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#SpartacusRun Enghien

Ce dimanche 23 octobre se déroulait le tout premier Spartacus Run au Parc d’Enghien. Une course d’obstacles qui fait, à présent partie des KBC Spartacus Series.
SOLD-OUT depuis mi-septembre, elle se compose d’une vingtaine d’obstacles et de plus ou moins 10 km de course pure. Quelques exemples ? Le « Monkey Island », qui invite les participants à franchir un pont de singe au-dessus de l’eau à la force des bras. Ou encore, le « Tobogaaaan! », qui consiste en gigantesque plan incliné situé à 6m de haut se finissant… dans l’eau !
J’ai donc eu le plaisir de faire partie des 34% de nanas inscrites dans l’avant-dernière vague de coureurs.
Et…
Quelle course ! Oh My Gad…

Une organisation au top, 5597 coureurs classés pour 6153 inscrits (bouh!) par vagues de 150 personnes, des gaufres, des verres d’eau, de chouettes goodies, une super entraide entre participants et un STAFF super sympathique.
A côté des obstacles « spectaculaires », des portions de courses bien sympa’s en sac en toile de jute ou chevilles entravées, avec des sacs de sable sur les épaules ou des labyrinthe de pneus,… Bref. De quoi fatiguer son homme (et sa nana).

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Le plus fun ?
Alors… Bien que la perspective de patauger dans la flotte par 13° me faisait pas sauter de joie au premier abord… Je dois bien avouer que – non seulement – ça soulageait mes gambettes fatiguées mais, qu’en plus, ça galvanisait les troupes !
Les baquets d’eau et le toboggan font donc partie de mon top 3.
Le « petit » parcours avec les sacs de sable était aussi bien comique (enfin, je dis ça parce que je suis maso)… Bien que la boue ait rendu le parcours un peu plus tricky que prévu, je pense.

Le plus dur ?
Le ramping sur les coudes… De loin… On ne soupçonne pas la fermeté d’un sol terreux avant de se vautrer dessus sur plusieurs mètres. Really.

Le petit plus ?
L’équipe photo/ravitaillement vraiment encourageante.
L’ambiance de la course elle-même !
J’ai plein « d’anonymes » à remercier : « le gars du début qui a poussé mes fesses vers le haut du mur », « la nana qui a retrouvé mon élastique dans les dunes de sables », « le gars qui m’a indiqué la bonne motte de terre dans le bush » ET Marie-France pour la fin de parcours !

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Et… Beaucoup de fierté !
Un nouveau défi relevé et plein de beaux souvenirs…

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Source

Spartacus Run, http://www.sport.be/spartacusenghien/2016/fr/#news

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#Image

Il y a quelques années de cela, en février 2009 (déjà), je dessinais avec fierté mon premier tatouage !

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Un lézard maori… symbole des artistes et de la création artistique.
Fait avec mes petits doigts délicats.
Un trait pas encore tout à fait assuré MAIS un charme indéniable !
* Auto promotion *

Et au détour d’une recherche de photo…
DÉCONVENUE !
Ma salamandre est PARTOUT !
Je vous propose donc, dans cet article, de suivre les pérégrinations de Mari (c’est son nom) dans les méandres de l’Internet !

 

Sur pinterest
C’est d’abord ici que je la retrouve. Sous diverses formes.
Mon blog parfois cité, parfois non.
Je ne sais pas si certains ont franchi l’étape de se le faire tatouer mais ça m’aurait amusée de le savoir
🙂

Après, voilà. Mon dos nu sur Pinterest… Passe encore !

 

Sur des forums Final Fantasy !
Retrouvé au détour d’une recherche image…
Je présume.

Ma foi… Ca reste sur un forum alors… Pourquoi pas !

 

En tant que photo de profil Facebook
Et plusieurs personnes ont eu la même idée, a priori.
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Tout ça reste dans le domaine du rigolo… De « l’hommage ».
Ce qui m’agace un tantinet plus, c’est le détournement d’image.
Genre ça : https://klout.com/Turblog
NON, ma salamandre est pas faite pour cracher des flammes !
Surtout des flammes cheapos…
C’est juste,… le sommet de la laideur pour moi.

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Et encore mieux… Sur Twitter !

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On est sérieux les gens ?

 

Réutilisation sauvage (avec compression de ma patte gauche (-_-)
Quand ton tatouage devient… Un logo professionnel !
https://alumni.insead.edu/newsletter/articles/TMTNetwork.htm
Là, par contre, je ne suis pas sûre de la légalité de la chose.
Il me semblait que tout logo pro devait être original ?!

 

Capture d’écran 2015-07-10 à 11.27.39Tu manquais de budget pour te payer un graphiste professionnel ou bien ?

 

Et un cortège d’utilisations à but commercial…
(Et là, je trouve ça TRÈS moyen)

 

LittleMercerie
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Pochoir pour tatouage… temporaire ?!
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Coque d’Iphone
(avec un beau salopage de mon œil…)
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La version en cuir, si tu préfères… Avec le même œil aveugle
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Ou si tu passes chez Jojo Tuning


Le rouge, c’est pas ma couleur
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Le top de la transformation…
Le photoshop girly paillette !

