Février 2009 Le temps des choix… En Polynésie, le lézard est le symbole des arts.
De nombreux tatoueurs s’en font décorer la main ou l’intérieur du poignet.
Mars 2010 Un temps pour soi En Polynésie, la tortue est le symbole de la sagesse…
Et de la famille !
Octobre 2014 Le temps d’Alice, dans le terrier du lapin blanc
Le chat de Cheshire à Alice :
« But I don’t want to go among mad people », Alice remarked.
« Oh, you can’t help that,’ said the Cat: ‘we’re all mad here. I’m mad. You’re mad ».
[…]
« All right », said the Gnat: « half way up that bush, you’ll see a Rocking-horse-fly, if you look. It’s made entirely of wood, and gets about by swinging itself from branch to branch ».
» What does it live on? » Alice asked, with great curiosity.
» Sap and sawdust », said the Gnat.
Avril 2015 Le temps d’être maman…
Un ambigramme pour des jumeaux
Pas de prénoms… J’avais déjà leur nom tatoués dans mon cœur bien avant qu’ils soient nés
Novembre 2015 Le temps d’être libre ? J’aurais aimé, en tous cas…
Juin 2016 Le temps d’écrire
Un grand grand GRAND moment d’écriture. Ca fait du bien de renouer avec ses passions.
En tous cas, je ne quitte plus ma plume !
«Derrière chaque jolie fille sur Instagram, il y a un gars comme moi – et un mur en briques.»
Instagram Husband
Cette vidéo, postée par la chaîne YouTube « The Mystery Hour », décrypte avec humour l’envers de toutes les photos de blogueuses qui nous font tant rêver. Sous la forme d’une vidéo de sensibilisation, plusieurs époux d’instagrameuses témoignent sur l’omniprésence de ces réseaux sociaux dans leurs quotidiens.
Obligés de se mettre dans des positions improbables pour les photographier sous le meilleur angle, ou même de s’arrêter tous les trois mètres pour immortaliser leurs pieds : ces hommes lancent une alerte sur leurs conditions de “mari instagram”.
En bonus, un lien vers un site qui publie régulièrement d’autres témoignages et appellent les “instagram husbands” à se faire aider. Le fou rire du jour !
Évidemment… Quand je vois ça, j’ai une pensée émue et compatissante pour mon propre chéri que je traîne partout et qui a l’habitude de manger ses plats froids.. Mea maxima culpa !
Instagram est une application et un service de partage de photos et de vidéos disponibles sur plates-formes mobiles de type iOS, Android et Windows Phone. Elle fut cofondée et lancée par l’Américain Kevin Systrom et le Brésilien Michel Mike Krieger (qui sont donc bien moins connus que Gates, Jobs ouZuckerberg, il faut bien se l’avouer) en octobre 2010.
Instagram revendique 550 millions d’utilisateurs à travers le monde, dont 75 % d’utilisateurs en dehors des États-Unis, selon les chiffres officiels fournis en juillet 2016.
Instagram permet de partager ses photographies et ses vidéos avec son réseau d’amis, de fournir une appréciation positive (fonction « j’aime ») et de laisser des commentaires sur les clichés déposés par les autres utilisateurs. Elle permet aussi de dialoguer avec les membres via l’utilisation de la messagerie interne appelée « Instagram direct ».
Les applications telles qu’Instagram contribuent à la pratique de la phonéographie,
la phonéographie…
la phonéographie… (Je te laisse un moment pour t’imprégner du terme)
C’est à dire, la photographie avec un téléphone mobile.
Un selfie est un autoportrait photographique pris dans un contexte social ou touristique avec un smartphone, soit tenu à bout de bras, soit – bien que ce soit une pure hérésie – fixé au bout d’une perche à selfie.
Généralement pris sur le vif, un selfie est habituellement réalisé avec un appareil photographique numérique, un téléphone mobile de type smartphone, voire une webcam. Il est ensuite souvent partagé avec d’autres personnes par l’intermédiaire de MMS ou posté sur les réseaux sociaux pour :
attester de sa présence sur un lieu ou auprès de quelqu’un,
indiquer son profil utilisateur ou son avatar sur un réseau social,
partager son état du jour,
publier certaines scènes particulières,
informer le monde de la poursuite tranquille de son existence,
faire taire/faire parler les rageux,
rassurer l’auteur sur son ego,
autres
À l’origine, le selfie désigne l’autoportrait fait par le détenteur de l’appareil numérique mais, par abus de langage, il peut aussi désigner des photos montrant la personne en question réalisées par quelqu’un d’autre, voire le cliché d’une autre personne, des photos de groupe, ou même de simples objets. C’est à dire, un peu tout, n’importe qui et n’importe quoi.
