Une « expérience indoor » à vivre entre amis, en famille ou entre collègues… Que tu aimes bien. C’est important.
A la seconde de votre enregistrement, vous devenez un agent spécial et votre formation commence.
Pendant toute la durée de votre entrainement, votre endurance, votre intelligence, votre courage et votre esprit d’équipe vous aideront à traverser un parcours acrobatique à 12 mètres de hauteur, décrypter des codes secrets, résoudre des énigmes, franchir les obstacles… Et repousser vos limites dans la bonne humeur !
Pour qui ?
Équipe de 2 à 5 joueurs
Pour tous à partir de 140cm
6.000 M² Indoor ouvert 7j.7
Espace bar et restauration sur place
Et alors ?
4 districts composent le parcours : un labyrinthe plutôt anxiogène (mais je suis claustro), un parcours sportif rempli de toboggans qui file des gnons et électrise les cheveux, une pause intellectuelle et un f***ing parcours d’accrobranche de la mort qui tue (mais j’ai le vertige).
Verdict ?
Un moment super sympa et de franche rigolade même si je trouve l’accueil un tantinet… Dépassé par les évènements.
Derniers conseils de survie :
A déconseiller aux personnes qui ont le vertige.
Mieux vaut bien s’entendre avec son groupe parce que… Collés-serrés dans les baballes… Je préfère faire ça entre amis.
Choisissez bien votre nom d’équipe parce que… Quand on vous le demandera à l’accueil et que vous devrez avouer que les agents Kiwi, FleurDuNil, Cochonnette et Eric font partie de la team « Eric et ses catins »… Faudra pas ciller !
C’est pas la classe quand Saint Nicolas débarque chez toi ?
« Et il connaît nos prénoms, maman ! »
Merci au quartier de l’est pour cette charmante initiative !
Et comme le ciel est rose…
C’est le moment des speculoos !
« Slut shaming » est une expression anglaise, formée à partir de « slut » (« salope ») et « shame » (« honte »). Une traduction approximative pourrait être « stigmatisation des salopes ». Elle désigne le fait de critiquer et de déconsidérer une femme en lui reprochant d‘être une « salope », à cause de son comportement sexuel.
On en parlait il y a peu, de cette question de la jupe, du mini-short et surtout de cette photo :
La photographe, Rosea Lake qui étudie le design à Vancouver a posté cette photo sur son Tumblr au début du mois de janvier. Elle a depuis été partagée 200.000 fois. Interrogée par le journal local, The Province, elle explique comment lui est venue cette idée:
« J’ai réalisé un jour que lorsque je regardais une femme en short je me disais « c’est une traînée » et que je pensais aussi que toutes les femmes qui portaient des hijabs étaient oppressées. J’ai réfléchi au fait de montrer du doigt les filles jugées faciles et je me suis dit qu’il fallait que nous cessions d’être si péremptoires. »
En réponse aux centaines de commentaires, la photographe a répondu sur son blog :
« Travailler sur ce projet m’a vraiment permis de réfléchir à mes propres opinions, à mes a priori et à mes préjugés a propos de celles qu’on appelle « des traînées » autant que concernant celles qui décident de se couvrir le corps tout entier. »
La photo a ensuite été postée sur la page Facebook du site féministe UniteWomen.org et a déclenché un grand nombre de commentaires. L’une des internautes raconte: « La raison pour laquelle j’ai arrêté de porter des jupes ou des robes depuis des années est résumée dans cette photographie… Je ne veux pas avoir à faire à des idiots qui jugent que la longueur de tissu sur les membres inférieurs d’une femme permet d’en déduire sa personnalité et sa moralité. »
Pensées en vrac
Ces deux commentaires – en lien avec le précédent article sur cette affaire – m’ont fait réfléchir et nuancer le propos précédent. Le slut-shaming, ce n’est pas seulement une affaire de poilus. Ça ne concerne PAS uniquement la bande de cousins qui tient les murs en bas de ton immeuble. Non. Et pour cause, il n’y a pas de pire langue de vipère qu’une nana (à propos d’une autre nana).