Capture d’écran 2015-07-10 à 12.00.56Et le fin du fin…
La cerise sur le gâteau…
La crème de la crème…

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http://cl3mybazart.kazeo.com/


Comment tu peux oser faire ça quand toi-même tu repompes ton logo ???
* J’hallucine *

 

Alors voilà, c’est un article rigolo mais qui, je pense, pose quand-même quelques questions sur l’utilisation des images que l’on poste sur le net.
On parle ici d’un simple dessin, d’un tatouage, qui m’est de toute façon très personnel et qu’il m’est un peu égal de voir partagé (puisque c’est de toute façon sorti de son contexte).
Par contre, je m’interroge sur les photos plus « privées » que l’on expose…
Les nôtres, celles de notre famille, nos amis, nos enfants…
Cela renvoie à son propre rapport à l’image et à son utilisation potentielle par une foule d’inconnus…
Est ce que nos images nous appartiennent encore ?
A méditer !

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#Histoires d’encre

Février 2009
Le temps des choix…
En Polynésie, le lézard est le symbole des arts.
De nombreux tatoueurs s’en font décorer la main ou l’intérieur du poignet.

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Mars 2010
Un temps pour soi
En Polynésie, la tortue est le symbole de la sagesse…
Et de la famille !

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Octobre 2014
Le temps d’Alice, dans le terrier du lapin blanc
Le chat de Cheshire à Alice :
« But I don’t want to go among mad people », Alice remarked.
« Oh, you can’t help that,’ said the Cat: ‘we’re all mad here. I’m mad. You’re mad ».
[…]
« All right », said the Gnat: « half way up that bush, you’ll see a Rocking-horse-fly, if you look. It’s made entirely of wood, and gets about by swinging itself from branch to branch ».
» What does it live on? » Alice asked, with great curiosity.
» Sap and sawdust », said the Gnat.

  

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Avril 2015
Le temps d’être maman…
Un ambigramme pour des jumeaux
Pas de prénoms… J’avais déjà leur nom tatoués dans mon cœur bien avant qu’ils soient nés

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Novembre 2015
Le temps d’être libre ?
J’aurais aimé, en tous cas…

capture-decran-2016-11-01-a-17-51-48Juin 2016
Le temps d’écrire
Un grand grand GRAND moment d’écriture. Ca fait du bien de renouer avec ses passions.
En tous cas, je ne quitte plus ma plume !

capture-decran-2016-11-01-a-17-50-57Et maintenant ?

Publié dans Du sucre, des épices et plein de bonnes choses !

#GetFit

La nutrition du sportif… Vaste question…
Beaucoup d’idées se télescopent, beaucoup d’articles se contredisent et ta maman n’est pas toujours de bons conseils (tu reprendras bien un peu de…)

DONC

La première règle. Si on ne devait en retenir qu’une seule, si elle devait nous servir de mantra ou d’épitaphe…
HYDRATEZ-VOUS !
Pour une belle peau, de beaux ongles, de beaux cheveux et votre survie… Buvez de l’eau !

La deuxième règle. Même si elle vous semble contradictoire avec une perte de poids.
NE SAUTEZ JAMAIS UN REPAS !
Voyez long terme. On vous l’a assez répété à la salle : le muscle pèse plus lourd que le gras. Rangez votre balance. Votre corps est une machine (hi hi hi hi, j’entends mon coach parler quand j’écris cette phrase), elle a besoin de carburant !

Principes de base :
L’alimentation du sportif ne diffère guère de celle de tout le monde. Elle doit être surtout mieux composée, ingérée au moment adéquat et en plus grande quantité, en veillant à recomposer les pertes en eau et en sels minéraux par la transpiration.

Les glucides sont le carburant de base des muscles et doivent être absorbés en quantité importante (pâtes, pommes de terre), de façon régulière pendant l’entraînement et quelques heures avant les compétitions (trois ou quatre heures avant). Il faut toujours préférer les sucres lents contenus dans les pâtes et féculents aux sucres rapides des pâtisseries et boissons sucrées.
Les protéines sont importantes pour le renouvellement de la croissance musculaire et l´apport de fer, de même que les lipides, qui apportent vitamines et corps gras nécessaires au bon fonctionnement de l´organisme.

Enfin les fruits et les légumes apportent vitamines et minéraux et par leur apport en eau et favorisent la réhydratation.

Les yaourts et autres produits laitiers, absorbés quotidiennement participent également de l’apport en protéines et en calcium, nécessaire à l’os et à la contraction musculaire.

 

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S’entrainer le matin…
Avant toutes choses… Un réveil musculaire s’impose ! La pratique d’un réveil musculaire consiste à faire une activité de très faible intensité, pendant une bonne vingtaine de minutes. Cela correspond à trottiner en course à pied, ou « mouliner » sur son vélo… L’objectif est de réveiller la « machinerie » du geste sportif, la commande nerveuse des muscles, l’adaptation cardiorespiratoire, assouplir les tendons et les muscles, dégourdir les articulations, pour ainsi mieux préparer l’organisme au futur entraînement de la journée.

Dans cette activité, la dépense énergétique est très légère, et ne justifie pas d’apport particulier. Seule l’hydratation doit être soignée, en buvant un grand verre d’eau avant de partir. La prise de boisson la veille est également déterminante, pour éviter de se réveiller déshydraté.

L’activité physique matinale peut s’intensifier pour devenir un réel entraînement sportif. Un petit déjeuner est recommandé, à condition qu’il soit léger, facilement assimilable, car le délai de digestion est court. La priorité sera une fois de plus de satisfaire une bonne hydratation. Un grand verre d’eau dès le lever peut s’accompagner ensuite d’un bol de lait avec céréales, de pain grillé avec confiture ou compote. L’eau reste la boisson idéale, car le thé, café, ou jus de fruits peuvent occasionner des troubles digestifs (éructation, régurgitation, brûlure gastrique). Il faut éviter les pâtes chocolatées, les viennoiseries ou brioches, le fromage, la charcuterie, dont la digestion plus lente peut causer des troubles gastriques secondaires pendant l’effort.

