore mais mon petit cœur était plein de larmes.
Je voulais marcher la tête haute mais les mots – parfois assassins – me faisaient courber l’échine.

Et puis un jour…

Il y a eu un déclic !

Quel est-il ? Ce fameux secret ? Cette étincelle ?

« La porte du changement ne peut s’ouvrir que de l’intérieur, chacun en détient la clé ».
Je pourrais vous donner 1000 conseils, vous tirer du lit, vous proposer 1000 exemples à suivre, vous caresser dans le sens du poil, vous bousculer…
La force, l’impulsion pour le changement est EN VOUS !

Trouvez votre propre méthode.
Puisez en la force dans votre volonté.
Écoutez-VOUS.
AIMEZ-VOUS et soyez fiers de VOS efforts.
Rappelez-vous les « pourquoi » et mettez toujours en balance les efforts à payer d’un côté (qu’ils ne deviennent pas des « sacrifices ») et votre objectif de l’autre côté.

C’est un combat mais n’en faites pas une guerre.
Devenez la meilleure version de vous-même… mais restez VOUS ❤

 

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#Woman

 « 8 mars… Journée de la femme »
Ma boite mail est littéralement SATURÉE de messages promotionnels : 50% pour des petites robes chez Zalando, le nouveau rouge à lèvres L’oréal à moitié prix, des fleurs à te faire offrir chez machin par ton mari, des bonbons chez trucs, hellofresh, des bavettes pour petits bouts, …
HELLO ?
Quelle est la femme que tu célèbres aujourd’hui ?
LA NANA (unique et intemporelle) blanche, hétérosexuelle, mince, fit et maman ?
 

BREAKING NEWS !
Le 8 mars est la journée internationale des droits des femmes…
TOUTES les femmes.
Toi; moi; la petite métisse qui se fait chahuter dans le bus; ta grosse voisine que les gamins arrêtent pas d’insulter, ta mère qui se tue à la cuisine/ménage/boulot quand ton paternel reste le cul figé dans le canapé; les gamines de 13 ans – mais déjà femmes – qu’on marient à Pierre, Paul ou Jacques; les trophées de guerre; les lesbiennes qu’on viole pour les rééduquer; celles qui se vendent pour survivre; les working girls qui auront jamais cette fameuse promotion parce qu’elles portent mal la moustache,…

BREF… Reprends tes fleurs et tes petits compliments préparés spécialement pour l’occasion (parce qu’on avait vraiment besoin d’une occasion ?) et offre moi – offre nous – une tribune pour faire valoir cette idée simple :  » les femmes (et non pas « la femme ») sont des êtres humains comme les autres ».
La vraie victoire, elle se célébrera quand il ne faudra plus une journée dédiée pour se le rappeler…

« 8 mars… Journée de la femme »… Ma boite mail est littéralement SATURÉE de messages promotionnels : 50% pour des petites robes chez Zalando, le nouveau rouge à lèvres L’oréal à moitié prix, des fleurs à te faire offrir chez machin par ton mari, des bonbons chez trucs, hellofresh, des bavettes pour petits bouts, … … HELLO ? Quelle est la femme que tu célèbres aujourd’hui ? LA NANA (unique et intemporelle) blanche, hétérosexuelle, mince, fit et maman ? … … BREAKING NEWS ! Le 8 mars est la journée internationale des droits des femmes… TOUTES les femmes. Toi; moi; la petite métisse qui se fait chahuter dans le bus; ta grosse voisine que les gamins arrêtent pas d’insulter, ta mère qui se tue à la cuisine/ménage/boulot quand ton paternel reste le cul figé dans le canapé; les gamines de 13 ans – mais déjà femmes – qu’on marient à Pierre, Paul ou Jacques; les trophées de guerre; les lesbiennes qu’on viole pour les rééduquer; celles qui se vendent pour survivre; les working girls qui auront jamais cette fameuse promotion parce qu’elles portent mal la moustache,… … BREF… Reprends tes fleurs et tes petits compliments préparés spécialement pour l’occasion (parce qu’on avait vraiment besoin d’une occasion ?) et offre moi – offre nous – une tribune pour faire valoir cette idée simple :  » les femmes (et non pas « la femme ») est un être humain comme les autres. … La vraie victoire, elle se célébrera quand il ne faudra plus une journee dédiée pour se le rappeler… … #fit #fitness #fitfam #fitgirl #fitmom #healthy #instagood #beyou #weightloss #lifestyle #fitfrenchies #gains #getfit #momlife #inked #instadaily #noexcuses #teamshape #eatcleantraindirty #inspiration #bodypositive #bodytransformation #happylife #quotes #picoftheday #internationalwomenday #woman #motivation #determination #nopainnogain