Constat perturbant s’il en est. Est ce que je fais moi-même usage de « sexisme ordinaire » en prêtant inconsciemment ce genre de comportement à la gent masculine ?
Cela dit, je me souviens de la même incrédulité dans le message de Maude Vallet dans la tristement célèbre « affaire du short » :
Je reste un peu dans le même sujet que hier (hum… Oui hier)
MAIS
Il fallait absolument que je vous partage cette vidéo géniale…
Cela dit, apprêtez-vous quand-même à beaucoup parler de thé après l’avoir visionnée !
« Le personne voulait du thé, et maintenant elle n’en veut plus. Certaines personnes changent d’avis pendant que l’eau bout, ou le temps d’ajouter du lait, il n’y a pas de mal à changer d’avis. »
« Les personnes inconscientes ne veulent pas de thé ! Et elles ne peuvent pas répondre quand on leur demande si elles en veulent ou non, parce qu’elles sont inconscientes ! »
« Vous ne pouvez pas allez chez elle, la forcer à boire du thé, et dire « mais tu voulais bien du thé la semaine dernière ! ». »
« Si vous êtes capable de comprendre quand quelqu’un ne veut pas de thé, pourquoi ne le comprendriez-vous pas quand ça s’applique au sexe ? »
Si vous préférez les images en couleurs, une chouette initiative des étudiants de « l’Espace santé étudiants de Bordeaux », buzze gentiment sur les réseaux sociaux, ici notamment.
Bref du fait « par des étudiants » et « pour des étudiants », ça a l’air stupide comme ça mais encore fallait-il y penser.
Sur, ce…
Vous vous en doutez…
Je vais aller me faire une tasse de… CAFÉ !
Dans la série des « trop », trop maigre, trop musclée, trop grosse, trop stupide, trop intello, trop tout…
Vous aurez noté que la mode est au « trop provocant ».
C’est classique, chaque été. ..Le beau temps revient…
Les robes d’été ressortent du placard,
les shorts jaillissent des étagères,
les jupettes appellent aux sandales,
qui, elles-mêmes, appellent aux bandeaux…
SUMMER IS COMING !
Et qui dit « short », dit « relous ». Fractures oculaires, sifflements de cowboy et autres caramels, bonbons et chocolats.
Cet aprem-là, je suis passée devant 3 ouvriers torses-poils et bermudas.
Est ce que j’ai gloussé comme une pintade ?
Est ce que j’ai donné des coups de coude entendus à ma coupine en faisant uh uh ?
Est ce que je leur ai jeté un regard libidineux comme si je sortais de prison après 20 ans de réclusion ?
Est ce que j’ai tenté de me les pécho ?
Est ce que j’ai insulté leur mère quand ça n’a pas marché ?
Et, cerise sur le gâteau, est ce que j’ai recommencé avec un autre mâle 10 minutes plus tard ?
HE BEN NAN !
Pourtant… C’est bien moi, que tu traites d’allumeuse ?!
GO TO HELL !
Le féminisme, ce n’est pas mettre une mini-jupe ou un mini-short.
Le féminisme, ce n’est pas non plus ne pas mettre une mini-jupe ou un mini-short.
C’est la liberté de t’habiller comme tu veux et comme tu le sens sans faire parler les rageux…
Très souvent, les femmes sont jugées en fonction de ce qu’elles portent et de ce qu’elles dévoilent – ou non – et, en général, les jugements émis sont négatifs. La longueur d’une robe, la hauteur des talons, la profondeur d’un décolleté seraient ainsi devenus les indices de la valeur d’une personne. À en croire certains, celles qui portent des jupes trop courtes devraient même ne pas s’étonner de se faire violer. Un discours qui tend à culpabiliser les victimes, voire à excuser leurs agresseurs.
