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#Alice

Il y a celles qui veulent être des princesses, il y a celle qui veut rester une Alice.
Attachante, lunaire, imaginative, curieuse, enjouée…
Passer de la petite fille à la reine blanche à travers les allées du labyrinthe.
Se perdre dans une trépidante course au caucus.
Et être en retard pour prendre le thé.
Définitivement le personnage à de quoi me plaire.

L’ouvrage ?

Les Aventures d’Alice au pays des merveilles (titre original : Alice’s Adventures in Wonderland), fréquemment abrégé en Alice au pays des merveilles, est un roman écrit en 1865 par Lewis Carroll, nom de plume de Charles Lutwidge Dodgson. Romancier, essayiste, photographe, diacre et professeur de mathématiques britannique né le à Daresbury, dans le Cheshire (Oui… Le Cheshire) et mort le à Guildford. Le livre a connu une suite intitulée « De l’autre côté du miroir ». Les adaptations cinématographiques et télévisées combinent bien souvent des éléments des deux livres.

Qui est Alice ?
Carrol décrit Alice comme une jeune fille « curieuse, extravagamment curieuse ». Mais la « vraie » Alice, Alice Pleasance Liddell, est une paisible anglaise, née à Westminster le et morte le dans le Kent.

Le , profitant d’une promenade en barque sur la Tamise entre Oxford et Godstow, la petite Alice Liddell, alors âgée de dix ans, demande à Charles Dodgson de la distraire en lui racontant une histoire. Pendant que le révérend Robinson Duckworth se charge de ramer, Charles Dodgson improvise pour Alice et ses deux sœurs également embarquées, Edith (huit ans) et Lorina (treize ans), l’histoire fantastique d’une petite fille (justement appelée Alice) après qu’elle fut tombée dans le terrier d’un lapin.

En novembre 1864, soit deux ans et demi après qu’Alice Liddell l’a prié de mettre le récit par écrit, il en achève la rédaction qu’il titre Alice’s Adventures under Ground (Les Aventures d’Alice sous terre). Il l’offre à Alice Liddell comme cadeau pour le Noël de l’an 1864 et le fait lire à son ami et mentor George MacDonald ainsi qu’à ses enfants, qui apprécient le livre. Sur le conseil de son ami, Charles Dodgson décide de soumettre le livre pour publication. Il développe l’histoire en ajoutant entre autres les épisodes du Chat du Cheshire et de la tea-party, faisant passer le manuscrit de 18 000 à 35 000 mots. Dodgson a lui-même réalisé des dessins devant accompagner le livre mais ceux-ci ne sont pas jugés assez bons et les illustrations sont (re)dessinées par John Tenniel, dessinateur réputé à cette époque. Finalement, le manuscrit est publié en 1865 sous le titre Les Aventures d’Alice au pays des merveilles (Alice’s Adventures in Wonderland), tiré dans un premier temps à 2 000 exemplaires (Tenniel trouvant que les tirages ne sont pas de bonne qualité), puis réédité quelques mois après avec un tirage plus important. Le succès que le livre connaît alors ne s’est plus jamais démenti depuis.

En 1871 paraît un autre livre sur « Alice » Through the Looking-Glass, and What Alice Found There (De l’autre côté du miroir et de ce qu’Alice y trouva) et en 1886 le fac-similé d’Alice’s Adventures under Ground.

Il est difficile de juger si l’Alice littéraire possède réellement les traits de la « vraie » Alice… Ou si le patronyme est un simple clin d’œil destiné à sa jeune amie.

Plus tard, Alice Liddell devient artiste et fait le tour de l’Europe avec ses sœurs Lorina (le lori du roman) et Edith (l’aiglon du roman). De ses voyages en France et en Italie entre 1872 et 1877, elle tire une série d’aquarelles et de croquis d’une grande sensibilité. Elle épouse Reginald Hargreaves le à l’abbaye de Westminster. Ils ont trois fils : Alan Knyveton Hargreaves, Leopold Reginald (surnommé « Rex ») Hargreaves (tous deux morts pendant la Première Guerre mondiale) et Caryl Liddell Hargreaves qui survit et aura lui-même une fille.