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#StayPositive

Ce matin, comme tous les matins, je passe sur le compte de @fit_positive_et_happy
pour avoir ma petite dose de motivation quotidienne…
Et je tombe sur un post qui fait complètement écho à mon humeur du moment.

 » Vous êtes ce que vous vous répétez constamment  »

En fait, j’ai repensé à quelque chose qui me semble révélateur : quand tu as des enfants (enfin si tu as accouché dans les années 2000 en tous cas 🤣), on t’encourage à être bienveillante.
À leur parler de manière positive.
À ne pas les stigmatiser.
À les tirer vers le haut tout simplement… mais PERSONNE ne conseille jamais d’appliquer ces conseils à soi-même.

Ton conjoint, tes petits bouts, tes collègues, tes amis… Mais toi… Toi… Tu as l’obligation d’être parfaite.
La maman qui cuisine, l’épouse toujours partante pour le 5-7 caliente, la sportive accomplie, la working girl toujours à l’heure…
Pourquoi est ce que la bienveillance, ça serait si important pour traiter les autres et, au final, oubliable quand on pense à soi ?

J’ai grandi avec l’idée que j’étais différente.
Pas le « différente » hors du commun mais le « différente » bizarre, « que je ne ressemblais à personne », que je ne ferai jamais rien de « normal » de ma vie et qu’au final, ça me retirait toute valeur
Ça m’a mis des années pour être ok avec ça.
Pour trouver du positif là-dedans.
Pour reprendre le rennes de ma propre perception en mains.
De me détacher du regard des autres et écouter un peu mieux mon ressenti.

 » Tu es jolie. Tu es intelligente. Tu es importante.  »
C’est un mantra qui doit résonner dans nos têtes.
Une faveur que l’on se doit à nous-mêmes.
Ça semble si évident de faire l’effort pour les autres…
Pourquoi, alors, est ce si difficile de s’accorder cette même bienveillance à soi-même ?

 

 

Ce matin, comme tous les matins, je passe sur le compte de @fit_positive_et_happy pour avoir ma petite dose de motivation quotidienne… Et je tombe sur un post qui fait complètement écho à mon humeur du moment. …  » Vous êtes ce que vous vous répétez constamment  » … En fait, j’ai repensé à quelque chose qui me semble révélateur : quand tu as des enfants (enfin si tu as accouché dans les années 2000 en tous cas 🤣), on t’encourage à être bienveillante. À leur parler de manière positive. À ne pas les stigmatiser. À les tirer vers le haut tout simplement… mais PERSONNE ne conseille jamais d’appliquer ces conseils à soi-même. … Ton conjoint, tes petits bouts, tes collègues, tes amis… Mais toi… Toi… Tu as l’obligation d’être parfaite. La maman qui cuisine, l’épouse toujours partante pour le 5-7 caliente, la sportive accomplie, la working girl toujours à l’heure… Pourquoi est ce que la bienveillance, ça serait si important pour traiter les autres et, au final, oubliable quand on pense à soi ? … J’ai grandi avec l’idée que j’étais différente. Pas le « différente » hors du commun mais le « différente » bizarre, « que je ne ressemblais à personne », que je ne ferai jamais rien de « normal » de ma vie et qu’au final, ça me retirait toute valeur… Ça m’a mis des années pour être ok avec ça. Pour trouver du positif là-dedans. Pour reprendre le rennes de ma propre perception en mains. De me détacher du regard des autres et écouter un peu mieux mon ressenti. …  » Tu es jolie. Tu es intelligente. Tu es importante.  » C’est un mantra qui doit résonner dans nos têtes. Une faveur que l’on se doit à nous mêmes. Ça semble si évident de faire l’effort pour les autres… Pourquoi, alors, est ce si difficile de s’accorder cette même bienveillance à soi-même ? … #fit #fitness #fitfam #fitgirl #fitmom #healthy #instagood #beyou #weightloss #lifestyle #fitfrenchies #gains #getfit #momlife #positivevibes #instadaily #noexcuses #teamshape #eatcleantraindirty #inked #bodypositive #bodytransformation #happylife #blonde #picoftheday #colorful #physique #motivation #determination #nopainnogain