Mise en garde : S’entraîner à jeun !

Certains sportifs pratiquent des entraînements matinaux à jeun, généralement dans un souci de perte de poids (on en connaît tous, je pense). L’intérêt d’une telle pratique est fortement contesté :

La pratique d’une activité sportive à jeun brûle prioritairement les sucres et les acides gras circulant dans le sang, puis impose à l’organisme de puiser dans ses réserves de glycogène, de graisse, et de protéine. Le déficit énergétique place l’organisme en situation de « souffrance ».

L’intensité de l’effort sollicite d’autres sources d’énergie que les graisses corporelles. L’utilisation des protéines musculaires à des fins énergétiques conduit à des altérations des fibres contractiles, et fragilise le tissu musculaire. Ce risque est d’autant plus élevé qu’une séance trop matinale ne permet pas à l’organisme d’assurer un état d’hydratation correct. La déshydratation associée renforce le risque de blessure tendineuse et musculaire (tendinopathie, élongation, claquage).

La carence en énergie et en nutriment qui accompagne le jeûne altère l’adaptation à l’effort, et se manifeste par une fatigabilité, évoluant vers un réel surentraînement avec la répétition des séances. La baisse de la vigilance expose au risque de chute ou d’accident. L’apparition d’une sensation de faim ou de fringale accentue la pénibilité de l’effort qui perd toute connotation de plaisir.

EN BREF : déshydratation, blessures, risques de chutes, blessures, tête dans le coussin et, bien entendu, blessures ! L’entraînement à jeun augmente donc le risque de blessures musculaires, de chute ou d’accident, et expose à une baisse des performances, et au surentraînement.

 

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S’entrainer à midi…

De nombreux sportifs profitent de la coupure du déjeuner pour s’entraîner, n’hésitant pas à sacrifier le repas du midi, par manque de temps, et par impossibilité de se restaurer correctement. Quelle solution…

Que se passe-t-il si je m’entraîne sans manger ?
L’apport énergétique étant insuffisant, l’entraînement risque fort d’être peu efficace. Un grand nombre de contre performances repose sur cette erreur alimentaire. Bien sûr vous terminerez votre entraînement, mais sans entrain, sans énergie, avec la faim au ventre.

Quel intérêt de s’entraîner dans ces conditions ?
La sensation de fringale marque la carence énergétique.
Persister à ne pas s’alimenter conduit à mettre l’organisme dans une situation de souffrance et d’intolérance à l’effort : le muscle va donc chercher l’énergie nécessaire en puisant sur ses propres réserves, qui sont très limitées, ce qui risque de conduire à des lésions des fibres musculaires. D’où l’apparition de problèmes musculaires, de blessures et de mauvaise récupération. A l’extrême, le sportif risque un malaise hypoglycémique, avec perte de connaissance, pouvant être lourd de conséquence.

Préparer votre entrainement !

Prévoir une collation de 11H par exemple, composée d’un apport en sucre complexe (barres céréalières, gâteau de riz ou semoule, pain), d’un fruit (ou jus de fruit, compote), et pourquoi pas un produit laitier (yaourt, fromage blanc).

Après l’entraînement, il faudra prendre le temps de se restaurer, même rapidement avant de reprendre le travail posté de l’après midi. Gardez à l’esprit que sauter un repas n’a jamais fait maigrir, et conduit inévitablement à mettre l’organisme en état de souffrance, source de mauvaise récupération et d’intolérance à l’effort. La qualité de votre travail l’après midi s’en ressentira, votre irritabilité aussi !

Si vous n’êtes pas adepte du sandwich, il y a toujours la solution de la salade de féculents et de crudités, accompagnée d’une viande froide. Terminez votre repas par un produit laitier et un fruit ou compote, produits qui existent actuellement en portion individuelle facilement transportable. Déjeuner sur le pouce au boulot ne donne plus une mauvaise image, et commence même à être un facteur de mode dans certains milieux professionnels.

Que penser du sandwich ?
Le sandwich est trop souvent considéré à tort comme une erreur alimentaire. Pour le sportif n’ayant pas le temps ni la possibilité de se restaurer convenablement il reste un très bon produit, en fonction de la garniture que vous y mettez !

Le pain constitue une source de glucide, le jambon de protéine. Il faudra de préférence éviter les pains briochés (viennois), et privilégier les pains spéciaux (complets, céréales, son…). Les crudités sont sources de vitamines et de fibres. Ce n’est pas la quantité de beurre présente à l’intérieur qui va venir perturber la ration lipidique.

Pas le temps de manger = sandwich + produit laitier + fruit + eau.

 

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S’entraîner le soir…

Fatiguée… Pas envie de cuisiner… Pas faim… Envie d’aller au lit… Les raisons sont multiples pour négliger ou supprimer ce repas de récupération. L’essentiel étant de manger rapidement pour aller au lit !
Grossière erreur.