La dernière rencontre entre Charles Dodgson et Alice Liddell a lieu le 1er novembre 1888. Dodgson, qui rencontre le mari d’Alice, écrit, à la suite de cette rencontre : « Il n’est pas facile de relier ce nouveau visage avec l’ancien souvenir, cet étranger avec l’« Alice » connue si intimement et tant aimée et dont je me souviendrai toujours mieux comme d’une petite fille de sept ans absolument fascinante ».
Alice et Dogson (dont le bégaiement lui assigne le rôle du Dodo dans le roman) se brouille à la fin de leur vie si bien qu’Alice n’assistera pas à l’enterrement de son ancien ami, mort le .

 

Quelques citations

Soeur d’Alice : Dans son monde ? En voilà des divagations, allons.
Alice : Des divagations ?
Soeur d’Alice : Recommençons depuis le début.
Alice : Oui c’est sa Dinah, c’est bien ça, dans mon monde à moi, il n’y aura que des divagations. Comme disent les grands, les choses ne seraient pas ce qu’elles sont, au contraire, elles seraient ce qu’elles ne sont pas. Je suis sûr que ce serait mieux. Hein Dinah ? Qu’en dis-tu ?
Dinah : Miaou.
Alice : Dans mon monde, tu ne dirais pas miaou, tu dirais « Oui mademoiselle Alice ».
Dinah : Miaou.
Alice : Naturellement tu parlerais comme les personnes, Dinah, et les autres animaux aussi.

capture-decran-2016-11-01-a-17-49-38Les Fleurs : Croyez-vous que ce soit une fleur sauvage ?
Alice : Oh non, je ne suis pas une fleur sauvage.
Les Fleurs : Alors de quelle variété, de quelle branche, de quel genre êtes-vous, ma chère ?
Alice : Disons, si vous voulez, que j’appartiens au genre humain, variété Alice.

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Mais malheureusement j’ai un vilain défaut. Bien sûr, je sais ce que je dois faire…
Mais, hélas, je fais tout le contraire
C’est pourquoi j’ai tant d’ennuis sur cette terre
Je me dis « surtout sois bien sérieuse
Ne fais pas de choses dangereuses »
Mais j’ai un défaut
Hélas, je suis curieuse

Voilà, j’ai parcouru ma route heureuse
Sans être jamais raisonnable
J’ai oublié que les erreurs se paient
Un jour ou l’autre

Je sais très bien ce que je dois faire
Mais je fais hélas tout le contraire
C’est pourquoi j’ai tant d’ennuis sur terre

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Je ne suis pas folle. Ma réalité est juste différente de la vôtre…

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We are all mad here…

Sources :
Wikipédia, https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Aventures_d%27Alice_au_pays_des_merveilles
Wikipédia, https://fr.wikipedia.org/wiki/Lewis_Carroll
Wikipédia, https://fr.wikipedia.org/wiki/Alice_Liddell

A lire ici :
Wikisource, https://fr.wikisource.org/wiki/Alice_au_pays_des_merveilles

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#Be a SuperHero !

Pas le temps…
Pas envie…
Pas la motivation…
Pas de matériel…
Celui qui ne veut pas cherche des excuses, celui qui veut cherche des SOLUTIONS !
C’est dans cette optique que Neila Rey a lancé ses programmes de Workout à réaliser à la maison ou au bureau (why not?).
Des exos qu’on a tous plus ou moins déjà effectués en salle et qui se pratiquent au poids du corps sans équipement extravagants (une chaise ou une ouverture de porte… Tout au plus).