Il est intéressant de noter que la première occurrence du terme « selfie » est datée de septembre 2002 et apparaît sur un forum australien dans le post d’un petit jeune ivre mort.
Cela dit, on a pas attendu les réseaux sociaux pour expérimenter la technique. Ainsi, Cyrus Pringle, célèbre botaniste américain – enfin… si on s’intéresse à la botanique, j’imagine – effectue un habile autoportrait grâce à une corde reliée à son appareil photo. Et, honnêtement, en 1888, ça paie son poney…
La mode du selfie a suscité un certain nombre d’études rageuses critiques.
Plusieurs auteurs – dont on ne cite pas forcément le nom – caractérisent la mode du selfie comme une « manifestation narcissique, un irraisonné amour de soi ou de sa propre image, aboutissement de l’individualisme dans les sociétés postmodernes ». Mon avis personnel, mais bien trop ignoré, étant que si tout le monde s’aimait autant que je m’aime, il y aurait moins de guerres dans le monde et plus de poneys arc-en-ciel. Mais évidemment OSEF.
Agathe Lichtensztejn, doctorante en esthétique à Paris 8, explore dans ses publications la manifestation d’une stratégie communicationnelle qui vise à compenser la perte du réel dans une société contemporaine où l’écran est miroir du monde
[…]
Jean-Paul Brighelli souligne la différence entre l’autoportrait en peinture et le selfie. La peinture suppose une interprétation, permise par une éducation du regard et de la main. Brighelli oppose le selfie, expression narcissique d’un « culte hédoniste de l’instant présent » à l’autoportrait peint, expression d’un travail sur soi-même et de l’insertion dans une culture artistique. Le selfie lui semble ainsi dériver de la croyance de Rousseau que le soi inéduqué est bon, alors que l’autoportrait peint, dépendant de l’apprentissage d’une tradition picturale, est l’expression d’un soi fondé sur l’assimilation consciente de l’apport de l’autre, tel qu’exploré par Paul Valéry.
Pour moi, c’est utiliser beaucoup de mots compliqués pour résumer le fait qu’il s’agit d’un autoportrait qui coupe tous liens avec une ligne du temps pour se concentrer sur le moment présent, un instant T… Mais l’idée est plutôt sympathique à mes yeux.
Cela dit, André Gunthert, enseignant-chercheur à l’École des hautes études en sciences sociales, où il occupe la chaire d’histoire visuelle, rappelle que l’utilisation de daguerréotypes, à l’époque, a été qualifiée également de pratique narcissique.
Et toc !
Le mot de la fin ?
Il est du Bureau américain des brevets qui précise que les photos prises par des singes échappent à la protection intellectuelle : « Le bureau n’enregistrera pas de travaux produits par la nature, les animaux ou les plantes. »
Pourquoi ?
En 2014, une polémique surgit entre le photographe animalier David Slater et le site Wikipédia, concernant un selfie pris par une macaque nègre. En effet, David Slater a protesté lorsque la photo de cette macaque femelle, prise sur l’île de Sulawesi, en Indonésie, a été publiée sur Wikipédia. Cependant, la Wikimedia Foundation a refusé de retirer la photo, car elle estimait que le photographe n’en était pas l’auteur, statuant que c’est en fait la macaque qui avait attrapé l’appareil photo de Slater et, en appuyant sur le déclencheur, avait pris une série de clichés aléatoires.
De la même manière, vous vous ferez jeter si vous contestez :
une peinture murale réalisée par un éléphant,
un dessin naturel formé sur la peau d’un animal,
un morceau de bois sculpté par l’océan…,
« le travail attribué à des êtres divins ou surnaturels, bien que le bureau puisse enregistrer un travail dans lequel ceux qui font la demande [de protection] affirment que ce travail a été inspiré par un esprit divin ».
Il était urgent de créer une manucure Halloween !
Et quel meilleur modèle que…
Sally !
Alors oui… Il faut du matos !
J’ai choisi des couleurs pastel (oui, j’ai vérifié, ça ne s’accorde pas), en deux teintes quand c’était possible.
Un dotting tool pour les motifs.
ET….
Un crayon feutre à ongles par facilité.
Pensez « par couches », commencez par la couleur, vous créerez le patchwork plus tard !