Pour lutter contre ce genre d’idées préconçues et de préjugés, des étudiants – parmi lesquels Theresa Wlokka – de l’école Miami Ad School Europe, située à Hambourg, en Allemagne, ont imaginé une campagne efficace. Ils y dénoncent la pression à laquelle les femmes doivent souvent faire face, et ce, quoi qu’elles portent. Sur trois affiches, une échelle de valeurs est ainsi appliquée au corps de la femme, en fonction du type de vêtements et de chaussures qu’elle porte. Celle-ci peut alors apparaître comme « prude », « vieux jeu », « ringarde », « ennuyeuse », « allumeuse », « effrontée », « ne demandant que ça », « salope » ou « traînée ». Les trois parties du corps qui concentrent le plus de clichés sont examinées : le buste (avec le décolleté), les jambes (avec la jupe), les pieds (avec des talons plus ou moins hauts). Avec, à chaque fois, le même slogan : « Ne mesurez pas la valeur d’une femme à ses vêtements. »
Il y a celles qui veulent être des princesses, il y a celle qui veut rester une Alice.
Attachante, lunaire, imaginative, curieuse, enjouée…
Passer de la petite fille à la reine blanche à travers les allées du labyrinthe.
Se perdre dans une trépidante course au caucus.
Et être en retard pour prendre le thé.
Définitivement le personnage à de quoi me plaire.
L’ouvrage ?
Les Aventures d’Alice au pays des merveilles (titre original : Alice’s Adventures in Wonderland), fréquemment abrégé en Alice au pays des merveilles, est un roman écrit en 1865 par Lewis Carroll, nom de plume de Charles Lutwidge Dodgson. Romancier, essayiste, photographe, diacre et professeur de mathématiques britannique né le à Daresbury, dans le Cheshire (Oui… Le Cheshire) et mort le à Guildford. Le livre a connu une suite intitulée « De l’autre côté du miroir ». Les adaptations cinématographiques et télévisées combinent bien souvent des éléments des deux livres.
Qui est Alice ? Carrol décrit Alice comme une jeune fille « curieuse, extravagamment curieuse ». Mais la « vraie » Alice, Alice Pleasance Liddell, est une paisible anglaise, née à Westminster le et morte le dans le Kent.
Le , profitant d’une promenade en barque sur la Tamise entre Oxford et Godstow, la petite Alice Liddell, alors âgée de dix ans, demande à Charles Dodgson de la distraire en lui racontant une histoire. Pendant que le révérend Robinson Duckworth se charge de ramer, Charles Dodgson improvise pour Alice et ses deux sœurs également embarquées, Edith (huit ans) et Lorina (treize ans), l’histoire fantastique d’une petite fille (justement appelée Alice) après qu’elle fut tombée dans le terrier d’un lapin.
En novembre 1864, soit deux ans et demi après qu’Alice Liddell l’a prié de mettre le récit par écrit, il en achève la rédaction qu’il titre Alice’s Adventures under Ground (Les Aventures d’Alice sous terre). Il l’offre à Alice Liddell comme cadeau pour le Noël de l’an 1864 et le fait lire à son ami et mentor George MacDonald ainsi qu’à ses enfants, qui apprécient le livre. Sur le conseil de son ami, Charles Dodgson décide de soumettre le livre pour publication. Il développe l’histoire en ajoutant entre autres les épisodes du Chat du Cheshire et de la tea-party, faisant passer le manuscrit de 18 000 à 35 000 mots. Dodgson a lui-même réalisé des dessins devant accompagner le livre mais ceux-ci ne sont pas jugés assez bons et les illustrations sont (re)dessinées par John Tenniel, dessinateur réputé à cette époque. Finalement, le manuscrit est publié en 1865 sous le titre Les Aventures d’Alice au pays des merveilles (Alice’s Adventures in Wonderland), tiré dans un premier temps à 2 000 exemplaires (Tenniel trouvant que les tirages ne sont pas de bonne qualité), puis réédité quelques mois après avec un tirage plus important. Le succès que le livre connaît alors ne s’est plus jamais démenti depuis.
En 1871 paraît un autre livre sur « Alice » Through the Looking-Glass, and What Alice Found There (De l’autre côté du miroir et de ce qu’Alice y trouva) et en 1886 le fac-similé d’Alice’s Adventures under Ground.
Il est difficile de juger si l’Alice littéraire possède réellement les traits de la « vraie » Alice… Ou si le patronyme est un simple clin d’œil destiné à sa jeune amie.