 

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C’est ludique, c’est clair, c’est plutôt efficace et c’est gratuit ! Une chouette initiative quand on sait que – de nos jours – la santé coute cher !
Je suis particulièrement fan de la série des super-héros qui comble bien les matinées pluvieuses, ces jours fériés où la salle est fermée…

 

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Sur le site officiel (que je vous link dans les sources), on vous propose également des plans repas et des entrainements modulables sur le long terme que je peux difficilement jauger en tant que novice mais qui sont un chouette tremplin pour une vie plus saine… Me semble-t-il !

Et en bonus… LES 5 MINUTES LES PLUS LONGUES DE TA VIE !

Neila Rey's Five Minute Plank Workout

 

Sources :

Le site officiel, http://darebee.com/workouts.html
Les articles de l’auteure pour le huffingtonpost, http://www.huffingtonpost.com/author/nelwds-607
Un panel de super-héros, http://golem13.fr/neilarey-workout/
Pinterest, https://fr.pinterest.com/explore/superhero-workout/

 

 

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#Accrostiche

« A boat beneath a sunny sky,
Lingering onward dreamily
In an evening of July–

Children three that nestle near,
Eager eye and willing ear,
Pleased a simple tale to hear–

Long has paled that sunny sky:
Echoes fade and memories die.
Autumn frosts have slain July.

Still she haunts me, phantomwise,
Alice moving under skies
Never seen by waking eyes.

Children yet, the tale to hear,
Eager eye and willing ear,
Lovingly shall nestle near.

In a Wonderland they lie,
Dreaming as the days go by,
Dreaming as the summers die:

Ever drifting down the stream–
Lingering in the golden gleam–
Life, what is it but a dream? »

 

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Alice Liddell (6 ans), photographiée en 1858 par Charles Dogson

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#Animaux fantastiques

Six ans après le dernier Harry Potter, le réalisateur David Gates – à qui on doit déjà l’ordre du phénix, le prince de sang-mêlé et les reliques de la mort – revient avec un nouvel élément de l’univers étendu d’HP (oui… Une espèce de préquelle spin-off… En quelques sortes) : Les animaux fantastiques.

 

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Dans le charme désuet des années 20, Gellert Grindelwald, un puissant mage noir bulgare, a disparu depuis deux ans. En tous cas, c’est ce qu’on apprend dans une intro fichtrement bien fichue faites de coupures de journaux magiques… Pourtant, la menace est toujours aussi pesante. Certains sorciers extrémistes pensent qu’il serait nécessaire de révéler l’existence des sorciers au monde moldu (ou Non-Maj’, chez nos amis US), afin d’affirmer leur domination « pour le plus grand bien ». De l’autre côté, une secte autoproclamée des « Fidèles de Salem » sévit à New York, traquant (plutôt mollement, je dois dire) les sorciers et sorcières pour les exterminer tous.

À New York, des événements étranges se produisent, provoquant la stupéfaction tant des fameux Non-Maj’ (que je vais continuer d’appeler moldus pour conserver ma santé mentale) que des sorciers. Le directeur du département de la Justice magique du MACUSA (Magical Congress of the USA – Congrès magique des États-Unis d’Amérique), Percival Graves, enquête personnellement sur ces événements décrits comme « une ombre avec des yeux qui ravage tout sur son passage ».

C’est dans ce contexte FORT PEU PROPICE que débarque Norbert Dragonneau ( VO : Newt Scamander), magizoologiste britannique, et ses créatures magiques planquées dans une valise qu’il a du emprunter à Mary Poppins.

 

Image associée

Alors… Si je dois vous le résumer en un seul mot… MAGIQUE !
Mais comme c’est un peu court, je vous dirai également que ça sonne comme Harry Potter (la musique est fantastique), ça sent comme Harry Potter (l’univers est si bien respecté), ça émerveille comme Harry Potter (des effets spéciaux top qualité) et ça fait mouche comme Harry Potter (le casting est incroyable).