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#DigressionLivresque

« Les gens sont comme les livres… Les un trompent par leur couverture, les autres surprennent par leur contenu. »

Assurez-vous donc que sous vos belles dorures, malgré vos attrayantes images, vous puissiez garder l’attention des personnes que vous voulez captiver…
Qu’ils restent impatients de froisser vos pages pour en découvrir davantage…
Que leurs regards s’étonnent d’une tournure de phrase ou se languissent d’un nouveau chapitre.
Abandonnez quelques pages blanches, ici et là, pour titiller leur imagination.
Attisez la curiosité de quelques points de suspension…
Et faites en sorte qu’on ne vous quitte qu’à regret…
Pour mieux vous revenir !

 

#inspiration #inspirationalquotes « Les gens sont comme les livres… Les un trompent par leur couverture, les autres surprennent par leur contenu. » … Assurez-vous donc que sous vos belles dorures, malgré vos attrayantes images, vous puissiez garder l’attention des personnes que vous voulez captiver… Qu’ils restent impatients de froisser vos pages pour en découvrir davantage… Que leurs regards s’étonnent d’une tournure de phrase ou se languissent d’un nouveau chapitre. Abandonnez quelques pages blanches, ici et là, pour titiller leur imagination. Attisez la curiosité de quelques points de suspension… Et faites en sorte qu’on ne vous quitte qu’à regret… Pour mieux vous revenir ! … Oui… je suis une passionnée… De lecture 😊 Qui a des ouvrages à conseiller ? … #fit #fitness #fitfam #fitgirl #fitmom #healthy #instagood #beyou #weightloss #lifestyle #fitfrenchies #gains #getfit #momlife #mom #instadaily #noexcuses #teamshape #eatcleantraindirty #bodypositive #bodytransformation #happylife #blonde #picoftheday #physique #motivation #determination #nopainnogain

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#Blasée

💣Top 5 des relous sur Instagram💣
Attention chérie… Ça va bitcher…

 

N°1 : Celui qui ne te lit pas. Il te trouve « jolie », « ravissante » ou « belle o quotidien » à chacun de tes posts mais, au fond, ce que tu racontes, il s’en cogne. Ce qu’il veut c’est du nichon ou du fessard (à défaut la couleur de tes sous-vêtements). Depuis quand les nanas ont le droit de parler d’ailleurs ? T’es pas sur Insta pour te mettre à pwal ? T’es pas là pour mon plaisir ?

 

N°2 : Celui qui veut te vendre un truc. Il te connait pas, il t’a follow sans regarder ton compte mais FORCÉMENT tu veux perdre du poids ou avoir le cheveu qui pousse plus vite (véridique). Autant dire qu’avec moi qui aime ni le thé, ni les shakers, ni les wraps en couenne de jambon… c’est mal barré.