Ajoutez les pois et rayures AVANT les effets « couture », ça ne semblera que plus réaliste…
La couche de top coat est indispensable ici (Enfin, elle l’est tout le temps… Mais encore plus que d’habitude !) car le feutre s’effacerait au premier contact…
Le Nail Art ou « art de décorer les ongles », est une méthode avancée de maquillage des ongles, qui consiste à réaliser différentes décorations sur ceux-ci, en complément ou en remplacement d’une pose de vernis. À l’heure actuelle, on emploie couramment le terme anglais « Nail Art », ou « Stylisme Ongulaire » – Non… Non, je ne crois pas – en France.
Origines
D’un point de vue « historique », le Nail Art est né au XIIIe siècle chez les peuples Incas.
En effet, ces derniers décoraient déjà leurs ongles en hommage à leurs dieux, ou en y dessinant des animaux (par exemple, des aigles).
Cet art était mixte, pratiqué autant par les hommes que par les femmes.
L’utilisation du vernis à ongles est encore plus ancien (évidemment) et semble avoir été inventé par les Chinois vers 3000 av. J.-C., toutefois Japonais et Italiens pensent avoir été les premiers à utiliser le vernis à ongles.
Les Chinois utilisaient une laque de couleur, faite à partir d’une combinaison de gomme arabique, de blancs d’œufs, de gélatine et de cire d’abeille. Ils ont également utilisé un mélange composé d’une poudre de pétales de rose, d’orchidée et d’impatiente mélangée à de l’alun. Ce mélange, lorsqu’il est appliqué sur les ongles pendant quelques heures ou toute la nuit, laissait une couleur allant du rose au rouge.
Les Égyptiens, quant à eux, utilisaient des teintures brun-rouge obtenues à partir de henné pour colorer leurs ongles mais aussi le bout de leurs doigts, teinture encore fréquemment utilisée de nos jours. Ils utilisaient notamment la couleur des ongles pour indiquer l’ordre social, avec des nuances de rouge dans la partie supérieure.
La reine Néfertiti, épouse du roi Akhénaton, colorait en rouge rubis ses ongles de mains et de pieds. Cléopâtre préférait, quant à elle, une teinte rouille intense. Les femmes de rang inférieur qui coloraient leurs ongles n’étaient autorisées qu’à utiliser des teintes pâles, et aucune femme n’osait afficher la palette de couleurs utilisée par le roi ou la reine.
Grosse sauterie dans la tombe de Nebamon, 1350 B.C. (à voir au British Museum)
Essor Cependant, l’essor du Nail Art se fit durant le XXe siècle, principalement dans des pays asiatiques, tels que le Japon ou la Corée. Une mode révélant des ongles de plus en plus longs, colorés, ayant toute sorte de formes apparaît désormais.
C’est essentiellement grâce à l’utilisation d’Internet que cette pratique a su se développer à travers le monde entier, de l’Asie jusqu’à l’Europe, en passant par les États-Unis. Cette pratique esthétique est maintenant en voie d’expansion, et est désormais considéré comme une pratique globalement féminine. Phénomène à la mode, cette pratique est également convoitée lors de tournages cinématographiques afin d’étendre le maquillage jusqu’au bout des ongles.
Techniques
A côté des Strass, autocollants, piercings d’ongles, paillettes, feuilles métallisées, dégradés à l’éponge, pochoirs, liners ou dotting tools… Certaines techniques font maintenant partie des incontournables :
Water marble : Il s’agit d’une technique ne nécessitant l’utilisation d’aucun pinceau. En effet, il est question de créer des formes dans du vernis à la surface de l’eau. Plusieurs effets peuvent être réalisés :le « simple water marble », le « water marble zébré », le « mille-feuille » ou encore en spirales.
Le marbré à sec: Il permet d’obtenir un effet mille-feuille en passant un pinceau liner ou un bâtonnet sur des lignes de vernis frais de couleur différentes ou un effet dégradé et vaporeux en mélangeant des gouttes de vernis déposées sur l’ongle.
One stroke : Cette technique, alliant dextérité et patience, consiste à réaliser des formes dégradées grâce à un pinceau spécial, afin de créer des fleurs, papillons, etc., au gré de son imagination.
Aquarelle: Pour cette technique, l’ongle doit être préparé pour que la peinture accroche: ponçage pour les faux ongles et utilisation de vernis « matifiant » sur ongles naturels. Cette technique permet d’obtenir des dessins très fins tout en transparence.
Stamping : Le stamping, ou « tamponnage », consiste comme son nom l’indique à tamponner sur ses ongles des formes pré-imprimées à l’aide d’un tampon spécial.