Et si je dois revenir sur le casting les amis…
Eddie Redmayne quoi ! L’acteur oscarisé (pour un biopic que je n’ai pas vu mais que je compte voir) qui m’a tant fait pleurer dans Danish girl… Pleurer dans Les Misérables… Pleurer dans My week with Marilyn… Et qui me fait baver d’envie devant ce maladroit Englishman in New York plus vrai que vrai.
Dan Fogler – inconnu au bataillon si ce n’est que j’ai entendu sa voix dans Kung-Fu panda -qui est juste excellent en sidekick rigolo sans jamais en faire des tonnes.
Colin Farrell que j’ai vraiment plaisir à revoir dans un film de qualité (pour une fois).
Ezra Miller dans un rôle weirdo qui me bouscule un petit peu parce que – du coup – je l’imagine assez mal dans la peau de Flash dans la future Justice league…
Par contre… Le casting féminin… Hé bien… Ne me transporte pas. Je trouve l’actrice principale (Katherine Waterston) « bien mais sans plus ». Pas vraiment mauvaise mais pas vraiment bonne non plus. De plus, son personnage est largement éclipsé par la présence de sa soeur Alison Sudo, pour le coup bien plus… Pétillant !

Ajoutez à ça quelques petites pépites disséminées ici et là pour les fans de la saga HP et vous obtiendrez un fabuleux film de fin d’année !

http://vignette4.wikia.nocookie.net/harrypotter/images/1/15/Norbert_Dragonneau_-_Chocogrenouille_HP1.jpg/revision/latest?cb=20110928100528&path-prefix=fr

A lire et à voir :

La critique du fossoyeur de film, https://youtu.be/RhettlwggQQ
Wikipédia, https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Animaux_fantastiques_(film)
Madmoizelle, http://www.madmoizelle.com/animaux-fantastiques-critique-666067
Journal du geek, http://www.journaldugeek.com/2016/11/14/ce-quils-en-ont-pense-le-nouveau-film-les-animaux-fantastiques-enchante-les-critiques/

 

 

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#Bowie

Mon premier souvenir de lui, ce sont des souvenirs d’enfants.
Avant qu’il ne devienne Ziggy, Aladdin ou encore Bowie, c’était avant tout Jareth, le roi des Kobolds.
Un look improbable. De eye-liner bleu électrique. Un regard étrange. Un côté un peu effrayant.
Jareth allait peupler mes nuits de vilaines fées, de boules de verre, de masques vénitiens.
Magic dance
Mes parents s’en souviennent…
Ça serait la première fois que j’userais une VHS à force de rebobinage.

FTF-20150320-01Je prends quelques années et je découvre que l’élu de mon cœur est… Un chanteur anglais.
Why not ?
Je troque mes poupées et mes poèmes contre les CD’s de mon paternel.
Il se trouve que j’ai du retard dans sa discographie.
J’ai de vagues souvenirs (vagues parce qu’ils sont dans mes premiers) d’un clip qui me terrifie et me fascine à la fois.
C’est encore lui.
Jump they say
Si je fais le calcul, je devais avoir 6 ans.
6 ans et je suis déjà fan de David Bowie.

Je suis une ado révoltée.
Ma place est encore à trouver.
Je me sens à l’étroit partout.
Je ne sais pas encore dans quelles bottes me glisser.
Heroes

Il y aura cette chanson mais il y aura aussi ce film… Velvet Goldmine.
L’histoire de Brian Slade, ce chanteur dépassé par son propre personnage qui suicidera lui-même sa création pour changer de masque à nouveau…
Le glam’ rock.
Les paillettes.
La musique.
MAIS SURTOUT
La liberté que l’on prend d’être soi-même.
Je quitte mes habits noirs et mauves. Les pantalons trop grands. Les pulls trop amples.
J’achète mes premières robes de pin-up à volants et je sors.
J’embrasse une fille. J’embrasse un garçon.
Plus je me maquille, plus la tenue est extravagante… Moins j’ai l’impression de porter un masque.