Qui dit « repas tardif » dit « être digeste », pour ne pas gêner le sommeil. Il doit donc être peu gras, et en quantité maîtrisée.
Oui. Personnellement, un repas trop gras avant d’aller dormir me fait le même effet qu’un épisode de Walking Dead.
Il doit répondre aux impératifs nutritionnels d’un repas de récupération, avec en particulier l’association d’un féculent (restauration énergétique) et d’une ration protéinée (récupération structurelle des fibres musculaires).

L’idéal est qu’il soit préparé à l’avance ou facile à réchauffer pour concurrencer Mario, le pizzaiolo du coin. En effet, après une pratique sportive tardive (soir), il faut éviter les tâches de préparation culinaire qui ne font qu’accentuer la fatigue. Ce temps de préparation retarde d’autant plus l’heure du repas et du coucher, ce qui compromet la récupération.

Un repas type salade froide peut être une bonne alternative pour éviter d’attendre la cuisson et de grignoter. Les repas associant féculents et viande (ou poisson) en un seul plat simplifient la préparation.

 

Composition type du repas
Une ration protéinée : viande, produit de la mer, œuf, jambon
Une ration de féculents : pâtes, riz, pomme de terre, semoule, blé, polenta… ou sous forme de potage (contenant des pommes de terre)
*Éviter les légumes secs pour les ballonnements abdominaux qu’ils occasionnent*
*Éviter les sauces grasses*
Une compote de fruits de préférence, plutôt qu’un fruit frais (éviter kiwi et agrumes)
Un produit laitier
Une tisane

 

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Erreurs fréquentes
Ne pas manger
. Et non, ce n’est JAMAIS une bonne idée. Comme le dirait et le répéterait si bien mon coach, le corps passe alors en mode survie et stockera le futur gras pour une autre période de disette. De plus, s’aliter après une séance d’entraînement sans repas préalable compromet la récupération, tant sur le plan énergétique (absence de glucides lents) que sur le plan structurel  des muscles (absence d’apport protéiné), et contribue à l’épuisement progressif des stocks en oligoéléments (absence de renouvellement des vitamines et minéraux perdus).

Ne pas manger de féculents : la récupération des stocks énergétiques serait alors insuffisante, et pourrait compromettre l’entraînement du lendemain. Et s’entrainer quand tu es crevé, ça augmente drastiquement les risques de blessures. Et ça peut potentiellement t’arrêter pendant des semaines… Des mois… Bouuuuuuh.

Manger trop : un repas trop consistant le soir est « lourd à digérer », et peut occasionner une pesanteur abdominale, gênant le sommeil et la récupération.

 

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Sources :
IRBMS (institut de recherche du bien-être, de la médecine et de la santé), http://www.irbms.com/sport/entrainement-repas/
Le petit déjeuner, http://www.irbms.com/petit-dejeuner-perdre-du-poids
Le sandwich, http://www.irbms.com/le-sandwich-est-il-un-vrai-repas
Des recettes ici ! http://www.irbms.com/aliments-et-recettes-pour-le-sport/
LeFigaro, http://sante.lefigaro.fr/mieux-etre/nutrition-pratique/alimentation-sportif/quest-ce-que-cest
Wikibouffe, http://wikibouffe.iga.net/wiki/nutrition-sportive
NE CONSULTEZ PAS :
Wikipédia, https://fr.wikipedia.org/wiki/Alimentation_du_sportif
PARCE QUEC’est du grand n’importe quoi !

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#Instagram

«Derrière chaque jolie fille sur Instagram, il y a un gars comme moi – et un mur en briques.»
Instagram Husband

Cette vidéo, postée par la chaîne YouTube « The Mystery Hour », décrypte avec humour l’envers de toutes les photos de blogueuses qui nous font tant rêver. Sous la forme d’une vidéo de sensibilisation, plusieurs époux d’instagrameuses témoignent sur l’omniprésence de ces réseaux sociaux dans leurs quotidiens.
Obligés de se mettre dans des positions improbables pour les photographier sous le meilleur angle, ou même de s’arrêter tous les trois mètres pour immortaliser leurs pieds : ces hommes lancent une alerte sur leurs conditions de “mari instagram”.

En bonus, un lien vers un site qui publie régulièrement d’autres témoignages et appellent les “instagram husbands” à se faire aider. Le fou rire du jour !

Évidemment… Quand je vois ça, j’ai une pensée émue et compatissante pour mon propre chéri que je traîne partout et qui a l’habitude de manger ses plats froids.. Mea maxima culpa !

 

Instagram est une application et un service de partage de photos et de vidéos disponibles sur plates-formes mobiles de type iOS, Android et Windows Phone. Elle fut cofondée et lancée par l’Américain Kevin Systrom et le Brésilien Michel Mike Krieger (qui sont donc bien moins connus que Gates, Jobs ou Zuckerberg, il faut bien se l’avouer) en octobre 2010.
Instagram revendique 550 millions d’utilisateurs à travers le monde, dont 75 % d’utilisateurs en dehors des États-Unis, selon les chiffres officiels fournis en juillet 2016.

Instagram permet de partager ses photographies et ses vidéos avec son réseau d’amis, de fournir une appréciation positive (fonction « j’aime ») et de laisser des commentaires sur les clichés déposés par les autres utilisateurs. Elle permet aussi de dialoguer avec les membres via l’utilisation de la messagerie interne appelée « Instagram direct ».
Les applications telles qu’Instagram contribuent à la pratique de la phonéographie,
la phonéographie…
la phonéographie…
(Je te laisse un moment pour t’imprégner du terme)
C’est à dire, la photographie avec un téléphone mobile.