Plus tard, Alice Liddell devient artiste et fait le tour de l’Europe avec ses sœurs Lorina (le lori du roman) et Edith (l’aiglon du roman). De ses voyages en France et en Italie entre 1872 et 1877, elle tire une série d’aquarelles et de croquis d’une grande sensibilité. Elle épouse Reginald Hargreaves le à l’abbaye de Westminster. Ils ont trois fils : Alan Knyveton Hargreaves, Leopold Reginald (surnommé « Rex ») Hargreaves (tous deux morts pendant la Première Guerre mondiale) et Caryl Liddell Hargreaves qui survit et aura lui-même une fille.
La dernière rencontre entre Charles Dodgson et Alice Liddell a lieu le 1er novembre 1888. Dodgson, qui rencontre le mari d’Alice, écrit, à la suite de cette rencontre : « Il n’est pas facile de relier ce nouveau visage avec l’ancien souvenir, cet étranger avec l’« Alice » connue si intimement et tant aimée et dont je me souviendrai toujours mieux comme d’une petite fille de sept ans absolument fascinante ».
Alice et Dogson (dont le bégaiement lui assigne le rôle du Dodo dans le roman) se brouille à la fin de leur vie si bien qu’Alice n’assistera pas à l’enterrement de son ancien ami, mort le .
Quelques citations
Soeur d’Alice : Dans son monde ? En voilà des divagations, allons. Alice : Des divagations ? Soeur d’Alice : Recommençons depuis le début. Alice : Oui c’est sa Dinah, c’est bien ça, dans mon monde à moi, il n’y aura que des divagations. Comme disent les grands, les choses ne seraient pas ce qu’elles sont, au contraire, elles seraient ce qu’elles ne sont pas. Je suis sûr que ce serait mieux. Hein Dinah ? Qu’en dis-tu ? Dinah : Miaou. Alice : Dans mon monde, tu ne dirais pas miaou, tu dirais « Oui mademoiselle Alice ». Dinah : Miaou. Alice : Naturellement tu parlerais comme les personnes, Dinah, et les autres animaux aussi.
Les Fleurs : Croyez-vous que ce soit une fleur sauvage ? Alice : Oh non, je ne suis pas une fleur sauvage. Les Fleurs : Alors de quelle variété, de quelle branche, de quel genre êtes-vous, ma chère ? Alice : Disons, si vous voulez, que j’appartiens au genre humain, variété Alice.
Mais malheureusement j’ai un vilain défaut. Bien sûr, je sais ce que je dois faire…
Mais, hélas, je fais tout le contraire
C’est pourquoi j’ai tant d’ennuis sur cette terre
Je me dis « surtout sois bien sérieuse
Ne fais pas de choses dangereuses »
Mais j’ai un défaut
Hélas, je suis curieuse
Voilà, j’ai parcouru ma route heureuse
Sans être jamais raisonnable
J’ai oublié que les erreurs se paient
Un jour ou l’autre
Je sais très bien ce que je dois faire
Mais je fais hélas tout le contraire
C’est pourquoi j’ai tant d’ennuis sur terre
Je ne suis pas folle. Ma réalité est juste différente de la vôtre…
Ingrédients
1 pâte sablée
3 poires au sirop en boite
100 gr de beurre
100 gr de sucre
100 gr de poudre d’amandes
2 œufs
Extrait d’amandes
Préparation
Étalez la pâte et mettez la au fond d’un moule à tarte. Easy…
Piquez la pâte.
Réalisez la crème d’amandes : Ramollissez le beurre jusqu’à une consistance pommade.
Ajoutez le sucre et le battre bien fort pour émulsionner le mélange.
Alejandro Jodorowsky, dit « Jodo », né le à Tocopilla (Chili), est un artiste franco-chilien. Surtout connu comme scénariste de bande dessinée et réalisateur, il est également acteur, mime, romancier, essayiste, poète et auteur de performances au sein du groupe actionniste « Panique », qu’il a créé avec Roland Topor et Fernando Arrabal. Au cinéma, il est l’auteur d’une poignée de films avec une forte symbolique spirituelle et syncrétique, et un aspect provocateur.