 

N°3 : Celui qui t’attaque direct au petit doigt. Lui, tu as jamais vu sa tronche mais tu sais ce qu’il cache dans son slibard. Et… Au final… tu comprends pas pourquoi, tu comprends pas comment ça pourrait marcher. Tu soupires et tu bloques. Sans intérêt. Comme le matos proposé souvent d’ailleurs 😁

 

N°4 : Celui qui veut te conseiller. Alors bien souvent, il est pas coach, il va pas forcément à la salle MAIS il a vu des vidéos youtube… Il a eu son diplôme de diététique en épluchant une banane et ÉTRANGEMENT lui non plus tu as jamais vu sa tronche (il ne poste que des photos de son chien Titou) mais « put* ma fille tu devrais remplacer tes frites par du riz blanc ». Euh… ah quoi ? Pardon ? J’ai demander ton avis ?

 

N°5 : Celui qui a un avis sur toi. Tu as jamais gardé les chèvres avec lui mais la vision de ce que tu postes sur IG lui a donné une profonde connaissance de ton âme et de tes aspirations. « Tu te déshabilles trop », « tu vends ton âme », « tes leggings sont trop sexy », … Pauvre petite brebis égarée que je suis. Je m’en voudrais tellement de ternir ton âme immortelle. Je te propose donc de te libérer des chaînes qui te lient à mon compte pour aller te lancer une vidéos de petits chatons. C’est pas grave. Je ne t’en veux pas 😘❤

 

 

💣Top 5 des relous sur Instagram💣 Attention chérie… Ça va bitcher… … N°1 : Celui qui ne te lit pas. Il te trouve « jolie », « ravissante » ou « belle o quotidien » à chacun de tes posts mais, au fond, ce que tu racontes, il s’en cogne. Ce qu’il veut c’est du nichon ou du fessard (à défaut la couleur de tes sous-vêtements). Depuis quand les nanas ont le droit de parler d’ailleurs ? T’es pas sur Insta pour te mettre à pwal ? T’es pas là pour mon plaisir ? … N°2 : Celui qui veut te vendre un truc. Il te connait pas, il t’a follow sans regarder ton compte mais FORCÉMENT tu veux perdre du poids ou avoir le cheveu qui pousse plus vite (véridique). Autant dire qu’avec moi qui aime ni le thé, ni les shakers, ni les wraps en couenne de jambon… c’est mal barré. … N°3 : Celui qui t’attaque direct au petit doigt. Lui, tu as jamais vu sa tronche mais tu sais ce qu’il cache dans son slibard. Et… Au final… tu comprends pas pourquoi, tu comprends pas comment ça pourrait marcher. Tu soupires et tu bloques. Sans intérêt. Comme le matos proposé souvent d’ailleurs 😁 … N°4 : Celui qui veut te conseiller. Alors bien souvent, il est pas coach, il va pas forcément à la salle MAIS il a vu des vidéos youtube… Il a eu son diplôme de diététique en épluchant une banane et ÉTRANGEMENT lui non plus tu as jamais vu sa tronche (il ne poste que des photos de son chien Titou) mais « put* ma fille tu devrais remplacer tes frites par du riz blanc ». Euh… ah quoi ? Pardon ? J’ai demander ton avis ? … N°5 : Celui qui a un avis sur toi. Tu as jamais gardé les chèvres avec lui mais la vision de ce que tu postes sur IG lui a donné une profonde connaissance de ton âme et de tes aspirations. « Tu te déshabilles trop », « tu vends ton âme », « tes leggings sont trop sexy », … Pauvre petite brebis égarée que je suis. Je m’en voudrais tellement de ternir ton âme immortelle. Je te propose donc de te libérer des chaînes qui te lient à mon compte pour aller te lancer une vidéos de petits chatons. C’est pas grave. Je ne t’en veux pas 😘❤

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#Inertia (épilogue)

Jolie petite claque hier soir après mon dernier post.
Intense réflexion cette nuit.
Ça a mis mon subconscient au supplice apparemment !