 

Sources :
LE SITE ULTIME, http://www.instagramhusband.com/

 

Le wiki, ton ami, https://fr.wikipedia.org/wiki/Instagram
Libération, http://www.liberation.fr/direct/element/etre-un-mari-instagram-ce-nouveau-mal-de-lhomme-moderne_25991/
La Libre, http://www.lalibre.be/lifestyle/magazine/les-instagram-husbands-le-club-des-hommes-qui-n-en-peuvent-plus-de-prendre-leur-copine-en-photo-56693df1357004acd1079099
Huffingtonpost, http://quebec.huffingtonpost.ca/2015/12/11/decouvrez-les-maris-dinstagram-les-genies-derriere-ces-cliches-parfaits_n_8783510.html
Paulette, http://www.paulette-magazine.com/fr/article/derriere-toute-blogueuse-mode-se-cache-un-%E2%80%9Cinstagram-husband%E2%80%9D/6122
Konbini, http://www.konbini.com/fr/tendances-2/video-instagram-husband/
L’express, http://www.lexpress.fr/styles/mode/video-instagram-husband-le-calvaire-des-maris-forces-a-prendre-des-photos_1744124.html

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#Selfie

Un selfie est un autoportrait photographique pris dans un contexte social ou touristique avec un smartphone, soit tenu à bout de bras, soit – bien que ce soit une pure hérésie – fixé au bout d’une perche à selfie.

Généralement pris sur le vif, un selfie est habituellement réalisé avec un appareil photographique numérique, un téléphone mobile de type smartphone, voire une webcam. Il est ensuite souvent partagé avec d’autres personnes par l’intermédiaire de MMS ou posté sur les réseaux sociaux pour :

  • attester de sa présence sur un lieu ou auprès de quelqu’un,
  • indiquer son profil utilisateur ou son avatar sur un réseau social,
  • partager son état du jour,
  • publier certaines scènes particulières,
  • informer le monde de la poursuite tranquille de son existence,
  • faire taire/faire parler les rageux,
  • rassurer l’auteur sur son ego,
  • autres

À l’origine, le selfie désigne l’autoportrait fait par le détenteur de l’appareil numérique mais, par abus de langage, il peut aussi désigner des photos montrant la personne en question réalisées par quelqu’un d’autre, voire le cliché d’une autre personne, des photos de groupe, ou même de simples objets. C’est à dire, un peu tout, n’importe qui et n’importe quoi.

Il est intéressant de noter que la première occurrence du terme « selfie » est datée de septembre 2002 et apparaît sur un forum australien dans le post d’un petit jeune ivre mort.

 

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Je sais pas toi mais moi je trouve qu’il y a de la misère sociale et de la déception dans ce premier selfie…

Cela dit, on a pas attendu les réseaux sociaux pour expérimenter la technique. Ainsi, Cyrus Pringle, célèbre botaniste américain – enfin… si on s’intéresse à la botanique, j’imagine – effectue un habile autoportrait grâce à une corde reliée à son appareil photo. Et, honnêtement, en 1888, ça paie son poney…

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Cela dit… Je me demande avec qui il l’a partagé celui-là…

 

La mode du selfie a suscité un certain nombre d’études rageuses critiques.

Plusieurs auteurs – dont on ne cite pas forcément le nom – caractérisent la mode du selfie comme une « manifestation narcissique, un irraisonné amour de soi ou de sa propre image, aboutissement de l’individualisme dans les sociétés postmodernes ». Mon avis personnel, mais bien trop ignoré, étant que si tout le monde s’aimait autant que je m’aime, il y aurait moins de guerres dans le monde et plus de poneys arc-en-ciel. Mais évidemment OSEF.

Agathe Lichtensztejn, doctorante en esthétique à Paris 8, explore dans ses publications la manifestation d’une stratégie communicationnelle qui vise à compenser la perte du réel dans une société contemporaine où l’écran est miroir du monde

[…]

Jean-Paul Brighelli souligne la différence entre l’autoportrait en peinture et le selfie. La peinture suppose une interprétation, permise par une éducation du regard et de la main. Brighelli oppose le selfie, expression narcissique d’un « culte hédoniste de l’instant présent » à l’autoportrait peint, expression d’un travail sur soi-même et de l’insertion dans une culture artistique. Le selfie lui semble ainsi dériver de la croyance de Rousseau que le soi inéduqué est bon, alors que l’autoportrait peint, dépendant de l’apprentissage d’une tradition picturale, est l’expression d’un soi fondé sur l’assimilation consciente de l’apport de l’autre, tel qu’exploré par Paul Valéry.

Pour moi, c’est utiliser beaucoup de mots compliqués pour résumer le fait qu’il s’agit d’un autoportrait qui coupe tous liens avec une ligne du temps pour se concentrer sur le moment présent, un instant T… Mais l’idée est plutôt sympathique à mes yeux.

Cela dit, André Gunthert, enseignant-chercheur à l’École des hautes études en sciences sociales, où il occupe la chaire d’histoire visuelle, rappelle que l’utilisation de daguerréotypes, à l’époque, a été qualifiée également de pratique narcissique.

Et toc !

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Un selfie de la pratique du selfie… Une presque mise en abyme !

Le mot de la fin ?

Il est du Bureau américain des brevets qui précise que les photos prises par des singes échappent à la protection intellectuelle : « Le bureau n’enregistrera pas de travaux produits par la nature, les animaux ou les plantes. »

Pourquoi ?