Les motifs en reliefs : réalisés avec de la résine ou du gel‚ c’est une technique différente qui permet d’obtenir des designs en 3D plus ou moins plats. Ils peuvent être façonnés a même l’ongle ou à part puis être collés.
Soirée Nail art chez Ankhmahor à Saqqarah, 6ème dynastie (2400 B.C.)
#FitFam : Désigne un groupe d’individus engagés spirituellement, nutritivement et sportivement dans des activités de bien-être (oui, on accepte aussi les yogi) et de fitness. C’est vraiment et réellement une communauté bienveillante, constituée de gens qui essaient de manger sain, de faire du sport régulièrement et d’entretenir leur motivation via les réseaux sociaux (essentiellement).
Cinq idées reçues sur la FitFam :
1. C’est une communauté de bôgoss décérébrés qui ne pensent qu’à muscler leur nombril et à poster leurs photos pseudos épiques pour leur gloire personnelle.
NON
Il y a ABSOLUMENT tous les profils représentés. Omnivores, végétariens, végans, athlètes, feignasses, musclés, pas musclés, noobs, youtubeurs reconnus, accros au sport, runners occasionnels, bodybuilders, cyclistes, « faiseurs de yoga », petits jeunes, mamies dynamiques, maman,… TOUT ! Le but n’est pas d’avoir LE corps parfait mais la meilleure version de soi-même, c’est à dire celle qui vous convient.
2. A voir tout ça, ça met une pression de dingue sur les « gens normaux »
FAUX
Ça peut éventuellement titiller la mauvaise conscience des gens qui préfèrent chercher les excuses plutôt que la motivation (BOOOM) mais ça reste une communauté extra positive. Les progrès sont encouragés, les cheat meals sont accueillis comme le petit remontant qu’il fallait, les coups de mous sont consolés.
3. C’est un milieu ultra sexiste Que du contraire…
Ici… Les mecs se déshabillent tout autant que les nanas.
Et, en plus, tu peux débattre avec eux du sempiternel dilemme : poil ou pas poil. Ils se sentent concernés aussi.
Que demander de plus ?
4. « Tout le monde peut squatter, t’es obligé de mettre ça sur Instagram ? «
Bah…
La prochaine fois qu’il te viendra l’envie de poster une photo de ton chat, va faire un squat, j’ai envie de dire.
Les gens sont libres de poster ce qu’ils veulent, suivre les gens qu’ils veulent et admirer les squats de qui ils veulent.
Il n’y a aucune « pertinence » ou « non pertinence » dans les posts des gens.
5. Le culte de la superficialité
Déjà, personnellement, je fais partie de ces incompris qui trouvent que la santé n’est pas un truc superficiel.
Pour avoir connu, l’effet inverse – oui, les membres de la FitFam sont en grande partie des anciens « gros » qui ont décidé de changer de vie – et m’être essoufflée à monter un escalier… « Superficiel » est pas le mot qui me vient en premier.
Ensuite… Bah quoi ? Tu as pas de fierté toi ? Porter plus lourd… Tenir bon… Te décarcasser à te faire une assiette light et jolie… Perdre ton premier kilos… Faire tes premières pompes…
Il y a pas de recette miracle pour être énormes et secs ! C’est pas réellement ton corps que tu partages, mais le fruit de tes efforts.
Je débute une nouvelle catégorie (encore inédite, il y a peu, sur simili-tortue) parce que, parce que, parce que,…
Plus qu’une passion le sport a été, pour moi, une révélation ! (Oh yeah…)
Ancienne étudiante en archéologie et histoire de l’art (spécialisation Égyptologie) qui a obtenu avec succès son master en étude et gestion du patrimoine, option médiation muséale et patrimoniale. À la question que tu te poses : oui, j’ai choisi mes études en fonction de la longueur de l’intitulé du diplôme.
Maintenant « multitâches freelance » dans le domaine culturel : je guide, j’anime, j’écris, je donne des cours ou des conférences ET, éventuellement, je fais des gâteaux.
J’aime bouquiner, copiner sur le net, l’art en général, le dessin en particulier, manger des framboises à même le buisson et casser les coquilles d’œufs dans ma main après les avoir mangés….
Pas farouche, je me laisserai approcher si vous me présentez des friandises ou des choses qui brillent.
En décembre 2010, je gagne un niveau et accède au rang de « madame », offrant ainsi à mon geek de longue date l’occasion de partager ce haut-fait. Puis, en août 2012, après avoir perdu en furtivité pendant 9 mois, je deviens maman de deux beaux jumeaux bien dodus.