Je suis comme je suis
Je suis faite comme ça
Quand j’ai envie de rire
Oui je ris aux éclats
J’aime celui qui m’aime
Est-ce ma faute à moi
Si ce n’est pas le même
Que j’aime à chaque fois
Je suis comme je suis
Je suis faite comme ça
Que voulez-vous de plus
Que voulez-vous de moi

Je suis faite pour plaire
Et n’y puis rien changer
Mes talons sont trop hauts
Ma taille trop cambrée
Mes seins beaucoup trop durs
Et mes yeux trop cernés
Et puis après
Qu’est-ce que ça peut vous faire
Je suis comme je suis
Je plais à qui je plais
Qu’est-ce que ça peut vous faire
Ce qui m’est arrivé
Oui j’ai aimé quelqu’un
Oui quelqu’un m’a aimée
Comme les enfants qui s’aiment
Simplement savent aimer
Aimer aimer…
Pourquoi me questionner
Je suis là pour vous plaire
Et n’y puis rien changer.
(Prévert)

Le 18 décembre 2010, c’est As the world falls down qui ouvre le bal.
Pas celui de Jareth et Sarah.
Mais le mien.
Je suis restée cette petite fille qui fait semblant d’être une grande personne.

DSC_0039Depuis quelques jours, c’est Space oddity qui résonne dans mes murs…
Ça n’a jamais été ma chanson préférée pourtant.
Trop triste par bien des aspects.
Mais l’hommage du Gorafi me l’a remise en mémoire et elle ne sort plus de ma tête.

« Le major Tom a suivi toute la procédure, il a pris ses pilules de protéines, et mis son casque. » raconte un responsable de la mission. L’astronaute chevronné n’a montré aucun signe de nervosités. Selon les techniciens, la mission se déroulait très bien jusqu’à sa sortie dans l’espace. « Il a tout au plus fait une remarque sur les étoiles, il les trouvait différentes aujourd’hui ».

Quelques secondes plus tard, une autre communication a intrigué le contrôle au sol. « Il affirmait que son vaisseau semblait savoir où aller, et a demandé à ce qu’on dise à sa femme qu’il l’aimait ». Selon plusieurs sources, c’est à ce moment que les circuits de la capsule auraient connu une avarie, coupant brutalement toutes communications avec le sol.

 

C’est un peu bizarre de « pleurer » un artiste qui s’en va, d’autant que sa vie aura été bien remplie, mais… Il va manquer cruellement de couleurs à cette année 2016…
Et il manquera des chansons dans mon cœur…

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#Réparer un ongle cassé

J’ai testé pour vous… Réparer un ongle cassé !
Je romps déjà le suspens : NON, ça ne vaut pas une petite coupe en règle.
NON
Mais,
si vous avez une soirée de prévue,
que votre nail art est prêt,
que l’idée de le couper serait équivalente à l’idée de se rouler dans les orties,
qu’il est impensable de se présenter en société les ongles ras,

Ma foi, ça peut tenir la route.
C’est moins pire que l’idée en a l’air.
Vraiment.

Kesako ?
Parce que, mesdemoiselles, monsieur, l’idée est pas glamour.
Ça revient un peu à cacher les misères avec un bout de PQ (ou d’essuie-tout si le vôtre est rose).

Il vous faut :
une feuille de papier essuie-tout, donc
un vernis durcisseur transparent
une lime à ongles
le vernis à ongles de votre choix (mais je vous conseille un bien mat)
un top coat transparent

Comment on procède ?
On passe son ongle au durcisseur et on « colle » un petit bout de papier – de la longueur de la cassure – sur le bout qui a décidé de partir vivre en Laponie AVANT que le vernis soit totalement sec.
On repasse une couche de durcisseur sur l’ongle pour que le « pansement ongulaire  » (Ah ah) tienne bien en place.
On lime le tout pour éviter une épaisseur de 2cm sur le coin du pouce.
Et on pose son vernis préféré sur l’ongle préféré.