En 2014, une polémique surgit entre le photographe animalier David Slater et le site Wikipédia, concernant un selfie pris par une macaque nègre. En effet, David Slater a protesté lorsque la photo de cette macaque femelle, prise sur l’île de Sulawesi, en Indonésie, a été publiée sur Wikipédia. Cependant, la Wikimedia Foundation a refusé de retirer la photo, car elle estimait que le photographe n’en était pas l’auteur, statuant que c’est en fait la macaque qui avait attrapé l’appareil photo de Slater et, en appuyant sur le déclencheur, avait pris une série de clichés aléatoires.

De la même manière, vous vous ferez jeter si vous contestez  :

 

  • une peinture murale réalisée par un éléphant,
  • un dessin naturel formé sur la peau d’un animal,
  • un morceau de bois sculpté par l’océan…,
  • « le travail attribué à des êtres divins ou surnaturels, bien que le bureau puisse enregistrer un travail dans lequel ceux qui font la demande [de protection] affirment que ce travail a été inspiré par un esprit divin ».

 

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J’ai vu pire sur Instagram…

 

 

Sources :
Wikipédia est ton ami, https://fr.wikipedia.org/wiki/Selfie
The guardian, https://www.theguardian.com/world/2013/nov/19/selfie-australian-slang-term-named-international-word-of-the-year
Les détails du forum ABC, http://www.abc.net.au/news/2013-11-19/this-photo-is-worlds-first-selfie/5102568
Entre narcissisme pathologique et diabolisation des réseaux sociaux, http://www.atlantico.fr/decryptage/mode-ridicule-selfie-que-cela-revele-notre-personnalite-sylvianne-barthe-liberge-823433.html
Le monde, http://www.lemonde.fr/m-perso/article/2015/01/16/faut-il-arreter-le-selfie_4558088_4497916.html
Quand Jimmy Wales, co-fondateur de Wikipédia, fait « tût tût les rageux », http://rue89.nouvelobs.com/2014/08/22/photographe-a-perdu-selfie-dun-singe-appartient-domaine-public-254348

Publié dans Du sucre, des épices et plein de bonnes choses !

#Simili carré d’or

Ceci est une nouvelle édition du Simili carré d’or développé ici !

OU la recette du gâteau au chocolat qui tue…
ce gâteau au chocolat qui déchire ta maman en deux…
ce gâteau au chocolat qui dépile ton poney…
Bref, un délice !

Après avoir testé la recette qui est proposée ici (et qui est déjà délicieuse),
je l’ai un peu modifiée pour la faire entrer au panthéon des gâteaux au chocolat.
L’essentiel de cette modif’ consiste à y incorporer une couche de gelée de framboises.
Oui… 4 couches, c’était pas encore assez challenge !

DONC :

Pour un cercle de 18cm de diamètre
(C’est-à-dire 6 gloutons en hypoglycémie ou 8 personnes normales)

Première couche : la génoise au chocolat
60g de chocolat noir qui fond bien
1 œuf entier
1 jaune d’œuf
1 blanc d’œuf
2g de fécule… Un petit peu, quoi

Deuxième couche :  le praliné feuilleté
100g de succulent pralin de chez Home pâtisserie, Nivelles
80 g de chocolat noir
50g de feuillantine (à défaut, tu peux broyer des gavottes toi-même)

Troisième couche : la gelée de framboise
un sachet d’agar au carré (agar agar… Jeu de mot…)
200ml de coulis de framboise (ou de jus de framboise bien épais)

Quatrième coche : la mousse au chocolat
260 g de chocolat noir (c’est le moment de prendre des actions chez Milka)
35 g de beurre
6 blancs œufs (c’est le moment de penser à recycler tes jaunes)
50g de sucre

Cinquième couche : le glaçage
35g de chocolat noir
60g d’eau (ah ah)
30g de crème épaisse
15g de sucre
45 g de crème liquide
75 g de chocolat noir
12 g de beurre coupé en morceaux, à température ambiante

Récapitulatif des ingrédients
510g de chocolat noir
9 œufs (1 entier, 7 blancs, 1 jaune et le reste… Ben… Tu en feras des crèmes brulées)
2g de fécule. C’est vraiment un petit peu
100g de succulent pralin
50g de feuillantine (ou gavottes en morceaux)
un sachet d’agar agar
200ml de coulis de framboise (ou de jus de framboise bien épais)
47g de beurre à température ambiante. Si tu en prends 50g, je te pardonne
65g de sucre (seulement !)
60g d’eau (…)
30g de crème épaisse
45 g de crème liquide

Attention ! Vous aurez également besoin d’un cercle à entremet et de deux jours devant vous !

Je te préviens tout de suite, jeune cuisinier innocent, ce gâteau prend du temps !
Je te conseille de te laisser une journée pour faire la génoise, le croquant, la gelée et la mousse ;
et de te laisser le lendemain pour la ganache et la déco.

Étape 1 : la génoise

La recette initiale parle de 1/2 œuf… Ben… Non…Comment te dire… Je refuse !
Préchauffez le four à 150°C.
Faites fondre le chocolat ajoutez-y, hors du feu, et en remuant vivement (psychomotricité +2), l’œuf entier et le jaune. Le chocolat ne doit pas être trop chaud sinon les blancs vont créer des grumeaux et les grumeaux, personne n’aime ça.
Bien mélanger. J’insiste.
Ajoutez la fécule. Pour les noobs, la Maïzena, c’est de la fécule.
Montez les blancs en neige incorporez-les délicatement à la préparation chocolatée.
Beurrez et farinez votre cercle à entremet, mettez-le sur la plaque du four recouverte de papier sulfurisé.
Répartissez la préparation sur une épaisseur de 3 à 5 mm et cuisez-le 10 minutes environs.