Je ne me suis pas rendue compte de la portée de ce que je disais en parlant de mon rapport à la maladie et à l’inactivité.
Je ne me défends pas de ce que j’ai écrit, ça reste un ressenti personnel : quand je suis malade, je fais à chaque fois le deuil de cette toute-puissance dont je me crois dotée. Je déteste le sentiment de vulnérabilité que je ressens.
Je déteste le sentiment de vulnérabilité que ça renvoie.

Je pense que ça vient de mon éducation/de mon environnement.
Chez nous, on est tout simplement pas malade.
On résiste.
On est des durs.
Rien ne nous atteint (je caricature à peine).
On ne se donne pas le droit d’être autre chose qu’infaillible. Et quand bien même ça arrive (oui… on aime le penser mais on est pas des dieux)… On est dans le déni.
On ira pas chez le médecin sans être mourant (hum hum), on résistera jusqu’à ce qu’il soit limite trop tard.

BREF après le petit bout de discussion hier soir avec ma délicieuse quelques uns d’entre vous…
J’entrevois la vacuité de cette éducation de spartiates.
La maladie, ce n’est pas une faiblesse, c’est déjà un combat en soi.
Comment peut on être faible quand on se bat ?
Et, au final… depuis quand l’aveu de vulnérabilité est-il devenu une faiblesse ?
Être vulnérable, c’est admettre pouvoir être blessé ou exposé.
Et si…
Et si c’était une manière de protéger son cœur vulnérable dans une armure de fer ?
Comme si l’un pouvait protéger l’autre ?

 

 

❄Instagram polaire❄ Température : -6° – Ressenti : -13° … Jolie petite claque hier soir après mon dernier post. Intense réflexion cette nuit. Ça a mis mon subconscient au supplice apparemment 🤣 … Je ne me suis pas rendue compte de la portée de ce que je disais en parlant de mon rapport à la maladie et à l’inactivité. Je ne me défends pas de ce que j’ai écrit, ça reste un ressenti personnel : quand je suis malade, je fais à chaque fois le deuil de cette toute-puissance dont je me crois dotée. Je déteste le sentiment de vulnérabilité que je ressens. Je déteste le sentiment de vulnérabilité que ça renvoie. … Je pense que ça vient de mon éducation/de mon environnement. Chez nous, on est tout simplement pas malade. On résiste. On est des durs. Rien ne nous atteint (je caricature à peine). On ne se donne pas le droit d’être autre chose qu’infaillible. Et quand bien même ça arrive (oui… on aime le penser mais on est pas des dieux 😁)… On est dans le déni. On ira pas chez le médecin sans être mourant (hum hum), on resistera jusqu’à ce qu’il soit limite trop tard… … BREF après le petit bout de discussion hier soir avec ma délicieuse @maliceaupaysdescervelles, mon éternel @julienrofidal et mes deux petites decouvertes du soir, @mariemeneghel et @carene_renauxdelloue … … J’entrevois la vacuité de cette éducation de spartiates… La maladie, ce n’est pas une faiblesse, c’est déjà un combat en soi. Comment peut on être faible quand on se bat ? Et, au final… depuis quand l’aveu de vulnérabilité est-il devenu une faiblesse ? … Être vulnérable, c’est admettre pouvoir être blessé ou exposé. Et si… Et si c’était une manière de protéger son coeur vulnérable dans une armure de fer ? Comme si l’un pouvait protéger l’autre ?

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#Inertia

Après avoir mis un peu d’ordre dans mes idées (et vous avez pas idée du foutoir que c’est là-dedans),
je reviens sur mon mini-psychodrame de ce début d’année : cette foutue attaque de mucus.
Bon… Vous pourriez dire que je dramatise et que personne aime être malade.
Et vous auriez raison.
Personne aime être malade et j’ai une propension naturelle au drama.
Mais là où je m’interpelle, c’est que… Même les deux bronches trempant de le mucus le plus épais,
le nez bouché (et dieu sait que je ne SUPPORTE pas ça),
la gorge en feu,
la vaillance d’un bébé loutre,
et l’énergie d’un marmotton narcoleptique.
La seule et unique chose qui me préoccupait, c’était… La reprise du sport.