Mon avis
Alors oui, ça cache la misère mais de là à dire que la technique est invisible… Il faut quand-même pas déconner.
A n’utiliser qu’en cas d’extrême urgence donc !
Cela dit, c’est toujours mieux que d’utiliser de la super glu, comme lu dans le cosmopolitan, je suis la première à aimer mes ongles longs mais, comment dire, j’ai mes limites.
😀

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Source :
Elle, http://www.elle.be/fr/11319-comment-reparer-ongle-casse.html/

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#Pineapple

17.11.1987
C’est le jour de mon anniversaire…
Et je suis vraiment flattée/ravie/émue/heureuse de ce « cadeau » inattendu :

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Le compte Instagram a dépassé – cette semaine – les 1.000 followers !
Merci à tous !

 

capture-decran-2016-11-18-a-16-32-57Et j’ai trouvé mon nouveau mantra…

BE A PINEAPPLE !
Stand tall, wear a crown and be sweet on the inside.
(Ou  » Sois un ananas ! Tiens toi droit, porte une couronne et reste tout doux à l’intérieur »)

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#SpartacusRun Enghien

Ce dimanche 23 octobre se déroulait le tout premier Spartacus Run au Parc d’Enghien. Une course d’obstacles qui fait, à présent partie des KBC Spartacus Series.
SOLD-OUT depuis mi-septembre, elle se compose d’une vingtaine d’obstacles et de plus ou moins 10 km de course pure. Quelques exemples ? Le « Monkey Island », qui invite les participants à franchir un pont de singe au-dessus de l’eau à la force des bras. Ou encore, le « Tobogaaaan! », qui consiste en gigantesque plan incliné situé à 6m de haut se finissant… dans l’eau !
J’ai donc eu le plaisir de faire partie des 34% de nanas inscrites dans l’avant-dernière vague de coureurs.
Et…
Quelle course ! Oh My Gad…

Une organisation au top, 5597 coureurs classés pour 6153 inscrits (bouh!) par vagues de 150 personnes, des gaufres, des verres d’eau, de chouettes goodies, une super entraide entre participants et un STAFF super sympathique.
A côté des obstacles « spectaculaires », des portions de courses bien sympa’s en sac en toile de jute ou chevilles entravées, avec des sacs de sable sur les épaules ou des labyrinthe de pneus,… Bref. De quoi fatiguer son homme (et sa nana).

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Le plus fun ?
Alors… Bien que la perspective de patauger dans la flotte par 13° me faisait pas sauter de joie au premier abord… Je dois bien avouer que – non seulement – ça soulageait mes gambettes fatiguées mais, qu’en plus, ça galvanisait les troupes !
Les baquets d’eau et le toboggan font donc partie de mon top 3.
Le « petit » parcours avec les sacs de sable était aussi bien comique (enfin, je dis ça parce que je suis maso)… Bien que la boue ait rendu le parcours un peu plus tricky que prévu, je pense.

Le plus dur ?
Le ramping sur les coudes… De loin… On ne soupçonne pas la fermeté d’un sol terreux avant de se vautrer dessus sur plusieurs mètres. Really.

Le petit plus ?
L’équipe photo/ravitaillement vraiment encourageante.
L’ambiance de la course elle-même !
J’ai plein « d’anonymes » à remercier : « le gars du début qui a poussé mes fesses vers le haut du mur », « la nana qui a retrouvé mon élastique dans les dunes de sables », « le gars qui m’a indiqué la bonne motte de terre dans le bush » ET Marie-France pour la fin de parcours !