2016-01-06 15-00-22-3940*TIP 1* : pour une génoise qui se décolle sans accroc, pensez à beurrer votre moule
😉

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Moelleuse et aérienne !

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Étape 2 : le praliné croquant

Faites fondre le chocolat et ajoutez-y 100g de pralin.
Ajoutez encore 50g de feuillantine puis mélangez délicatement.
Une fois la génoise refroidie, étalez-en une couche au-dessus du moelleux.
Laissez figer en le mettant un certain temps (jusqu’à ce que ça ait durcit, en fait) au frigo.
EASY !

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Étape 3 (le bonus) : la gelée de framboises
Portez votre jus à ébullition (sans mauvais jeu de mot)
Incorporez votre agar et touillez !
Baissez le feu tout en mélangeant quelques minutes encore…
Laissez prendre la gelée au frigo. Si après une heure, elle n’est pas prise… C’est moche, très moche.

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2016-01-06 16-35-21-3965Jetez quand-même un petit coup d’oeil à vos commis qui se la coule douce…

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Étape 4 : Préparez une mousse légère aux blancs d’oeufs…

Faites fondre le chocolat sur feu doux.
Retirez ensuite du feu pour y ajouter les noix de beurre et le sucre.
Mélangez bien… Vous vous souvenez… Les grumeaux, tout ça…
Montez les blancs en neige et incorporez-les délicatement au chocolat.
Versez la mousse sur la couche de gelée préalablement prise au frigo, lissez bien la surface du gâteau.
Laissez prendre au frigo quelques heures…

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Après une soirée au frigo…

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Étape 5 : le glaçage !

La technique infaillible pour glacer vos gâteaux sans en mettre partout : taillez un rond dans votre papier cuisson de la taille de votre cercle à pâtisserie…

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La meilleure étape <3

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Il faut d’abord réaliser une sauce au chocolat :
Mettez tous les ingrédients (chocolat, eau, crème épaisse et sucre) dans une casserole et portez à ébullition sur feu moyen, en remuant constamment. Ça serait moche de se rater maintenant.
Réduisez ensuite la température et laissez frémir tout en remuant fréquemment à l’aide d’une cuillère en bois jusqu’à ce que la sauce nappe la cuillère.
BE PATIENT ! Cela peut prendre vingt bonnes minutes…

Pour réaliser le glaçage :
Portez la crème liquide à ébullition sur feu moyen et hors du feu ajoutez le chocolat en morceau. Mélangez bien pour faire fondre le chocolat.
Quand le mélange a un peu refroidi, ajoutez le beurre en morceau puis la sauce au chocolat. Mélangez.
Mélangez encore.
Parfait !
Vous pouvez napper le gâteau tout de suite ou attendre (le glaçage se conserve quelques jours dans une boîte hermétique au frigo).
Dans tous les cas, pour que le glaçage nappe bien sur le gâteau, il doit être à 35-40°C.
On peut dire chaud mais pas trop… Si ça peut vous aider…
Si le glaçage est trop froid, on peut le réchauffer quelques secondes au micro onde à basse puissance. Veillez cependant à ne pas trop le mélanger car il perdrait son brillant.

2016-01-07 09-40-50-3991Il ne vous reste qu’à le décorer avec tout ce que vous aimez !

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Enjoy !

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#Mumu à la vanille

Ou la recette idéale pour cuisiner avec sa progéniture !

Mumu ancestral à la vanille
Et pour déconner, on va parler en tasses…
2 tasses de farine
1 œuf
1 tasse de sucre
½ sachet de levure chimique
1 pincé de sel
1 sachet de sucre vanillé
1 sachet de pudding vanille dans une tasse de lait froid

Ok… J’arrête de déconner :
(Mais sache que la recette initiale de ma bobonne prévoyait des tasses en porcelaine délicieusement désuète)

200g de farine
1 œuf
150g de sucre
½ sachet de levure chimique
1 pincé de sel
1 sachet de sucre vanillé
1 sachet de pudding vanille (50g) dans 200ml de lait froid

Le plus simple gâteau du monde !
Taper tout dans un saladier et touiller
(Pour éviter trop de grumiottes, je te conseille tout de même de mélanger d’abord les aliments secs puis les aliments humides).
Si vous cuisinez avec des tous petits, je vous encourage à leur confier vos sachets de sucre vanillé à remuer.
Ça fait du bruit, ça ne met pas le boxon et ils adorent.
Enfournez 35-40min. à 180°C

Enjoy it !

 

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#HappyHalloween

C’est de circonstance…

 

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Il était urgent de créer une manucure Halloween !
Et quel meilleur modèle que…

capture-decran-2016-11-01-a-17-14-22Sally !

Alors oui… Il faut du matos !
J’ai choisi des couleurs pastel (oui, j’ai vérifié, ça ne s’accorde pas), en deux teintes quand c’était possible.
Un dotting tool pour les motifs.
ET….
Un crayon feutre à ongles par facilité.

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Pensez « par couches », commencez par la couleur, vous créerez le patchwork plus tard !