Pour toi, ça ne veut rien dire (ou c’est, au contraire, vachement préoccupant) mais pour moi, c’est juste incompréhensible. Il y a encore 5 ans de cela, je n’en calais absolument pas une.
Rien.
Je courais même pas après le bus.
Je m’étais résignée à une vie malheureuse et dodue en évitant soigneusement les gens qui me bassinaient avec leurs salle de sport, cours co’, step et autre aquagym.
Le sport, c’était clairement pas pour moi.
(Et à l’heure où j’écris ça… J’en ris encore !)

 

 

SO WHAT ?

 

Tout d’abord, je pense qu’une partie de moi aura toujours cette peur panique de reprendre du poids.
J’ai beau essayer de relativiser. De rationaliser. De me convaincre. Et, au final, me dire que c’est pas grave…
Ça a été une telle bataille, une telle croix à porter, une telle souffrance que la perspective de « tout devoir recommencer » me serre le cœur à chaque fois que j’y pense.
Le spectre de la « rechute » n’est jamais loin.
C’est totalement irrationnel de penser reprendre 30kg en une semaine quand, de toute façon, t’es malade façon moyenâgeuse au temps de la grande peste mais, c’est un fait, l’idée me hante.
Et pourtant, ce n’est pas ce que je prône. Ce n’est pas ce que je souhaite à autrui. Ce n’est même pas ce que je me souhaite à moi-même.
Simplement, au-delà du physique qui, objectivement, ne me déplaisait pas vraiment, même à l’époque; c’est plutôt un état d’esprit que je ne veux pas retrouver.
Un mal-être. Un état plus passif. Une dévalorisation totale. Une dépression, en somme.

 

Ensuite, au fil de ces 5 ans, est venue s’insinuer cette idée insidieuse que si jamais je m’arrêtais, je pourrais tomber.
Ce qu’on ne vous dit pas quand vous perdez beaucoup de poids et que vous décidez de changer vos habitudes, c’est que vous serez en rémission à vie.
C’est une idée complètement farfelue de croire qu’un jour on faisait n’importe quoi de sa vie et de son corps et que le lendemain on se réveille plein de bonne volonté avec un tout nouveau programme sportif et alimentaire.
Non.
C’est une prise de conscience quotidienne.
Est ce que ma santé/ma vie/mon être a assez de valeur pour être soigné et entretenu ?
Est ce que je m’aime assez pour m’accorder ce temps de « bien-être » ?
Atteindre son objectif de poids, c’est pas trouver le saint Graal.
Non seulement, il faut savoir s’arrêter à un moment raisonnable mais il faut également composer avec la nouvelle nana que vous croisez le matin dans le miroir de la salle de bain.
Bah… Oui… C’est un fait. Votre corps change mais votre visage change aussi !
J’avais une bonne bouille de bébé hamster et, d’un coup ou presque, je prends conscience que j’ai des pommettes plutôt hautes et découpées, des fossettes quand je souris et… disons le… Un air bien plus coquin qu’avant.
Ton regard change.
Mais le regard des autres changent aussi !
Sans même y faire attention, de la bonne copine, tu passes à la fille facile.
30 kg de moins… ça t’offre une toute autre dimension.
30 kg de moins et tu n’es plus vraiment toi-même.
30kg de moins et je t’assure que, même toi, tu aurais du mal à te reconnaître.

Mais, c’est typiquement quelque chose à laquelle tu ne VEUX PAS penser :
Où tu te situes toi entre la petite boule et cette blonde élancée ?
Qu’est ce que tu as sacrifié de toi pour devenir celle que tu voulais ?
Quel est le pourcentage de « vrai » en toi ?
Est ce que tu évolues en bien ?
Est ce que tu te rapproches VRAIMENT de cette meilleure version de toi-même ?