Jodorowsky est également connu dans sa pratique du tarot divinatoire, pour lequel il a une approche plus jungienne, psychologique ou « psychomagique » qu’occultiste ou ésotériste.
Il est également l’auteur des préceptes suivants :
64 règles pour apprivoiser ton ego et réaliser ton âme
1 • Ne transforme pas une douleur en souffrance : laisse-la venir, laisse-la passer, ne t’enchaîne pas à elle…
2 • Sois ce que tu es dans le présent, laisse le passé derrière, ne te charge pas de fautes.
3 • Élimine toute angoisse du futur.
4 • Travaille à ton évolution jusqu’au dernier moment de ta vie…
5 • Ne rends de comptes à personne : sois ton propre juge.
6 • Apprends à te critiquer mais aussi à te féliciter.
7 • Chaque soir, avant de dormir, remémore-toi ta journée et juge tes actions avec objectivité…
8 • Si tu veux triompher, apprends à rater.
9 • Ne te définis pas par tes possessions…
10 • Ne transforme jamais une activité ou un autre être en motif de ton existence : aies à ta vie propre, ne délègue pas ton pouvoir.
11 • Quand tu parles avec quelqu’un, ne l’interromps pas jusqu’à ce qu’il ait exprimé son idée. Tant que tu l’écoutes tu ne le contredis pas ou l’approuves mentalement : entends-le sans avoir d’avis. Quand il se tait, librement, considère ce qui a dit et réagis comme ta conscience te le dicte.
12 • Ne t’engage pas avec des idées auxquelles tu ne crois pas, ni même par nécessité d’obtenir un travail…
13 • Ne donne pas de conseils sans dire avant : « Selon ce que je crois et d’après ce que je sais, au risque de me tromper ».
14 • N’affirme jamais quelque chose sans dire à la fin « Jusqu’à un certain point, à ce moment donné et dans un tel contexte »…
15 • Ne parle jamais de toi sans te donner la possibilité de changer.
16 • Ne parle jamais de toi comme si tu étais un être limité, pourvu que tu agisses en pensant que tu n’existes pas au cas par cas, ce que tu fais est le résultat d’impulsions collectives…
17 • En acceptant seulement que rien n’est à toi tu seras propriétaire de tout.
18 • Convertis-toi en offrande totale…
19 • Cesse de mal parler des autres ou du monde : quand on te demande ton avis sur quelque chose ou sur quelqu’un énoncent seulement ses qualités. Si tu ne lui trouves pas de qualités, tais-toi… 20 • Fais le plus fréquemment possible des actes positifs pour l’autre et pour le monde de façon gratuite et anonyme…
21 • Quand tu tombes malade, au lieu de haïr ta maladie, considère-la comme ton Maître…
22 • Accepte sans envie les valeurs de l’autre…
23 • Ne parle pas en faisant résonner ta voix dans ta tête ou dans ton nez ou dans ta gorge, fais-la résonner dans ta poitrine : utilise la voix du cœur…
24 • Ne touche pas le corps de l’autre pour lui prendre quelque chose ou pour le réduire : touche-le pour l’accompagner…
25 • Ne regarde pas de travers, regarde toujours directement…
26 • Donne, mais n’oblige pas à recevoir
27 • Ne fais personne se sentir coupable et accepte que tu sois complice de tout ce qui t’arrive…
28 • N’oublie pas tes chers morts, mais donne-leur un emplacement limité qui les empêche d’envahir toute ta vie.