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Ajoutez les pois et rayures AVANT les effets « couture », ça ne semblera que plus réaliste…

2016-10-21-15-24-00La couche de top coat est indispensable ici (Enfin, elle l’est tout le temps… Mais encore plus que d’habitude !) car le feutre s’effacerait au premier contact…

2016-10-21-15-24-25Postez votre création sur Insta
😀

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#NailArt

Le Nail Art ou « art de décorer les ongles », est une méthode avancée de maquillage des ongles, qui consiste à réaliser différentes décorations sur ceux-ci, en complément ou en remplacement d’une pose de vernis. À l’heure actuelle, on emploie couramment le terme anglais « Nail Art », ou « Stylisme Ongulaire » – Non… Non, je ne crois pas – en France.

Origines
D’un point de vue « historique », le Nail Art est né au XIIIe siècle chez les peuples Incas.
En effet, ces derniers décoraient déjà leurs ongles en hommage à leurs dieux, ou en y dessinant des animaux (par exemple, des aigles).
Cet art était mixte, pratiqué autant par les hommes que par les femmes.

L’utilisation du vernis à ongles est encore plus ancien (évidemment) et semble avoir été inventé par les Chinois vers 3000 av. J.-C., toutefois Japonais et Italiens pensent avoir été les premiers à utiliser le vernis à ongles.
Les Chinois utilisaient une laque de couleur, faite à partir d’une combinaison de gomme arabique, de blancs d’œufs, de gélatine et de cire d’abeille. Ils ont également utilisé un mélange composé d’une poudre de pétales de rose, d’orchidée et d’impatiente mélangée à de l’alun. Ce mélange, lorsqu’il est appliqué sur les ongles pendant quelques heures ou toute la nuit, laissait une couleur allant du rose au rouge.

Les Égyptiens, quant à eux, utilisaient des teintures brun-rouge obtenues à partir de henné pour colorer leurs ongles mais aussi le bout de leurs doigts, teinture encore fréquemment utilisée de nos jours. Ils utilisaient notamment la couleur des ongles pour indiquer l’ordre social, avec des nuances de rouge dans la partie supérieure.
La reine Néfertiti, épouse du roi Akhénaton, colorait en rouge rubis ses ongles de mains et de pieds. Cléopâtre préférait, quant à elle, une teinte rouille intense. Les femmes de rang inférieur qui coloraient leurs ongles n’étaient autorisées qu’à utiliser des teintes pâles, et aucune femme n’osait afficher la palette de couleurs utilisée par le roi ou la reine.

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Grosse sauterie dans la tombe de Nebamon, 1350 B.C. (à voir au British Museum)

Essor
Cependant, l’essor du Nail Art se fit durant le XXe siècle, principalement dans des pays asiatiques, tels que le Japon ou la Corée. Une mode révélant des ongles de plus en plus longs, colorés, ayant toute sorte de formes apparaît désormais.

C’est essentiellement grâce à l’utilisation d’Internet que cette pratique a su se développer à travers le monde entier, de l’Asie jusqu’à l’Europe, en passant par les États-Unis. Cette pratique esthétique est maintenant en voie d’expansion, et est désormais considéré comme une pratique globalement féminine. Phénomène à la mode, cette pratique est également convoitée lors de tournages cinématographiques afin d’étendre le maquillage jusqu’au bout des ongles.

Techniques

A côté des Strass, autocollants, piercings d’ongles, paillettes, feuilles métallisées, dégradés à l’éponge, pochoirs, liners ou dotting tools… Certaines techniques font maintenant partie des incontournables :

  • Water marble : Il s’agit d’une technique ne nécessitant l’utilisation d’aucun pinceau. En effet, il est question de créer des formes dans du vernis à la surface de l’eau. Plusieurs effets peuvent être réalisés :le « simple water marble », le « water marble zébré », le « mille-feuille » ou encore en spirales.
  • Le marbré à sec: Il permet d’obtenir un effet mille-feuille en passant un pinceau liner ou un bâtonnet sur des lignes de vernis frais de couleur différentes ou un effet dégradé et vaporeux en mélangeant des gouttes de vernis déposées sur l’ongle.
  • One stroke : Cette technique, alliant dextérité et patience, consiste à réaliser des formes dégradées grâce à un pinceau spécial, afin de créer des fleurs, papillons, etc., au gré de son imagination.
  • Aquarelle: Pour cette technique, l’ongle doit être préparé pour que la peinture accroche: ponçage pour les faux ongles et utilisation de vernis « matifiant » sur ongles naturels. Cette technique permet d’obtenir des dessins très fins tout en transparence.
  • Stamping : Le stamping, ou « tamponnage », consiste comme son nom l’indique à tamponner sur ses ongles des formes pré-imprimées à l’aide d’un tampon spécial.
  • Les motifs en reliefs : réalisés avec de la résine ou du gel‚ c’est une technique différente qui permet d’obtenir des designs en 3D plus ou moins plats. Ils peuvent être façonnés a même l’ongle ou à part puis être collés.

Soirée Nail art chez Ankhmahor à Saqqarah, 6ème dynastie (2400 B.C.)

Sources :
Wikipédia, https://fr.wikipedia.org/wiki/Nail_art
L’oréal, http://www.get-the-look.fr/tag/nail-art_t64/1
Nailissima, http://nailissima.com/
Cosmopolitan, http://www.cosmopolitan.fr/,top-coat-base-coat-le-vanity-parfait-pour-une-manucure-a-la-maison,2106,1391852.asp
Wikipédia, https://fr.wikipedia.org/wiki/Vernis_%C3%A0_ongles