Alors, tu cours, tu soulèves lourd, tu danses, tu circuites, tu écris, tu dis oui à plein de nouveaux projets, …
Pas le temps de réfléchir, pas le temps de t’ennuyer et c’est tant mieux parce que, honnêtement, l’ennui me tue.
« Si je m’arrête, je tombe », l’hyperactivité semble être une saine solution.
Je ne veux pas m’arrêter, pas me poser, je veux m’évader.

N.B. : Je dois bien avouer, a posteriori, que ce repos forcé m’a fait incroyablement du bien, ne serait-ce que pour apprécier le travail accompli et d’avoir eu l’agréable occasion de manquer un peu à certains. C’est parfois dans le manque que l’on se rend compte de ce que l’on possède réellement.

 

Enfin, et c’est peut-être le plus difficile à admettre; ne rien faire, c’est aussi faire le deuil d’un certain sentiment de toute puissance.
Je suis quelqu’un qui maitrise, qui gère, qui assure. Dans tous les domaines. Tout le temps.
(Oh yeah)
Ce n’est même pas vraiment une joie pour moi-même, c’est quelque chose qui m’a toujours été imposé (ou en tous cas, j’en ai toujours eu l’impression).
Être parfaite. En tous points. En toutes circonstances.
Je ne me fais aucune concession. Je ne transige pas avec moi-même et (malheureusement) rarement avec les autres.
MAIS JE ME SOIGNE ! C’est promis …
Du coup, pour moi, cet aveu publique, de vulnérabilité, c’est insupportable.
Insupportable et à la limite de la honte.
Les gens parfaits ne sont pas malades. Ils ne sont pas vulnérables. lls ne sont pas faibles.
Je ne veux pas être faible.
Je ne veux plus être une victime.
De personne.

BON… OK… !
Ça ne m’excuse pas de vous avoir saoulé à mort avec ma reprise du sport.
Mais si ça peut vous permettre de réaliser que ce n’était pas « gratuit » et que tout n’est pas toujours aussi simple qu’on veut bien le faire croire…
C’est déjà ça 😉

La route est encore longue mais… On va rester sur le bodypositive !
C’est promis !

 

 

 

 

 

 

 

Publié dans Do it for the gram, Quelques mots

#Back

Seul est vaincu celui qui renonce.
Tous les autres sont victorieux.

Et le jour viendra où les moments difficiles ne seront plus que des histoires qu’ils seront fiers de raconter, à ceux qui voudront écouter.

Et tous les entendront avec respect et apprendront trois choses importantes :
1) La patience d’attendre le bon moment pour agir.
2) La sagesse de ne pas laisser échapper l’occasion suivante.
3) Et la fierté de leurs cicatrices.

Les cicatrices sont des médailles gravées au fer et au feu dans la chair et elles effraieront leurs ennemis, en montrant que la personne qui est devant eux a une grande expérience du combat.
Cela les conduira très souvent à rechercher le dialogue et évitera le conflit.

Les cicatrices parlent plus fort que la lame du couteau qui les a causées.

(du livre  » Le manuscrit retrouvé », p. Coelho, Ed. J’ai Lu)

Publié dans Do it for the gram, Quelques mots

#Love

 » Tu écoutes, tu regardes, mais rien ne t’intéresse.
Tu es derrière un mur.
Tu ne touches pas notre temps.
Ton passé t’a suivie dans le conscient et le subconscient de ta mémoire.
Tu ne penses qu’à t’y replonger, à le retrouver, à le revivre.
Le présent pour toi, c’est lui. « 
[…]
 » Tu me comprends, tu avais compris, peut-être pas tous les mots, mais assez de mots pour savoir combien, combien je t’aimais.
« Je t’aime », « l’amour », amour, ces mots n’ont pas de sens dans votre langue, mais tu les avais compris, tu savais ce qu’ils voulaient dire, ce que je voulais te dire, et s’ils ne t’avaient pas apporté l’oubli et la paix ils t’avaient donné, apporté, posé sur toi assez de chaleur pour te permettre de pleurer. »
Barjavel – La nuit des temps
Païkan et Elea
Pour toujours et jamais