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Et… Beaucoup de fierté !
Un nouveau défi relevé et plein de beaux souvenirs…

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Source

Spartacus Run, http://www.sport.be/spartacusenghien/2016/fr/#news

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#Image

Il y a quelques années de cela, en février 2009 (déjà), je dessinais avec fierté mon premier tatouage !

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Un lézard maori… symbole des artistes et de la création artistique.
Fait avec mes petits doigts délicats.
Un trait pas encore tout à fait assuré MAIS un charme indéniable !
* Auto promotion *

Et au détour d’une recherche de photo…
DÉCONVENUE !
Ma salamandre est PARTOUT !
Je vous propose donc, dans cet article, de suivre les pérégrinations de Mari (c’est son nom) dans les méandres de l’Internet !

 

Sur pinterest
C’est d’abord ici que je la retrouve. Sous diverses formes.
Mon blog parfois cité, parfois non.
Je ne sais pas si certains ont franchi l’étape de se le faire tatouer mais ça m’aurait amusée de le savoir
🙂

Après, voilà. Mon dos nu sur Pinterest… Passe encore !

 

Sur des forums Final Fantasy !
Retrouvé au détour d’une recherche image…
Je présume.

Ma foi… Ca reste sur un forum alors… Pourquoi pas !

 

En tant que photo de profil Facebook
Et plusieurs personnes ont eu la même idée, a priori.
Capture d’écran 2015-07-10 à 11.47.34

Tout ça reste dans le domaine du rigolo… De « l’hommage ».
Ce qui m’agace un tantinet plus, c’est le détournement d’image.
Genre ça : https://klout.com/Turblog
NON, ma salamandre est pas faite pour cracher des flammes !
Surtout des flammes cheapos…
C’est juste,… le sommet de la laideur pour moi.

Capture d’écran 2015-07-10 à 11.27.22

Et encore mieux… Sur Twitter !

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On est sérieux les gens ?

 

Réutilisation sauvage (avec compression de ma patte gauche (-_-)
Quand ton tatouage devient… Un logo professionnel !
https://alumni.insead.edu/newsletter/articles/TMTNetwork.htm
Là, par contre, je ne suis pas sûre de la légalité de la chose.
Il me semblait que tout logo pro devait être original ?!

 

Capture d’écran 2015-07-10 à 11.27.39Tu manquais de budget pour te payer un graphiste professionnel ou bien ?

 

Et un cortège d’utilisations à but commercial…
(Et là, je trouve ça TRÈS moyen)

 

LittleMercerie
Capture d’écran 2015-07-10 à 11.34.38

 

Pochoir pour tatouage… temporaire ?!
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Coque d’Iphone
(avec un beau salopage de mon œil…)
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La version en cuir, si tu préfères… Avec le même œil aveugle
Capture d’écran 2015-07-10 à 11.44.35

 

Ou si tu passes chez Jojo Tuning


Le rouge, c’est pas ma couleur
Capture d’écran 2015-07-10 à 12.01.51

 

Le top de la transformation…
Le photoshop girly paillette !

Capture d’écran 2015-07-10 à 12.00.56Et le fin du fin…
La cerise sur le gâteau…
La crème de la crème…

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http://cl3mybazart.kazeo.com/


Comment tu peux oser faire ça quand toi-même tu repompes ton logo ???
* J’hallucine *

 

Alors voilà, c’est un article rigolo mais qui, je pense, pose quand-même quelques questions sur l’utilisation des images que l’on poste sur le net.
On parle ici d’un simple dessin, d’un tatouage, qui m’est de toute façon très personnel et qu’il m’est un peu égal de voir partagé (puisque c’est de toute façon sorti de son contexte).
Par contre, je m’interroge sur les photos plus « privées » que l’on expose…
Les nôtres, celles de notre famille, nos amis, nos enfants…
Cela renvoie à son propre rapport à l’image et à son utilisation potentielle par une foule d’inconnus…
Est ce que nos images nous appartiennent encore ?
A méditer !