29 • Dans le lieu où tu habites consacre un petit emplacement au sacré…
30 • Que dans ta cuisine il n’y ait jamais de saleté ou de désordre…
31 • Quand tu rends un service ne te plains pas ni ne souligne tes efforts : si tu décides d’aider ou de travailler pour quelqu’un autre, fais-le avec plaisir et sans attendre de remerciements…
32 • Si tu promets, accomplis…
33 • Si tu hésites entre faire ou ne pas faire, risque-toi à faire, en acceptant la possibilité de rater…
34 • Ne définis quelqu’un ni par sa race, ni par son sexe, ni par sa profession, ni par ses idées, ne le définis pas, tout simplement…
35 • N’imite pas ni ne copie, absorbe et transforme…
36 • Cesse de demander et commence à remercier…
37 • N’essaye pas d’être tout pour quelqu’un : offre-lui la liberté de chercher chez l’autre ce que tu ne peux pas lui donner. Permets-toi aussi ce droit…
38 • Quand on te questionne, ne t’oblige pas à donner une réponse : tu peux te taire, faire un geste, ou remplacer la réponse par une autre question…
39 • Pour obtenir quelque chose, souhaite vraiment l’obtenir…
40 • Traite l’autre comme tu voudrais qu’il te traite…
41 • Si tu ne veux pas commettre d’erreur, tu n’atteindras jamais la perfection…
42 • Si tu n’as pas la foi et que tu veux l’obtenir, imite-la…
43 • Quand quelqu’un est triomphant devant un public, ne va pas sur son territoire pour le contredire dans le but de lui voler ce public.
44 • Crée ta propre place et ton propre public…
45 • Chez quelqu’un d’autre mange avec modération.
46 • Là où l’on t’a invité, arrive toujours avec un cadeau…
47 • Vis d’un argent gagné par toi-même avec plaisir…
48 • Ne t’orne pas avec des idées étrangères.
49 • Ne te photographies pas avec des personnages célèbres.
50 • Ne te vante pas de tes aventures amoureuses…
51 • Abandonne tes habitudes physiques, sexuelles, émotionnelles et mentales, et cherche constamment le changement…
52 • Ne te vante pas avec sympathie de tes faiblesses…
53 • Ne va jamais voir quelqu’un uniquement pour passer le temps…
54 • Dans les conversations ne parle pas de toi et ni d’événements temporaires, parle de thèmes…
55 • Au moins une fois par jour assieds-toi immobile, en arrêtant tes mots, tes émotions et tes désirs : observe ton flot intérieur comme si tu étais assis sur la rive et que tu voyais passer une rivière…
56 • N’empêche pas tes enfants d’aller plus loin que toi, accepte le chemin qu’ils choisissent.
57 • Ne critique jamais ceux que tu aimes. Laisse-les croître comme et vers où ils veulent…
58 • Ne te déguise pas avec des fausses personnalités pour qu’on t’admire…
59 • Agis pour le plaisir d’agir et non pour ce que cette action peut te faire gagner…
60 • Obtiens pour distribuer…
61 • Si quelqu’un te dit que tu as commis une faute et a raison, ne discute pas et reconnais immédiatement cette faute…
62 • Ne donne jamais un cadeau en te préoccupant ensuite de ce que celui qui l’a reçu en fera…
63 • Si tu parles avec des personnes dont tu te méfies, ne respire pas par la bouche. Tiens-la fermée et inhale seulement par le nez.
64 • Ne répond pas « Ce n’est pas vrai », mais dis plutôt « Je crois autre chose ».
Pas le temps…
Pas envie…
Pas la motivation…
Pas de matériel…
Celui qui ne veut pas cherche des excuses, celui qui veut cherche des SOLUTIONS !
C’est dans cette optique que Neila Rey a lancé ses programmes de Workout à réaliser à la maison ou au bureau (why not?).
Des exos qu’on a tous plus ou moins déjà effectués en salle et qui se pratiquent au poids du corps sans équipement extravagants (une chaise ou une ouverture de porte… Tout au plus).
C’est ludique, c’est clair, c’est plutôt efficace et c’est gratuit ! Une chouette initiative quand on sait que – de nos jours – la santé coute cher !
Je suis particulièrement fan de la série des super-héros qui comble bien les matinées pluvieuses, ces jours fériés où la salle est fermée…
Sur le site officiel (que je vous link dans les sources), on vous propose également des plans repas et des entrainements modulables sur le long terme que je peux difficilement jauger en tant que novice mais qui sont un chouette tremplin pour une vie plus saine… Me semble-t-il !
Et en bonus… LES 5 MINUTES LES PLUS LONGUES DE TA VIE !